Ouvrage avancé dit batterie du Preau

France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Loix

La batterie du Preau est construite en 1742 pour défendre le banc de Bucheron et le Fier d'Ars. Elle se dégrade rapidement. En 1788, il est proposé d'y ajouter un corps de garde pour 16 hommes avec une pièce pour le gardien et d'une autre pour le dépôt de munitions qui est construit en 1792. En 1793, un "fourneau à rougir les boulets" est édifié. La batterie est désarmée en 1814, puis supprimée en 1841 alors qu'elle est encore mentionnée en 1854.

Périodes

Principale : 2e quart 18e siècle (incertitude)

Dates

1742, daté par source

Auteurs Auteur : auteur inconnu, maître d'oeuvre inconnu

En 1742, la batterie n'est qu'un simple épaulement en terre argileuse, revêtu de pierre sèche. En 1755, la batterie n'a ni parapet, ni barbette. Elle est armée de trois canons pour défendre l'entrée du fier d'Ars et défendre la droite du banc du Bucheron qui est favorable à une descente ennemie. Avant sa destruction, elle est composée d'un épaulement en terre, d'un corps de garde et d'un petit magasin à poudre en mauvais état et est armée de deux canons.

Murs
  1. Matériau du gros oeuvre : terre

    Revêtement : revêtement

Toits
État de conservation
  1. détruit

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Loix

Milieu d'implantation: isolé

Lieu-dit/quartier: l' Oisellière

Cadastre: 1828 E 13

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