Voie ferrée de Poitiers à Châteauroux par Le Blanc

France > Nouvelle-Aquitaine > Vienne > Saint-Savin

Projets de tracés et concession de la ligne

D'abord concédée à la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France, qui fit faillite, la voie de Poitiers à Limoges est dévolue par convention signée le 11 avril 1857 et approuvée par décret le 19 juin 1857, avec le ministre des Travaux publics à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO). La concession comprend en option une ligne « de Poitiers à Limoges, le dit chemin se reliant à la ligne de Châteauroux à Limoges à ou près le point de raccordement de cette dernière ligne avec le chemin de Montluçon à Limoges ».

La première section reprend le tracé de la voie ferrée de Poitiers-Limoges, mise en service en 1867 et pour laquelle la ville de Chauvigny avait tenté en vain d'obtenir un tracé par sa commune plutôt que par Lussac-les-Châteaux puis un tracé annexe de Lussac-les-Châteaux à Chauvigny.

La loi du 31 décembre 1875 prévoit une ligne de Poitiers au Blanc, non concédée (exécution des travaux par l'Etat, suivi par le bureau des Ponts-et-Chaussées de Poitiers avec des plans de l'ingénieur ordinaire Cahen, validés par l'ingénieur en chef Dupuy, tout au long du projet. Elle part de la gare de Mignaloux-Nouaillé, sur la ligne de Poitiers à Limoges, créée à l'occasion de la construction de l'embranchement, et les travaux sont entrepris par l’État (plans, appels d'offre, adjudications des différents lots de travaux). L'ingénieur a adapté les modèles du Recueil des types (maisons de gardes, stations : dispositions générales et bâtiments) pour l'étude et la construction des chemins de fer, annexé à la circulaire ministérielle du 26 avril 1880, publié par le Ministère des Travaux publics, direction générale des chemins de fer, ainsi que les modèles de ponts annexés à la même circulaire. Quelques ponts sont d'un "modèle spécial " (viaducs, ponts dans des configurations particulières, voir annexe).

Construction et ouverture par tronçons (1881-1887)

La section de Mignaloux-Nouaillé au Blanc est déclarée d'utilité publique par une loi du 7 avril 1879.

Le nombre et l'emplacement définitif des gares sont arrêtés après plusieurs projets en enquêtes de 1879 à 1883. Ainsi, dans les premiers tracés arrêtés, il n'y avait pas de halte à Jardres ni à Fleix.

La ligne est finalement concédée à titre définitif par l'État à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, par une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie, le 28 juin 1883 et approuvée par une loi le 20 novembre 1883. La compagnie Paris-Orléans en prend possession le 28 janvier 1884.

La voie est ouverte par tronçons :

- section de Saint-Benoît à Mignaloux-Nouaillé le 23 décembre 1867 (= tracé commun avec la ligne Poitiers-Limoges), avec modifications pour la bifurcation en 1881.

- section de Mignaloux-Nouaillé à Chauvigny le 18 juin 1883,

- section de Chauvigny à Saint-Savin le 28 septembre 1885,

- section de Saint-Savin au Blanc le 7 novembre 1887.

La liste des ouvrages d'art, gares et passages à niveau à maisons de garde-barrière est donnée en annexe à ce dossier.

Première section de Mignaloux-Nouaillé à Chauvigny (lot n° 1)

Les travaux du viaduc de Chauvigny sont adjugés en 1881 (voir ce dossier).

Un lot spécial de travaux est adjugé le 9 août 1881 à Maurice Dupuy, entrepreneur à Huismes (Indre-et-Loire), dans le cadre du raccordement à la voie ferrée de Poitiers à Limoges, avec notamment un léger déplacement des voies et la création d'une halte avec garage pour les trains à la bifurcation. Le décompte définitif des travaux, en février 1884, se solde à 86574,79 francs, avec un dépassement d'environ 10000 francs du budget initial. Les travaux de construction de la gare de Mignaloux-Nouaillé sont adjugés le 14 février 1882 à Léon Durand, entrepreneur à Tours..

Les expropriations sur le tracé de la voie sont achevées en juin 1882.

Les travaux de tabliers métalliques entre les profils 0 et 195 sont adjugés le 3 janvier 1882 à Antoine Gris, entrepreneur à Poitiers, pour un total de 25070 francs, porté à 25471,95 francs (coût total de 27400 francs avec les frais) par arrêté préfectoral du 20 novembre 1883.

En 1886, les terrains devenus inutiles sont attribués aux service vicinal (chemins), ponts-et-chaussées (routes), ou revendus à des particuliers.

Deuxième section de Chauvigny à la limite du département

Cette section concerne d'abord le tracé sur 24,940 km, du profil 195, après la station de Chauvigny, au profil 443 à la limite du département de la Vienne. Elle est ensuite subdivisée en deux, d'abord jusqu'à Paizay-le-Sec puis jusqu'à la limite du département.

Le nombre et l'emplacement définitif des gares sont arrêtés après plusieurs projets en enquêtes de 1879 à 1883. Le tracé de la ligne à Saint-Savin, avec une gare au nord et un viaduc en aval de Saint-Savin alors qu'un premier projet passait en amont par Antigny, est particulièrement contesté par les habitants de la rive droite de la Gartempe, avec une pétition adressée au ministre des travaux publics et des transports, imprimée et signée d'élus et d'habitants des communes de Saint-Germain, Haims, Antigny, Villemort, Angles, Saint-Pierre-de-Maillé et Béthines en juin 1880. La commission d'enquête publique conclut le 2 octobre 1880 au rejet de toutes les demandes, sauf la création d'une halte à Fleix, la prolongation du chemin d'accès à la gare jusqu'à l'ancienne RN 151 et l'exécution d'une rampe ou d'un escalier pour relier le chemin du Carroir à cette voie d'accès.

Les cahiers des charges, plans et devis (106000 francs) des maisons de garde-barrière entre Chauvigny (profil 194) et Saint-Savin (profil 395) sont signés par Cahen, ingénieur ordinaire, le 20 juin 1883 et validés par Dupuy, ingénieur en chef, le 27 juin 1883. Les travaux de construction sont adjugés au rabais le 27 octobre 1883 à Théophile Puizay, entrepreneur à Poitiers, au rabais pour 93865,93 francs. Théophile Puisay décède le 21 mars 1884 et son fils Léopold lui est substitué pour le marché. Les travaux sont réceptionnés avec réserves en mars 1886 pour un solde de 95640,06 francs. Il reste 11500 francs de travaux de finitions et reprises à réaliser.

Sous-section de Chauvigny à Paizay-le-Sec (lot n° 2)

Sous-section de Paizay-le-Sec à la limite du département (lot n° 3)

Ce lot s'étend sur 12,330 km, du profil 321 eu profil 443 + 70. Devant les difficultés de percement du rocher sur la commune de Saint-Germain, la ligne est dans un premier temps ouverte uniquement jusqu'à la gare de Saint-Savin.

L'enquête parcellaire pour l'acquisition des terrains est réalisée en octobre 1881.

Pour les communes d'Antigny à la limite du département (10 km des profils 344+38 m à 443+70 m), l'enquête publique est ordonnée par arrêté préfectoral du 8 octobre 1881. Les ingénieurs refusent la plupart des demandes de modifications de passages pour rétablir des chemins coupés par la voie.

Pour Saint-Germain et Saint-Savin, les ingénieurs acceptent quelques modifications sur les raccordements des chemins traversant la future voie

Le 3e lot, de Paizay-le-Sec à la limite du département de la Vienne, estimé à 1 039 460 francs, est adjugé au rabais le 1er juin 1882 à Antoine Lacroix, entrepreneur à Mazières-en-Gâtine (Deux-Sèvres), pour un montant total de 948 460 francs.

D'après le cahier des charges, pour cette section :

- les buses sont en béton de Portland (Boulogne-sur-Mer, Pas-de-Calais) mélangé avec du sable siliceux bien lavé dragué en amont de Saint-Savin ;

- la pierre de taille (pavages, bordures de trottoir) en calcaire dur provient des carrières de Lussac-les-Châteaux ;

- les moellons de la carrière des Valéraux près de Saint-Savin (en fait Antigny) ;

- le sable pour pavage et bordure des carrières de Saint-Germain ou sable de rivière ;

- le sable pour les ouvrages d'art est du sable siliceux bien lavé dragué en amont de Saint-Savin ;

- la chaux hydraulique pour les ouvrages d'art provient des fours de Paviers (Indre-et-Loire), marque Guillemain, et d'Echoisy (Charente), arque Modenel.

Les travaux des gares et stations de Saint-Savin, Paizay-le-Sec et Fleix sont adjugés le 10 novembre 1883 (approbation ministérielle du 17 décembre) à Despas père et fils, entrepreneurs de travaux publics aux Ormes. Il y a également un dépassement du budget initial et le marché est soldé pour un total de 254 427,95 francs (avis du ministère des travaux publics du 9 juin 1886, rapport de l'ingénieur ordinaire du 10 novembre 1886). Le budget initial est de 133804,61 francs pour la station de 3e classe de Saint-Savin, 84292,53 francs pour la station de 4e classe de Paizay-le-Sec et 13216,55 francs pour la halte de Fleix qui est une maison de garde avec annexe.

Le 19 avril 1884, les travaux métalliques des ponts de Chauvigny à la limite du département sont estimés à 33021,80 francs et adjugés à la Société anonyme des forges de Franche-Comté, à Besançon, pour 21794,39 francs. Les travaux doivent être réalisés dans un délai très court, avant le 6 octobre 1884.

L'exécution des tabliers métalliques de trois ponts de 2,4 et 6 m d'ouverture est attribué en juin 1886 par marché de gré à gré pour 10200 francs à Albert Giessen, constructeur à Poitiers, qui avait été classé 6e (sur 8) à l'appel d'offre précédent. Ce marché concerne un pont de 7 m à Antigny, (avant le pont de 6 m sur l'ancienne RN 151 et le pont de 4 m sur le chemin des Vallereaux à Saint-Savin.

Les travaux sont réceptionnés provisoirement le 16 octobre 1884. Les travaux de la gare de Saint-Savin (modifications à la demande de la compagnie) et les travaux en tranchée dans le rocher sur la commune de Saint-Germain, à l'est du viaduc sur la Gartempe, entraînent des dépassements de budget et à des arbitrages en 1884-1885.

La construction des maisons de garde-barrière de la partie entre le profil 395 de la ligne de Poitiers au Blanc (après la station de Saint-Savin) et le profil 180 de la ligne de Tournon-Saint-Martin à la Châtre (extrémité de la gare au Blanc) sur une longueur de 21,188 km est adjugée le 27 février 1886 à la préfecture de Châteauroux.

La section située dans le département de l'Indre (12,509 km) est achevée au milieu de l'année 1887, permettant d'ouvrir à la circulation des trains la totalité du trajet de Poitiers au Blanc le 7 novembre 1887.

Achèvement de la ligne et remise à la compagnie d'Orléans

Avant la remise de la voie à la compagnie d'Orléans, plusieurs travaux de faible ampleur doivent être achevés en 1886-1887. Il s'agit également de modifier les gares de Saint-Julien-l'Ars, Jardres et Chauvigny pour permettre la réception des pierres de taille en tenant compte des demandes de la Société des Carrières du Poitou, notamment en provenance d'un tronçon privé qui dessert la carrière de Normandoux.

En 1891, les terrains devenus inutiles sont attribués aux service vicinal (chemins), ponts-et-chaussées (routes), ou revendus à des particuliers.

Entretien de la ligne et transformations jusqu'à nos jours

Les décisions ministérielles CF 4 n ° 507 des 13 mai et 14 octobre 1925 autorisent la suppression d'une série de barrières sur les lignes Poitiers-Limoges, Poitiers-Le Blanc, Montmorillon-Le Blanc, Le Dorat-Magnac-Laval et Port-de-Pilles-Le Blanc (départements de la Vienne, de la Haute-Vienne et d'Indre-et-Loire).

Faute d'approvisionnement en charbon, la ligne a été fermée au service des voyageurs pendant la Seconde Guerre mondiale entre Mignaloux-Nouaillé et le Blanc, à partir du 27 mai 1940.

Le service des marchandises a disparu progressivement entre Jardres et Le Blanc de 1988 à 1994. La ligne a été déclassée de Jardres à Saint-Aigny-Le Blanc le 10 novembre 1993 et de Saint-Aigny-Le Blanc au Blanc , le 17 octobre 2001. Il subsiste un trafic de marchandise entre Mignaloux-Nouaillé et Jardres pour desservir le silo de Jardres.

Un tronçon aux environs de Chauvigny est utilisé par un vélorail sur environ 8,5 km de Chauvigny à Fleix.

Entre Fleix, à 8 km à l'ouest de Saint-Savin, et Le Blanc, l'ancienne voie ferrée constitue une " voie verte " rattachée au tronçon de Tours à Dax de l'Eurovélo ou véloroute 3 reliant l’Europe du Nord (Trondheim) à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Périodes

Principale : 4e quart 19e siècle

Auteurs Auteur : Lacroix Antoine

Entrepreneur de travaux publics à Mazières-en-Gâtine (Deux-Sèvres), attributaire du 3e lot (Paizay-le-Sec à la limite du département de la Vienne) de la voie ferrée de Poitiers au Blanc, en 1882-1885.

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Despas père et fils

Entrepreneurs de travaux publics aux Ormes, construisent les gares et haltes de Fleix, Paizay-le-Sec, Saint-Savin de 1882 à 1886.

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Cahen A.

Ingénieur ordinaire affecté au contrôle de l'arrondissement du nord de la Vienne (Châtellerault) dans les années 1860 (notamment contrôle des bacs sur la Vienne, le Clain et le nord de la Gartempe) ; il dessine les plans de l'avant-métré de la ligne de chemin de fer Poitiers-Le Blanc en 1882-1883.

, ingénieur des Ponts et Chaussées (attribution par source)
Auteur : Giessen Albert

Entrepreneur à Poitiers, travaux métalliques (ponts, hangars) sur la voie ferrée Poitiers-Le Blanc entre 1883 et 1886.

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Société des Hauts Fourneaux, Fonderies et Forges de Franche-Comté

Société de construction métallurgique basée à Fraisans dans le Doubs (25). En 1884, son siège social est à Besançon (Doubs) et elle est représentée par Paul Girod, 58 Grande'Rue à Besançon.

Voir : https://patrimoine.bourgognefranchecomte.fr/dossiers-inventaire/ensemble-metallurgique-de-la-societe-des-hauts-fourneaux-fonderies-et-forges-de-franche-comte-ia00125887

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Gris Antoine

Entrepreneur, boulevard Pont-Achard à Poitiers. Réalise de nombreux travaux pour la construction de la préfecture de Poitiers (fin du marché de maçonnerie, grille, terrassement cour et jardins, etc.) en 1863 et des travaux sur les ouvrages d'art de la ligne de chemin de fer de Poitiers au Blanc en 1882.

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Ce dossier a été réalisé à l'occasion de l'inventaire du patrimoine de la vallée de la Gartempe ; il reprend également les données recueillies dans le cadre d'autres études (inventaire du patrimoine avec les voies ferrées de la Communauté d'agglomération de Poitiers, voies ferrées du canton de Saint-Julien-l'Ars). Les photographies sont classées dans le sens de la voie de Poitiers vers Limoges, documents anciens et photographies actuelles confondues.

La ligne Poitiers-Le Blanc se détache de celle de Limoges à la sortie de la gare de Mignaloux-Nouaillé. Après avoir traversé à niveau la RN 147 (Limoges-Poitiers), elle passe à proximité de Savigny-Lévescault où une halte, était à la disposition des voyageurs, puis, coupant à niveau la RN 151 (Poitiers-Chauvigny-Bourges), elle contourne par l'ouest et le nord le village de Saint-Julien-l'Ars, dont la gare, est située à proximité de la route de Lavoux, CD n° 1. Tracée ensuite parallèlement et à peu de distance de la RN 151, elle dessert la gare de Jardres, puis décrit une large courbe vers le nord pour aborder obliquement le flanc de la vallée de la Vienne. Elle atteint ainsi Chauvigny dont la gare est située à proximité des importantes carrières de pierre de taille. Après Chauvigny et jusqu'à l'entrée de Saint-Savin (sur la commune d'Antigny), le tracé est ouest-est, puis la voie adopte une grande courbe près de la Vigne-aux-Moines (commune d'Antigny). Après le croisement avec l'ancienne route RN151, qui était franchi par un passage à niveau, la voie adopte un tracé plus ou moins sud-nord, en longeant le plateau qui borde la vallée de la Gartempe qu'elle franchit par un viaduc environ 2 km après la gare de Saint-Savin. Elle s'engage alors dans un secteur boisé où elle recoupe un vallon sec, alternant une zone de déblais et de remblais avec de nombreux ouvrages d'art (cinq ponceaux de la taille d'un petit passage inférieur).

Entre Poitiers et Le Blanc, la ligne desservait donc dans la Vienne les gares et haltes de Saint-Benoît, Mignaloux-Nouaillé, Savigny-Lévescault, Saint-Julien-l'Ars, Jardres, Chauvigny, Paizay-le-Sec, Saint-Savin, et dans l'Indre les gares de Ingrandes-Mérigny, Concremiers et la halte de Saint-Aigny-Le Blanc où la ligne reprend le tracé de la ligne de Civray au Blanc par Montmorillon.

La carrière de Normandoux (calcaire dit " de Chauvigny ") à Tercé bénéficie de deux voies industrielles, l'une vers la station de Fleuré sur la ligne Poitiers-Limoges et l'autre vers la gare de Jardres, sur la ligne Poitiers-Le Blanc où un pont en béton armé a été édifié en 1923.

Les principaux ouvrages d'art sont

- dans la Vienne, outre le tunnel de Saint-Benoît (206 m) sur la voie Paris-Bordeaux, le viaduc de la Caronnière (92 m), le viaduc sur la Vienne à Chauvigny (168 m), le pont en pierre de la route de Lussac à Chauvigny, le viaduc sur la Gartempe (communes de Saint-Savin et Saint-Germain, 97 m),

- et dans l'Indre le viaduc sur l'Anglin à Ingrandes, le viaduc sur la Creuse au Blanc (21 arches pour 528 m de longueur).

Les deux gares de Saint-Julien-l'Ars et de Jardres sont du même modèle : un corps de bâtiment à un étage, une façade de quatre travées (voir les dossiers pour plus de détails).

Les petites gares d'intérêt local (haltes ou stations) présentent un corps de bâtiment à un étage, à façade de deux travées.

Les maisons de garde barrière, devenues également des propriété privées, ne présentent qu'un corps de bâtiment en rez-de-chaussée surmonté d'un comble à surcroît éclairé sur les pignons latéraux. Les baies sont à encadrements saillants ; les chaînes d'angles sont harpées. La station de Savigny-Lévescault est construite sur le même modèle. Elle a conservé le corps de bâtiments en bardeaux, en rez-de-chaussée, accolé à son élévation postérieure.

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Saint-Savin

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Saint-Germain

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Nalliers

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Antigny

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Chauvigny

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Poitiers

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Mignaloux-Beauvoir

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Paizay-le-Sec

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Jardres

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Saint-Julien-l'Ars

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Sèvres-Anxaumont

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Nouaillé-Maupertuis

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Saint-Benoît

Milieu d'implantation: isolé

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Vienne , Fleix

Milieu d'implantation: isolé

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