Vassivière : des artistes sur une île
Aujourd’hui, le château de l'île de Vassivière est réhabilité en lieu de résidences de recherche et de création. Vous allez découvrir avec cette vidéo son étonnante architecture intérieure et comment les artistes viennent travailler à Vassivière.
Vidéo
Publiée le 10 juin 2016
# Haute-Vienne, Creuse, île de Vassivière
# Opération d'inventaire : Hors opération
# Art et création
# Début 21e siècle
En 1977, la Région Limousin devient propriétaire du château de Vassivière pour y accueillir associations et expositions. En 2010, elle entreprend sa transformation pour y aménager un restaurant et une résidence d’artistes, avec atelier et logements. Ces travaux sont confiés aux architectes des cabinets Berger&Berger et BuildingBuilding.
L’atelier, baptisé « Notus Loci » par les architectes, a donné son nom à l’ensemble du projet. Cet espace autonome parcourt l’ensemble du 1er étage en effaçant tout lien avec la structure de l’ancien bâtiment. Entièrement blanc et nu, il s’adapte de manière très libre aux différents usages des résidents. Il bénéficie d’un espace à ciel ouvert au premier étage de la tour, tandis qu’au rez-de-chaussée, il ouvre de plein pied sur le parc par une grande verrière. Notus loci est un espace d'isolement qui permet le développement d'un projet artistique.
Mais les résidences de recherche et de création sont avant tout l’occasion d’une rencontre entre les artistes, le lieu et la population. Des projections, conférences et actions éducatives sont organisées par le centre d'art pour favoriser ces rencontres. Chaque résidence dure quatre mois et accueille simultanément trois artistes, de différentes disciplines. Plasticiens, cinéastes, musiciens, chorégraphes ou paysagistes peuvent ainsi partager leurs savoir-faire et leurs connaissances autour d'un intérêt commun pour le paysage.
Entre 2012 et 2015, 30 résidents ont travaillé au château, pour restituer de manière poétique et artistique leur rapport au paysage de Vassivière. Parmi eux, Julien Dubuisson a produit une sculpture à partir du moulage de l’écorce d’un arbre de l’île. Julie Chaffort, cinéaste et plasticienne, a réalisé un court-métrage intitulé HOT-DOG en s’inspirant du paysage lunaire du lac de Vassivière pendant la saison hivernale. Elle a pour cela fait appel à plus de 30 figurants, ainsi que musiciens, tous habitants des environs du lac.
Pour en savoir plus, consultez le site internet du Centre international d'art et du paysage
L’atelier, baptisé « Notus Loci » par les architectes, a donné son nom à l’ensemble du projet. Cet espace autonome parcourt l’ensemble du 1er étage en effaçant tout lien avec la structure de l’ancien bâtiment. Entièrement blanc et nu, il s’adapte de manière très libre aux différents usages des résidents. Il bénéficie d’un espace à ciel ouvert au premier étage de la tour, tandis qu’au rez-de-chaussée, il ouvre de plein pied sur le parc par une grande verrière. Notus loci est un espace d'isolement qui permet le développement d'un projet artistique.
Mais les résidences de recherche et de création sont avant tout l’occasion d’une rencontre entre les artistes, le lieu et la population. Des projections, conférences et actions éducatives sont organisées par le centre d'art pour favoriser ces rencontres. Chaque résidence dure quatre mois et accueille simultanément trois artistes, de différentes disciplines. Plasticiens, cinéastes, musiciens, chorégraphes ou paysagistes peuvent ainsi partager leurs savoir-faire et leurs connaissances autour d'un intérêt commun pour le paysage.
Entre 2012 et 2015, 30 résidents ont travaillé au château, pour restituer de manière poétique et artistique leur rapport au paysage de Vassivière. Parmi eux, Julien Dubuisson a produit une sculpture à partir du moulage de l’écorce d’un arbre de l’île. Julie Chaffort, cinéaste et plasticienne, a réalisé un court-métrage intitulé HOT-DOG en s’inspirant du paysage lunaire du lac de Vassivière pendant la saison hivernale. Elle a pour cela fait appel à plus de 30 figurants, ainsi que musiciens, tous habitants des environs du lac.
Pour en savoir plus, consultez le site internet du Centre international d'art et du paysage