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Château de La Salle
France > Nouvelle-Aquitaine > Dordogne > Saint-Léon-sur-Vézère
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Titre : Château de La Salle
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Période : 1ère moitié 13e siècle , limite 15e siècle 16e siècle , 2e moitié 19e siècle
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Protection : classé MH (1957)
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Localisation : Dordogne , Saint-Léon-sur-Vézère
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Vallée de la Vézère
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2014
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Auteur du dossier : Pagazani Xavier
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Historique
Le toponyme "La Salle", qui renvoie généralement en Guyenne, au Moyen Âge et au début des Temps modernes, à un habitat de la petite noblesse, plaide en faveur d'une implantation précoce d'une maison noble sur le site. L'imposante tour-maîtresse de plan carré, bâtie en pierre de taille (moyen appareil) à joints épais et à contreforts plats fut dressée sur le modèle des grandes tours-résidences du centre et du nord de la France, mais aussi de la région. Selon ses critères internes, la tour de Saint-Léon peut dater du début du XIIIe siècle. Par ailleurs, comme le suggère son toponyme évocateur, le site comprenait une grande salle médiévale : les restes d'une baie géminée subsistent dans le mur-pignon sud au premier étage du corps de logis oriental et une baie complète, peut-être un remploi, est en place au-dessus, dans le même mur-pignon. On retrouverait ainsi une organisation traditionnelle en Périgord, où tour et salle sont adossées.
De la tour primitive, en grande partie détruite pendant la guerre de Cent Ans, sans doute à la fin du XIVe siècle, ne subsistent que l'angle sud-ouest sur la quasi totalité de sa hauteur et, à l'intérieur, le premier niveau (un sous-sol semi-enterré) et partiellement le rez-de-chaussée ; ces parties portent les stigmates d'un violent incendie (pierres rubéfiées).
C'est après la guerre de Cent Ans que l'on trouve les premières mentions du fief de La Salle et de son propriétaire. Jean des Martres "de Saint-Léon", dont la famille est surnommée "Périgord", se présente comme "seigneur de La Salle" à la montre des nobles du comté faite par Alain d'Albret à la fin du XVe siècle. Dans un document de 1491, il est fait mention de "nobilis vir Johannes las Martras, de Santo Leoncio, co-dominus Rupe Sancti Christoforis". Ce gentilhomme avait contracté un beau mariage avec Catherine de Carbonnières. Selon toute apparence, c'est à ce couple que l'on doit attribuer la reconstruction de la tour-maîtresse et du grand corps de logis attenant vers 1500. Des analyses dendrochronologiques réalisées sur les bois de la charpente couvrant la tour révèlent une date d'abattage comprise entre 1494 et 1506, probablement en une seule campagne. La reconstruction, qui se distingue aisément par l'emploi de moellons pour la maçonnerie des murs, comprend la tour-maîtresse (rebâtie en repartant sur les vestiges en moyen appareil de pierre de taille de la précédente), la reprise de la grande salle médiévale, la construction d'un corps de logis secondaire en retour d'équerre au sud avec, dans l'angle rentrant formé par les deux corps, la construction d'une tour d'escalier en vis de plan carré. Le fief de La Salle est succinctement décrit en 1502 comme une "metayrie franche de guet et de commun et bel domaine" rapportant 60 livres tournois de rente par an.
Jean des Martres dut profiter peu longtemps de ses nouvelles constructions car, entre 1502 et 1506, c'est son fils Marc des Martres, qui apparaît comme seigneur de La Salle. Mais Marc des Martres n'est déjà plus seigneur de La Salle en 1517 : Hélie des Martres, dit "Périgord", apparaît à son tour à cette date comme seigneur de La Salle, lorsqu'il se marie le premier octobre à Marguerite de La Cropte, fille de François, seigneur de Lanquais, et de Marguerite de Roffignac. Le 20 septembre 1541, il rend encore aveu à son suzerain, Henri d'Albret, roi de Navarre, pour sa "maison noble de La Salle, assize au bourg de Sainct-Lions", comme relevant de la châtellenie de Montignac, et pour la co-seigneurie de La Roque-Saint-Christophe. En 1592, le fief est entre les mains de Claude "de Martres dict Perigort", puis il passe en partie dans la famille de Vivans (ou Vivant) à une date indéterminée. Le 19 juin 1644, Jacquelin de Vivans, seigneur de Ville-Franche et en partie de La Salle, résidant dans ce dernier, baille à prix-fait à trois maîtres-charpentiers et à un maître-menuisier la reconstruction "tout à neuf" du moulin de Saint-Léon. Il semble donc que ce soit à la fin du XVIe ou au début du siècle suivant que le fief est devenu une coseigneurie.
En 1709, le domaine passe dans la famille Du Cheylard par le mariage de Marguerite de Vivans avec Joseph du Cheylard, écuyer, seigneur de La Quérelie (à Valojoulx). A la veille de la Révolution, il appartient à "haut et puissant seigneur" Guy du Cheylard, qui est seigneur de La Fleunie, La Salle et co-seigneur du bourg de Saint-Léon ; Jean du Cheylard, chevalier de La Fleunie, se dit "habitant du château de La Salle au bourg de Saint-Léon". Adhérant aux idées révolutionnaires, ce dernier devient maire de Saint-Léon et se marie, le 23 brumaire de l'an XI (14 nov. 1802), avec Anne-Sophie Lacoste, la fille du conventionnel montignacois Élie Lacoste. En 1813, le domaine est encore divisé en deux parties : toute la partie nord, qui comprend l'ancienne tour-maîtresse, une grange, une cour, un jardin ainsi que la ferme de La Croix, appartient à un certain Léonard Ruau ; la partie sud, qui comprend les deux corps de logis en équerre, une grange, une cour et un jardin, appartient à Jean "Ducheylard" [sic pour "du Cheylard"], résidant à La Salle. C'est sans doute dans le courant de la seconde moitié du XIXe siècle que l'ancienne tour-maîtresse est isolée par la destruction d'une partie du corps de logis oriental ; probablement dans le même temps, la partie occidentale (qui comprenait la cuisine) du corps de logis sud et les dépendances attenantes sont détruites. C'est peut-être de cette campagne de travaux que date la nouvelle charpente du corps de logis.
Plus récemment, les édifices qui menacent de tomber en ruine font l'objet d'une première protection : l'ancien logis seigneurial, appelé par erreur "prieuré", est inscrit par arrêté du 17 novembre 1941. Les façades et les toitures du "manoir" sont finalement classées par arrêté du 21 mai 1957. Malgré cette protection, l'historien Jean Secret peut encore dire en 1966 qu'au "pied du donjon meurt lentement une gracieuse demeure du XVe siècle à demi effondrée". Depuis, des travaux ont permis de réhabiliter l'ancienne maison seigneuriale et la tour-maîtresse.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 1ère moitié 13e siècle Principale : limite 15e siècle 16e siècle Secondaire : 2e moitié 19e siècle |
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Dates |
1494, datation par dendrochronologie 1506, datation par dendrochronologie |
Description
Situé à l'entrée orientale du bourg de Saint-Léon-sur-Vézère, La Salle comprend au nord une ancienne tour-maîtresse de plan carré, isolée et flanquée d'une tour d'escalier en vis circulaire (à l'angle sud-est) et, plus au sud, un logis composé de deux corps disposés en équerre avec une tour d'escalier de plan carré placée dans l'angle rentrant. L'ensemble est séparé de la rue principale du bourg par un haut mur de clôture en pierre flanqué d'un petit pavillon de défense de plan rectangulaire faisant également office de fuie, situé au nord-est.
La tour maîtresse, construite en pierre de taille (moyen appareil) et à contreforts plats sur une partie de ses faces sud et ouest, est en moellon pour le reste. Elle comprend cinq niveaux : un niveau de cave semi-enterré, un rez-de-chaussée surélevé, deux étages carrés et un niveau de comble - celui-ci correspond au chemin de ronde. La face ouest porte en outre deux bretèches en encorbellement sur consoles à triple ressaut. La tour est couronnée par un chemin de ronde continu dont le parapet repose sur des consoles en pierre également à trois ressauts et qui est décoré d'accolades trilobées en réseau aveugle ; il est percé d'orifices de tir circulaires à fentes de visée cruciformes. Le toit en pavillon qui la protège est couvert en lauze.
Autrefois de plan en L, le logis situé un peu plus au sud est au même droit que la tour, avec à l'ouest une tour de plan carré renfermant un escalier en vis circulaire en pierre. Il est principalement bâti en moellon pour les murs et en pierre de taille pour les parties vives : chaines d'angle, portes et fenêtres. Il comprend un rez-de-chaussée et un premier étage, ainsi que des combles habitables.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Plans |
plan régulier en L |
Escaliers |
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Informations complémentaires
- En savoir plus
- Informations du dossier
- Désignation
- Statut, intérêt et protection
- Documentation
- Liens web
Le château de La Salle
L'origine : le début du XIIIe siècle
L'origine de la seigneurie de La Salle reste incertaine. Cependant, plusieurs faits et l'analyse des vestiges en place suggèrent qu'elle fut créée au moment du grand mouvement d'affirmation de la hiérarchie féodale qui a donné lieu à la multiplication de petits seigneurs locaux. Le toponyme même, "La Salle", qui renvoie généralement en Guyenne, au Moyen Âge et au début des Temps modernes, à un habitat de la petite noblesse, plaide en faveur d'une implantation précoce d'une maison noble sur le site. En effet, le mouvement de chasement de vassaux, par lequel les seigneurs-châtelains de Montignac (dont dépendait Saint-Léon) concédaient des territoires à leurs chevaliers ou écuyers pour les récompenser, est attesté par des textes, en 1257 pour la paroisse du Cern, en 1280 pour celle de Sergeac. En estimant que les sources ne reflètent que plus tardivement leur apparition réelle, on peut raisonnablement penser que ce phénomène débuta en réalité au début du XIIIe siècle. L'imposante tour-maîtresse de La Salle, de plan carré, bâtie en pierre de taille (moyen appareil) à joints épais et à contreforts plats fut dressée sur le modèle des grandes tours-résidences du centre et du nord de la France (Tours, Loches, Gisors, Le Grand-Pressigny, Montrichard et Semblançay) réalisées au XIe et XIIe siècle, et, dans le voisinage, à la tour de l'église de Plazac ou, un peu plus loin, à celle du château de Lauzun (au nord du Lot-et-Garonne) datée de la fin du XIIe siècle. Avec un décalage chronologique induit par la géographie, l'histoire particulière du Périgord et la différence des strates nobiliaires, et par les critères internes que nous avons évoqués, la tour de Saint-Léon peut dater du début du XIIIe siècle. D'évidence, la création d'une seigneurie à cet endroit est liée à la volonté de contrôler l'entrée orientale de la "ville" de Saint-Léon, qui était située à proximité immédiate - le trafic marchand sur la Vézère revenant assurément à la seigneurie de Clérans. En effet, deux péages, "par terre et par eau", sont attestés dans les privilèges de Saint-Léon en 1490 (BnF, Fonds Périgord, t. 9, recueil 4). De cette tour primitive de La Salle, en grande partie détruite pendant la guerre de Cent Ans, sans doute à la fin du XIVe siècle, ne subsistent que l'angle sud-ouest sur la quasi totalité de sa hauteur et, à l'intérieur, le premier niveau (un sous-sol semi-enterré) et partiellement le rez-de-chaussée ; ces parties portent les stigmates d'un violent incendie (pierres rubéfiées). Par ailleurs, comme le suggèrent son toponyme évocateur, le site comprenait une grande salle médiévale : les restes d'une baie géminée subsistent dans le mur-pignon sud au premier étage du corps de logis oriental et une baie complète, peut-être un remploi, est en place au-dessus, dans le même mur-pignon. On retrouverait ainsi une organisation traditionnelle en Périgord, où tour et salle sont adossées.
La reconstruction (fin XVe-début XVIe siècle)
C'est après la guerre de Cent Ans que l'on trouve les premières mentions du fief de La Salle et de son propriétaire. Jean des Martres ("Las Mastres") "de Saint-Léon", dont la famille est surnommée "Périgord", se présente comme "seigneur de La Salle" à la montre des nobles du comté faite par Alain d'Albret à la fin du XVe siècle - entre 1470 (date du mariage de ce prince avec Françoise de Blois-Bretagne qui lui apporte en dot le comté de Périgord) et 1488 (date de la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier au cours de laquelle ce grand seigneur est battu par les armées royales). Dans un document de 1491, il est encore fait mention de "nobilis vir Johannes las Martras, de Santo Leoncio, co-dominus Rupe Sancti Christoforis", ainsi que dans le rôle des nobles de l'arrière-ban du comté de Périgord et de la vicomté de Limoges. A une date indéterminée (fin XVe ou début XVIe siècle), Jean des Martres est aussi qualifié de "seigneur de La Rochette, paroisse de Saint-Lyons" (voir IA24004273). Ce gentilhomme avait contracté un beau mariage avec Catherine de Carbonnières. Selon toute apparence, c'est à ce couple que l'on doit attribuer la reconstruction de la tour-maîtresse et du grand corps de logis attenant vers 1500. Des analyses dendrochronologiques réalisées sur les bois de la charpente couvrant la tour révèlent une date d'abattage comprise entre 1494 et 1506, probablement en une seule campagne (voir Rapport d'analyse, p. 16). Le fief de La Salle est succinctement décrit en 1502 comme une "metayrie franche de guet et de commun et bel domaine" rapportant 60 livres tournois de rente par an.
Restitution de la demeure noble
La reconstruction, qui se distingue aisément par l'emploi de moellons pour la maçonnerie des murs, comprend la tour-maîtresse (rebâtie en repartant sur les vestiges de la précédente), la reprise de la grande salle médiévale, la construction d'un corps de logis secondaire en retour d'équerre au sud avec, dans l'angle rentrant formé par les deux corps, la construction d'une tour d'escalier de plan carré. A ce moment, le corps de logis principal (à l'est) qui comprenait la grande salle, était relié à la tour-maîtresse par une construction (aujourd'hui disparue) qui le prolongeait au nord. Le corps de logis secondaire en retour d'équerre (en grande partie détruit au XIXe siècle), comprenait alors une cuisine en rez-de-chaussée, comme l'attestent son sol en pisé retrouvé récemment, l'emplacement de sa cheminée sur le gouttereau et la proximité du puits dans la cour. Pour le reste, la distribution de l'ensemble seigneurial se comprend aisément. On pénétrait dans la maison noble par la porte au pied de la tour d'escalier au-dessus de laquelle étaient sculptées les armes du seigneur du lieu ; à l'étage était la grande salle, qui se distingue encore par sa cheminée de taille imposante, avec, à la suite, une pièce, peut-être une "sallette", qui semble s'apparenter par sa place (au premier étage et après la grande salle) et sa forme (carrée) à une chambre de parement. De là, on pouvait emprunter l'escalier en vis attenant à la tour-maîtresse pour monter dans les chambres du seigneur et de sa famille qui logeaient dans les parties supérieures de la tour. Ces pièces ont conservé l'essentiel de leurs dispositions d'origine, exception faite de leur cheminée : fenêtres, dressoir en meuble d'attache, latrines. Le sous-sol semi-enterré de la tour servait de cellier et le rez-de-chaussée surélevé renfermait une cuisine dont subsistent la cheminée incorporée à arc segmentaire, deux placards muraux et un évier ; cette cuisine devait être employée pour le seul service des chambres de la tour.
La suite de l'histoire
Jean des Martres dut profiter peu longtemps de sa nouvelle demeure car il meurt peu après, entre 1502 et 1506. Son fils, Marc des Martres, apparaît comme seigneur de La Salle le 26 juillet 1506 : il est qualifié comme tel, auprès de sa sœur Jeanne des Martres, la fille de "feu" Jean des Martres, qui se marie avec Jean de Bideran ; Jean de Massault (ou Mazault, Marault), seigneur du château voisin de Clérans, et Frénon de Losse, seigneur de Peyretaillade" (alias Losse), font partie des témoins au mariage. Marc des Martres n'est déjà plus seigneur de La Salle en 1517 : Hélie des Martres, dit "Périgord", apparaît à cette date comme seigneur de La Salle, lorsqu'il se marie le premier octobre à Marguerite de La Cropte, fille de François, seigneur de Lanquais, et de Marguerite de Roffignac. Le 20 septembre 1541, il rend encore aveu à son suzerain, Henri d'Albret, roi de Navarre, pour sa "maison noble de La Salle, assize au bourg de Sainct-Lions", comme relevant de la châtellenie de Montignac, et pour la co-seigneurie de La Roque-Saint-Christophe.
En 1592, le fief est entre les mains de Claude "de Martres dict Perigort", puis il passe en partie dans la famille de Vivans (ou Vivant) à une date indéterminée. Selon A. Boyer (p. 22), le fief serait passé par mariage à la famille de La Duguie : Catherine de La Duguie, ayant hérité de La Salle, se marie le 16 novembre 1587 à Jean de Vivans faisant ainsi entrer le fief dans cette famille ; nous n'en avons pas retrouvé la preuve archivistique. Quoi qu'il en soit, le 19 juin 1644, Jacquelin de Vivans, seigneur de Ville-Franche et en partie de La Salle, résidant dans ce dernier, baille à prix-fait à trois maîtres-charpentiers et à un maître-menuisier la reconstruction "tout à neuf" du moulin de Saint-Léon. Il semble donc que ce soit à la fin du XVIe ou au début du siècle suivant que le fief est devenu une coseigneurie.
On ignore ce qu'il advint du domaine jusqu'au début du XVIIIe siècle. En 1709, il passe dans la famille du Cheylard par le mariage de Marguerite de Vivans avec Joseph du Cheylard, écuyer, seigneur de La Quérelie (à Valojoulx). A la veille de la Révolution, il appartient à "haut et puissant seigneur" Guy du Cheylard, qui est seigneur de La Fleunie, La Salle et co-seigneur du bourg de Saint-Léon ; Jean du Cheylard, chevalier de La Fleunie, se dit "habitant du château de La Salle au bourg de Saint-Léon". Adhérant aux idées révolutionnaires, ce dernier devient maire de Saint-Léon et se marie, le 23 brumaire de l'an XI (14 nov. 1802), avec Anne-Sophie Lacoste, la fille du conventionnel montignacois Élie Lacoste. En 1813, le domaine est encore divisé en deux parties : au nord, l'ancienne tour-maîtresse, la grange, la cour, le jardin ainsi que la ferme de La Croix, appartiennent à un certain Léonard Ruau ; la partie sud, qui comprend les deux corps de logis en équerre, une grange, une cour et un jardin, appartient à Jean "Ducheylard" [sic pour "du Cheylard"], résidant à La Salle. C'est sans doute dans le courant de la seconde moitié du XIXe siècle que l'ancienne tour-maîtresse est isolée par la destruction d'une partie du corps de logis oriental ; probablement dans le même temps, la partie occidentale (qui comprenait la cuisine) du corps de logis sud et les dépendances attenantes sont détruites. C'est peut-être de cette campagne de travaux que date la nouvelle charpente du corps de logis.
Plus récemment, les édifices qui menacent de tomber en ruine font l'objet d'une première protection : l'ancien logis seigneurial, appelé par erreur "prieuré", est inscrit par arrêté du 17 novembre 1941. Les façades et les toitures du "manoir" sont finalement classées par arrêté du 21 mai 1957. Malgré cette protection, l'historien Jean Secret peut encore dire en 1966 qu'au "pied du donjon meurt lentement une gracieuse demeure du XVe siècle à demi effondrée". Depuis, des travaux ont permis de réhabiliter l'ancienne maison seigneuriale et la tour-maîtresse.
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA24004182 |
Dossier réalisé par |
Pagazani Xavier
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Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Vallée de la Vézère |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2014 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne |
Citer ce contenu |
Château de La Salle, Dossier réalisé par Pagazani Xavier, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/ca656cbe-edb7-46d0-bc51-07f73a77de41 |
Titre courant |
Château de La Salle |
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Dénomination |
château |
Appellation |
Château de la Salle |
Parties constituantes |
Maison |
Parties constituantes non étudiées |
colombier puits |
Statut |
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Protection |
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Intérêt |
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Documents d'archives
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 660. (Cahier in-4°, 5 feuillets, papier). Montre des nobles de Périgord faite pour Alain d'Albret, s.d. (XVe siècle).
Mention : Mention de Jean Les Martres de Saint-Léon, seigneur de La Salle.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 660
ISBD/Commentaire :
(Cahier in-4°, 5 feuillets, papier). Montre des nobles de Périgord faite pour Alain d'Albret, s.d. (XVe siècle).
AD Pyrénées-Atlantiques. E 696 (Carton. 5 pièces, parchemin ; 4 pièces, papier, 1316-1567).
Mention : Acte en latin passé par "nobilis vir Johannes la Martras", 1491.
ISBD/Commentaire :
AD Pyrénées-Atlantiques. E 696 (Carton. 5 pièces, parchemin ; 4 pièces, papier, 1316-1567).
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 782. (Carton. 2 pièces, parchemin ; 16 pièces, papier. 1502-1514). Rôle des nobles de la châtellenie de Montignac qui devaient l'hommage au comte de Périgord, entre 1502 et 1514.
Mention : Mention de Jean Des Martres.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 782
ISBD/Commentaire :
E. 782. (Carton. 2 pièces, parchemin ; 16 pièces, papier. 1502-1514). Rôle des nobles de la châtellenie de Montignac qui devaient l'hommage au comte de Périgord, entre 1502 et 1514.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 671. Rôle de l'arrière-ban de la noblesse du comté de Périgord et vicomté de Limoges, s.d. (entre 1531 et 1534).
Mention : Mention de Hélie des Martres.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 671
ISBD/Commentaire :
Rôle de l'arrière-ban de la noblesse du comté de Périgord et vicomté de Limoges, s.d. (entre 1531 et 1534).
AD Pyrénées-Atlantiques. B 1791. Hommages rendus à Henri II, roi de Navarre, par les nobles de sa châtellenie de Montignac, 1541.
Mention : Hommage rendu par Hélie des Martres, dit de Périgort, écuyer, le 20 sept. 1541.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : B 1791
ISBD/Commentaire :
Hommages rendus à Henri II, roi de Navarre, sire d'Albret, comte de Périgord, 1541.
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 14. Inventaire des archives de la Maison d'Albret conservées aux châteaux de Nérac et Casteljaloux [fait en 1544].
Mention : Fol. 51 r° (copie de la liste des hommages rendus en 1541).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 14
ISBD/Commentaire :
(Cahier relié, en vélin). Inventaire des archives de la Maison d'Albret conservées aux châteaux de Nérac et Casteljaloux [fait en 1544].
AD Dordogne. B 1148-1755. Sénéchaussée et présidial de Sarlat (1542-An V).
Mention : B. 1148, fol. 84. Procès entre Geoffroy de Beynac, seigneur-baron du lieu et de Commarque, contre, entre autres, Claude de Martres dict Perigort, 1592.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : B 1148-1755
ISBD/Commentaire :
Sénéchaussée et présidial de Sarlat (1542-An V).
AD Dordogne. 2 E 1789. Prix-fait passé à Saint-Léon entre Jacquelin de Vivans et plusieurs maîtres-charpentiers et menuisiers pour la reconstruction du moulin de Saint-Léon, 19 juin 1644.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 2 E 1789
ISBD/Commentaire :
Prix-fait passé à Saint-Léon, dans la "maison noble de La Salle de Périgord", entre Jacquelin de Vivans et plusieurs maîtres-charpentiers et menuisiers pour la reconstruction du moulin de Saint-Léon, 19 juin 1644.
AD Dordogne. 63 P 1109/1-4. Saint-Léon-sur-Vézère. Matrice cadastrale et états de sections, 1817-1964.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 63 P 1109/1-4
ISBD/Commentaire :
Saint-Léon-sur-Vézère. Matrice cadastrale et états de sections, 1817-1964
AM Saint-Léon-sur-Vézère. Abbé A. Boyer. Saint-Léon-sur-Vézère. Ouvrage tapuscrit, s.l.n.d. (après 1960)
Mention : P. 19-23.
Contributions : Boyer Abbé A. (Auteur)
Lieu de conservation : Archives municipales, Saint-Léon-sur-Vézère
ISBD/Commentaire :
Abbé A. Boyer. Saint-Léon-sur-Vézère. Ouvrage tapuscrit, s.l.n.d. (après 1960).
Documents figurés
Recueil de cartes, plans et profils des ouvrages faits pour la navigation de diverses rivières de Guyenne, levés par M. Ferry dans la visite qu'il en a faite à la fin de l'année 1696. Avec des remarques & mémoires sur lesdits ouvrages. Dessin, encre et aquarelle, par François Ferry, 1696.
Mention : Indication du fief de La Salle.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : 3 JC 17
ISBD/Commentaire :
Recueil de cartes, plans et profils des ouvrages faits pour la navigation de diverses rivières de Guyenne, levés par M. Ferry dans la visite qu'il en a faite à la fin de l'année 1696. Avec des remarques & mémoires sur lesdits ouvrages. Dessin, encre et aquarelle, par François Ferry, 1696.
Carte de la Guyenne par Belleyme. Reproduction en fac-similé de l'édition du 18e siècle conservée à l'Institut géographique national, par Pierre de Belleyme, IGN.
Mention : Planche n° 23 levée en 1768, gravée et publiée entre 1785 et 1789.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 1 Fi 2 Dordogne 0013
ISBD/Commentaire :
Carte de la Guyenne par Belleyme. Reproduction en fac-similé de l'édition du 18e siècle conservée à l'Institut géographique national, par Pierre de Belleyme, IGN.
Plan cadastral napoléonien de Saint-Léon-sur-Vézère. Dessin, encre et aquarelle, par Serbat, 1813.
Mention : Section B, 1ère feuille.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 3P3 4971-4980
ISBD/Commentaire :
Plan cadastral napoléonien de Saint-Léon-sur-Vézère. Dessin, encre et aquarelle, par Serbat, 1813.
Carnet de dessins n° 38 par Rouméjoux, 1892 (41 Fi 01).
Mention : Page 14 : 14 octobre 1892.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 41 Fi 01
ISBD/Commentaire :
Carnet de dessins n° 38 par Rouméjoux, 1892 (41 Fi 01).
Photographies du château de La Salle à Saint-Léon-sur-Vézère (AD 24. 5 Fi 21-22).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 5 Fi 21-22
ISBD/Commentaire :
Photographies du château de La Salle à Saint-Léon-sur-Vézère, s.d. [avant 1960] (AD 24. 5 Fi Saint-Léon-sur-Vézère 21-22).
Photographies du château de La Salle à Saint-Léon-sur-Vézère (AD 24. 8 Fi 3).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 8 Fi 3
ISBD/Commentaire :
Photographies du château de La Salle à Saint-Léon-sur-Vézère, s.d. [avant 1960] (AD 24. 8 Fi Saint-Léon-sur-Vézère 3).
Périodiques
Extrait d’un mémoire du seigneur d’Albret (1502). 1854.
Mention : Mention de la "metayrie" de "Perigort".
ISBD/Commentaire :
« Extrait d’un mémoire du seigneur d’Albret contre la dame de Montrésor, qui demandait sa part dans la seigneurie de la comté de Périgord ». Le Chroniqueur du Périgord et du Limousin, 1854, p. 134-140.
CHAMPEVAL Jean-Baptiste. « Hommage du Comté de Périgord en 1541 rendus à Henri de Navarre, sire d’Albret, comte de Périgord, comme tel. », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord. Tome XXV (1898), p. 371-376.
ISBD/Commentaire :
CHAMPEVAL Jean-Baptiste. « Hommage du Comté de Périgord en 1541 rendus à Henri de Navarre, sire d’Albret, comte de Périgord, comme tel ». Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord. Tome XXV (1898), p. 371-376.
"Liste ancienne des gentilshommes taxés en Périgord. Diocèse de Sarlat (1550)". 1886.
Mention : Mention de "Hélies des Martres, ecuyer, seigneur de Périgort", 2 janvier 1550 (n.st.).
ISBD/Commentaire :
"Liste ancienne des gentilshommes taxés en Périgord. Diocèse de Sarlat (1550)". Bulletin SHAP, tome XIII (1886), p. 186-191.
Bibliographie
SAINT-ALLAIS Nicolas Viton de. Nobiliaire universel de France...
Mention : Tome XI (1817), p. 47-48.
ISBD/Commentaire :
SAINT-ALLAIS Nicolas Viton de. Nobiliaire universel de France... Paris : chez l'Auteur, 1817-1877, 21 vol.
GOURGUES Alexis de. La Dordogne. Dictionnaire topographique du département. Paris : Res Universis, 1992, fac-similé de l'édition de 1873 (Monographies des villes & villages de France).
Mention : P. 306.
ISBD/Commentaire :
GOURGUES Alexis de. La Dordogne. Dictionnaire topographique du département. Paris : Res Universis, 1992, fac-similé de l'édition de 1873 (Monographies des villes & villages de France).
FROIDEFOND DE BOULAZAC Alfred. Armorial de la noblesse du Périgord. 2 tomes. Périgueux : Jouve, 1891, Marseille : Laffitte Reprints, 2006.
Mention : T. I p. 157 (Du Cheylard).
ISBD/Commentaire :
FROIDEFOND DE BOULAZAC Alfred. Armorial de la noblesse du Périgord. 2 tomes. Périgueux : Jouve, 1891, Marseille : Laffitte Reprints, 2006.
SAINT-SAUD A. de, BOISSERIE DE MASMONTET et MANTHE R. de. Généalogie de Bideran (Périgord, Agenais, Quercy, Poitou). Bergerac : Impr. Générale du Sud-Ouest, 1896.
Mention : P. 48-49.
ISBD/Commentaire :
SAINT-SAUD A. de, BOISSERIE DE MASMONTET et MANTHE R. de. Généalogie de Bideran (Périgord, Agenais, Quercy, Poitou). Bergerac : Impr. Générale du Sud-Ouest, 1896.
SECRET Jean. Le Périgord, châteaux, manoirs et gentilhommières. S.l. : Tallandier, 1966
Mention : p. 238
ISBD/Commentaire :
SECRET Jean. Le Périgord, châteaux, manoirs et gentilhommières. S.l. : Tallandier, 1966.
PENAUD Guy. Dictionnaire des châteaux du Périgord. Bordeaux : Sud Ouest, 1996.
Mention : p. 263-264.
ISBD/Commentaire :
PENAUD Guy. Dictionnaire des châteaux du Périgord. Bordeaux : Sud Ouest, 1996.
BELINGARD Christelle. Rapport d'analyse par dendrochronologie des bois de la charpente du château de La Salle, à Saint-Léon-sur-Vézère. 2015.
Lieu de conservation : Service du patrimoine et de l'Inventaire, région Aquitaine
ISBD/Commentaire :
BELINGARD Christelle. Rapport d'analyse par dendrochronologie des bois de la charpente du château de La Salle, à Saint-Léon-sur-Vézère (24). Limoges, avril 2015 (rapport multi-copié non publié).
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Dordogne , Saint-Léon-sur-Vézère
Milieu d'implantation: en village
Lieu-dit/quartier: Bourg
Cadastre: 1813 B1 162 à 170, 2013 AI 232
Le château de La Salle sur un extrait de la carte de François Ferry, 1696.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Le château de La Salle en 1768 sur un extrait de la carte de la Guyenne par Belleyme (planche n° 23).
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
L'ancien domaine de La Salle en 1813 d'après les matrices cadastrales sur un extrait du plan cadastral ancien de la commune (Section B, 1ère feuille).
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Dessin du château de La Salle à Saint-Léon par A. Rouméjoux, 14 octobre 1892.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : la tour-maîtresse vue du sud-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : vue de la tour-maîtresse au sud-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : vue de la tour-maîtresse au sud-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : la tour-maîtresse et le corps de logis vus à l'ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : vue de la tour-maîtresse à l'est.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Carte postale ancienne, s.d. (début XXe siècle) : la tour-maîtresse vue du sud-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
La tour-maîtresse du château de La Salle vue à l'ouest, depuis le bourg, état avant 1960.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
La tour-maîtresse du château de La Salle vue à l'ouest, depuis le bourg, état avant 1960.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Vue de la tour-maîtresse du château depuis l'est, état avant 1960.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Vue de la tour-maîtresse du château depuis le nord-est et l'arrivée dans le bourg, état avant 1960.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Plan, coupe et élévation de la charpente de la tour-maîtresse (relevé et dessin : X. Pagazani, 2014).
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Vue du château de La Salle depuis la tour-clocher de l'église de Saint-Léon-sur-Vézère.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Vue de la tour-maîtresse du château de La Salle au nord-ouest.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretèches renfermant des latrines.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : chemin de ronde et mâchicoulis.
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Mur de clôture et tour maîtresse vue au nord-est : petit pavillon de défense muni d'une ouverture de tir pour armes à feu légères.
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Vue du petit pavillon de défense au sud-est : fuye en partie haute du mur et toit en lauze.
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Détail de la face orientale de la tour maîtresse : fenêtres des premier et deuxième étages, chemin de ronde.
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Détail de la face orientale de la tour maîtresse : perron et porte-fenêtre ouvrant le rez-de-chaussée surélevé.
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Face orientale de la tour maîtresse : parties hautes.
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Détail de la face orientale de la tour maîtresse : fenêtres et chemin de ronde.
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Détail de la face orientale de la tour maîtresse, fenêtre du premier étage : ancienne croisée ayant perdu son croisillon en pierre.
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Détail de la tour d'escalier desservant la tour maîtresse.
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Détail du sommet de la tour d'escalier desservant la tour maîtresse.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretêches renfermant les latrines.
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Détail du rez-de-chaussée de la face nord de la tour maîtresse : jour vertical à cadre chanfreiné.
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Détail du pied de la tour maîtresse (face nord) : vestiges d'un contrefort plat.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : fenêtres des premier et deuxième étages.
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Détail du pied de la face sud de la tour maîtresse : appareillage en moyen appareil de pierre de taille et contrefort plat.
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Détail de la face sud de la tour maîtresse : chemin de ronde sur consoles.
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Conduit d'évacuation des eaux usées au pied de la face sud de la tour maîtresse.
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Conduit d'évacuation des eaux usées en pierre au premier étage de la tour maîtresse.
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Vue d'ensemble de la tour maîtresse au sud-ouest : maçonnerie en moyen appareil de pierre de taille et contreforts plats.
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Pièce du sous-sol de la tour maîtresse : pierres rubéfiées par un incendie.
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Pièce du sous-sol de la tour maîtresse : baie murée et placard.
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Porte d'accès à la vis depuis la pièce du rez-de-chaussée surélevé (ancienne cuisine) de la tour maîtresse.
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Cheminée de la pièce du rez-de-chaussée surélevé (ancienne cuisine) de la tour maîtresse.
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Evier et dressoir de la pièce du rez-de-chaussée surélevé (ancienne cuisine) de la tour maîtresse.
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Placard mural (mur nord) de la pièce du rez-de-chaussée surélevé (ancienne cuisine) de la tour maîtresse.
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Détail de l'embrasure intérieure de la fenêtre ouvrant le mur nord de la pièce du rez-de-chaussée surélevé (ancienne cuisine) de la tour maîtresse.
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Porte d'accès à l'escalier en vis depuis la pièce du premier étage (ancienne chambre) de la tour maîtresse.
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Embrasure intérieure de la grande fenêtre (une croisée qui a perdu son croisillon en pierre) de la pièce (une ancienne chambre) au premier étage de la tour maîtresse.
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Détail du tableau de la grande fenêtre de la pièce du premier étage de la tour maîtresse : traces de l'implantation (vergettes et rainures) des vitres mises au plomb au-dessus de la traverse en pierre (disparue).
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Grande fenêtre (une ancienne croisée) de la pièce (une ancienne chambre) au premier étage de la tour-maîtresse.
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Détail de l'arrière-voussure d'une fenêtre (une ancienne demi-croisée) au premier étage de la tour-maîtresse.
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Détail de l'allège de la grande fenêtre de la pièce du premier étage de la tour-maîtresse : traces de bûchement de coussièges en pierre (disparus).
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Ancienne latrine dans une bretèche en encorbellement au premier étage de la tour-maîtresse.
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Dressoir et évier ménagés dans un mur de la pièce (une ancienne chambre) au premier étage de la tour-maîtresse.
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Latrine avec son banc en pierre placée dans une bretèche en encorbellement au deuxième étage de la tour-maîtresse.
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Détail du banc de latrine au deuxième étage de la tour-maîtresse.
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Embrasure intérieure d'une fenêtre (une demi-croisée) éclairant la pièce (une ancienne chambre) au deuxième étage de la tour-maîtresse.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Détail d'un emplacement de tablette d'un dressoir en meuble d'attache dans la pièce du deuxième étage de la tour-maîtresse.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Cheminée de la pièce du deuxième étage de la tour-maîtresse : arrachement de l'ancienne cheminée dans le mur à droite.
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Détail de l'arrachement de l'ancienne cheminée dans le mur à droite de la cheminée actuelle.
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Grande fenêtre (ancienne croisée) éclairant la pièce au deuxième étage de la tour-maîtresse.
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Détail des bases prismatiques de la grande fenêtre (ancienne demi-croisée) éclairant la pièce du deuxième étage de la tour-maîtresse.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Détail de la partie supérieure du tableau de la grande fenêtre (ancienne croisée) éclairant le deuxième étage de la tour-maîtresse : rainure d'accroche des vitres mises au plomb au-dessus de la traverse (disparue).
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Détail de la partie supérieure du tableau de la grande fenêtre (ancienne croisée) éclairant la pièce du deuxième étage de la tour-maîtresse : rainure d'accroche et trou de vergette de maintien des vitres mises au plomb.
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Pan-de-bois à hauteur du chemin de ronde portant la charpente de la tour-maîtresse.
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Détail du pan-de-bois au dernier niveau de la tour-maîtresse.
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Détail du pan-de-bois du dernier niveau de la tour-maîtresse : poteau d'angle et croix de saint André.
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Détail d'un poteau d'angle et de croix de saint André.
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Détail d'un poteau d'angle et de l'enrayure basse de la charpente (en arrière-plan : le pan-de-bois du dernier niveau de l'escalier en vis)..
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Détail d'un poteau médian d'une cloison en pan-de-bois avec son aisselier.
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Détail d'un poteau médian d'une cloison en pan-de-bois et croix de saint André.
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Détail d'un poteau d'angle et assemblages avec les sablières hautes des cloisons en pan-de-bois.
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Détail d'un poteau d'angle et ses assemblages : écharpes, sablières hautes et coyer d'angle de l'enrayure basse.
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Détail des assemblages d'un poteau d'angle avec les écharpes et une sablière haute vus depuis le chemin de ronde.
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Détail d'une cloison en pan-de-bois depuis le chemin de ronde.
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Détail de l'assemblage à tenon et mortaise d'un poteau avec une sablière basse vu depuis le chemin de ronde.
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Détail d'un poteau de l'une des cloisons en pan-de-bois : traces de coup de hache d'équarrissage.
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Traces d'équarrissage à la doloire ou à l'herminette sur l'angle d'une écharpe.
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Assemblage des sablières basses à l'angle de deux cloisons en pan-de-bois avec le poteau et l'écharpe d'une croix de saint André.
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Marque d'assemblage à la rainette de charpentier à l'extrémité d'un coyer de l'enrayure basse.
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Fenêtre pratiquée à l'extrémité d'une cloison en pan-de-bois ; le cadre est chanfreiné sur l'extérieur.
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Vue sur le chemin de ronde avec les consoles et le parapet percé d'un orifice de tir circulaire et d'une fente de visée cruciforme.
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Détail du parapet : orifice de tir circulaire pour haquebute et fente de visée cruciforme.
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Détail de l'assemblage d'un entrait et d'un coyer (à tenon et mortaise) de l'enrayure basse de la charpente.
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Détail d'un marquage à la rainette (III contremarqué) sur un pied de chevron de la charpente de la tour-maîtresse.
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Vue partielle de la charpente de la tour-maîtresse : pieds de chevrons et jambettes.
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Vue partielle (partie basse) de la charpente de la tour-maîtresse : pieds de chevrons, jambettes et poinçon.
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Vue partielle (partie haute) de la charpente de la tour-maîtresse : chevrons, enrayure haute.
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Vue partielle de la charpente de la tour-maîtresse : enrayure haute et poinçon.
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Vue partielle de la charpente de la tour-maîtresse : poinçon et enrayure haute.
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Détail de la couverture de la tour-maîtresse : lauzes prises entre les carrassons de châtaignier formant le lattis.
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Vue d'ensemble depuis la tour-maîtresse de l'ancienne maison noble en équerre et de sa tour d'escalier logée dans l'angle rentrant.
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Vue d'ensemble des parties hautes de l'ancienne maison noble depuis la tour-maîtresse.
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Vue d'ensemble de l'ancienne maison noble depuis la cour (nord-ouest).
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Vue de la tour d'escalier de la maison noble.
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Porte d'entrée de l'ancienne maison noble au pied de la tour d'escalier.
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Détail de la partie haute de la tour d'escalier : fenêtres (dont une demi-croisée).
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La tour d'escalier et le mur-pignon occidental du corps de logis vus à l'ouest : portes murées et arrachements indiquant la destruction d'une partie du corps de logis sud.
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Vue de l'actuel mur-pignon occidental du corps de logis sud.
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Grande fenêtre (ancienne croisée) au rez-de-chaussée de la façade sur cour du corps de logis oriental.
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Grande fenêtre (ancienne croisée) au premier étage du corps de logis oriental.
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Détail de la fenêtre (demi-croisée) et de son appui en haut de la tour d'escalier.
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Détail d'une fenêtre de la tour d'escalier : appui et petit pyramidion sculpté dans le chanfrein concave formant le cadre.
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Détail de l'actuel mur-pignon nord du corps de logis oriental, ancien mur de refend : vestiges d'une cheminée au premier étage.
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Porte murée au premier étage dans l'actuel mur-pignon nord (ancien mur de refend) du corps de logis oriental.
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Vue à l'ouest du corps de logis oriental : tour à l'angle sud-est.
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Mur gouttereau est du corps de logis oriental : petit jour au rez-de-chaussée et croisée au premier étage.
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Détail du mur est du corps de logis oriental : en partie basse, à droite, vestiges d'un mur en moyen appareil de pierres de taille.
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Détail du mur est du corps de logis oriental : croisée remontée au premier étage (seul le croisillon est une création).
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Mur-pignon sud du corps de logis oriental : baie géminée du XIVe siècle remontée dans le pignon.
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Cheminée de la grande salle basse au rez-de-chaussée du corps de logis oriental.
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Porte d'accès à une ancienne latrine dans l'escalier en vis.
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Portes d'accès à une ancienne latrine (à droite) et au deuxième étage sous combles (à gauche).
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Détail du linteau de la porte d'accès au deuxième étage sous combles.
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Cheminée au "haut bout" de la grande salle haute (premier étage) dans le corps de logis oriental.
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Piédroit (gauche) de la cheminée de la grande salle haute au premier étage du corps de logis oriental.
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Détail du manteau de la cheminée de la grande salle haute (premier étage) du corps de logis oriental.
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Vestiges d'une baie géminée qui ouvrait le mur-pignon sud du corps de logis oriental, au premier étage (grande salle haute).
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Porte à cadre chanfreiné dans le mur-pignon sud du corps de logis oriental (premier étage).
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Embrasure intérieure de la baie géminée percée dans le pignon sud du corps de logis oriental : coussièges.
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Détail d'un coussiège dans l'embrasure intérieure de la baie géminée perçant le pignon sud du corps de logis oriental.
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Détail de l'embrasure intérieure de la baie géminée ouvrant le pignon sud du corps de logis oriental.
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Détail d'un assemblage d'une ferme principale de la charpente du corps de logis oriental : jambe de force (marquée "IIII" au ciseau à bois), aisselier, chevron et faux-entrait
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Détail de l'assemblage d'une ferme secondaire de la charpente couvrant le corps de logis oriental : chevron, faux-entrait et aisselier, marqués au ciseau à bois "VIII".
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Puits avec sa margelle en pierre de taille dans la cour de l'ancien domaine noble.
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Vue de la tour-maîtresse du château de La Salle au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la tour-maîtresse du château de La Salle au nord-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretèches renfermant les latrines.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretèches renfermant les latrines.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretèche renfermant les latrines.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse : bretèche renfermant les latrines.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail de la face nord de la tour maîtresse, dernier étage : bretèche renfermant les latrines.
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Détail de la face nord de la tour maîtresse, dernier étage : bretêche renfermant les latrines.
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Vue de la tour-maîtresse au nord-ouest.
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