Vallée de la Gartempe

France > Nouvelle-Aquitaine > Vienne > Jouhet

Longue de 200 km, la Gartempe traverse les départements de la Creuse, de la Haute-Vienne et de la Vienne. Ses paysages préservés attirent aujourd'hui amateurs de patrimoine et sportifs de pleine nature.

Une rivière bordée de sites préhistoriques majeurs

Plusieurs sites archéologiques importants sont installés sur les bords de la Gartempe : les grottes de la Piscine à Montmorillon et du Taillis des Coteaux à Antigny témoignent d'une occupation depuis plus de 40000 ans. D'autres sites sont implantés sur des affluents de la Gartempe, à quelques centaines de mètres : le site du Roc-aux-Sorciers à Angles-sur-l'Anglin avec sa frise sculptée magdalénienne ou la grotte des Cottés à Saint-Pierre-de-Maillé.

La Gartempe face au climat au fil des siècles

La Gartempe est soumises aux aléas climatiques et est soumise à des crues et débâcles exceptionnelles, des étiages très bas ou encore des gels exceptionnels. Les dossiers signalés en liens présentent des documents plus complets. La liste ci-dessous ne donne que les principaux événements signalés du 18e au 21e siècles.

Crues

Hauteurs d'eau au moulin des Dames et aux Grands-Moulins (Montmorillon), crues de 1844, 1855 et valeurs d'étiages par rapport à un repère provisoire (point zéro) installé pour le relevé. Delafont, ingénieur, 1858.

" La Gartempe est une rivière torrentielle sujette à des crues aussi fortes qu'imprévues et d'autant plu sensibles à Saint-Savin que la vallée y est très resserrée " (Grissot de Passy, ingénieur des Ponts-et-Chaussées, Archives départementales de la Vienne, 7 S 100).

La hauteur des crues les plus anciennes ne peut s'évaluer qu'aux dégâts rapportés dans les archives ou la presse au 19e siècle. Au 19e siècle, les hauteurs de crues sont calculées à partir d'un repère situé plus haut que les plus hautes eaux connues de la rivière. C'est pourquoi les valeurs d'étiage (basses eaux) peuvent avoir, dans les archives, des chiffres supérieurs aux valeurs de crues.

Le niveau d'eau conditionne le passage au niveau des bacs, dont les règlements fixent un niveau d'étiage en deçà duquel la traversée est impossible, un niveau de " surtaxe ", qui double le prix du passage, quand les eaux sont hautes et nécessitent des précautions pour la traversée, un niveau d'interdiction, quand le débit de l'eau rend la traversée trop périlleuse. Ces niveaux sont signalés par des poteaux implantés sur les berges. Certains bacs ont un port d'été et un port d'hiver, afin de faciliter la traversée.

Des documents d'archives citent des crues exceptionnelles de la Gartempe :

- 1750 : la crue provoque des dégâts sur 100 pieds et une large brèche de 15 pieds au moulin d'Antigny et endommage une de ses roues et des dégâts importants au barrage du moulin de Saint-Savin ;

- en novembre 1761, Jean-Baptiste Parent, ingénieur de la province de Poitou, dans son état des lieux de l'abbaye de Saint-Savin et de ses dépendances, ne peut pas visiter le moulin d'Antigny, sous les eaux, et la maison du meunier, pourtant réparée récemment (1759-1760) par les religieux, s'est effondrée ;

- en 1792, une crue submerge toutes les arches à l'exception de la partie supérieure de l'arche centrale du vieux-pont de Saint-Savin ;

- le 20 janvier 1836, l'eau a atteint les premiers rangs de tuile du moulin et la croix à Vicq-sur-Gartempe ;

- 1837 : passage d'eau (bac) du Breuil à La Roche-Posay ;

- en janvier 1840, la crue a atteint 34 cm au-dessous du repère à Saint-Savin ;

- 10 janvier 1843 : passage d'eau (bac) du Breuil à La Roche-Posay ;

Crue du 26 février 1844 au vieux-pont de Saint-Savin.

- le 26 février 1844, la crue atteint près de 3 m au-dessus du niveau d'étiage ordinaire au niveau du moulin de la Promenade (moulin de l'abbaye) à Saint-Savin ; trois arches du vieux-pont à Saint-Savin sont entièrement submergées. Les eaux se sont élevées à 0,91 cm au-dessus du repère alors que les eaux ordinaires sont 2,95 m en contrebas et les crues ordinaires à 1,47 m sous le repère. Cette crue a failli emporter le pont neuf tout juste construit à Montmorillon ;

- 24 juin 1845, crue signalée au passage d'eau (bac) du Breuil à La Roche-Posay ;

- la crue du 5 mai 1851 a failli emporter le pont neuf à Saint-Savin alors en construction ; l'entrepreneur Casimir Lebec est gravement blessé : il est " parvenu à sauver les cintres du pont appartenant à l'Etat ", mais il reste paraplégique avec de nombreuses douleurs ;

- décembre 1855 : la crue atteint 8,83 m à Saint-Savin (repère 0 inconnu) ;

- 15 avril 1856 : la crue submerge le passage d'eau (bac) du Breuil à La Roche-Posay près de la confluence avec la Creuse ;

- une crue importante est notée le 1er novembre 1859 sur les plans du moulin de la Gassotte à Saint-Savin ;

- hiver 1879-1880 : les pluies torrentielles maintiennent un haut niveau de la rivière ;

- en 1880, une crue dans la nuit du 11 au 12 juin a submergé au mois de juin jusqu'au dessus du toit un lavoir rue Fontaine-de-l'École à Montmorillon et du moulin de Vicq (l'eau a atteint 4,50 m au-dessus du pont) et emporté le pont suspendu de Vicq-sur-Gartempe ;

- en septembre 1881, de fortes crues endommagent les fondations du pont de Massugeon tout juste construit à Lathus-Saint-Rémy ;

- le 7 janvier 1882, la crue envahit la maison du passeur de Barbousseau à Saint-Pierre-de-Maillé ;

- 1883 : le haut niveau de la Gartempe empêchent des travaux au moulin de la Gassotte à Saint-Savin ;

- 17 mai 1896 ;

- 29 octobre 1896 : la crue importante de la Gartempe, comme de nombreuses rivières au niveau national, contribue à une importante crue de la Creuse en amont de la confluence avec la Gartempe (7,30 m) ; elle envahit l'église et le presbytère de Saint-Germain ;

- mars 1913 (crue décennale) ;

- 10 juillet 1927 : une crue détruit le deuxième pont suspendu de Vicq-sur-Gartempe ; le pont neuf à Montmorillon est presque submergé ; seul émarge le sommet du toit du lavoir voisin ;

- décembre 1944 ;

- 1962 ;

- 6 janvier 1982 ;

- 18 décembre 1982 ;

- 4 mars 2006 ;

- 2 mars 2007 ;

- 2 juin 2016 ;

- 30 mars 2024 : la crue est mesurée à 4,80 m à Lathus-Saint-Rémy, 4,95 m à Montmorillon, 4,45 m à Saint-Savin (avec 60 cm d'eau dans la crypte sous l'église abbatiale), 5,78 m à Vicq-sur-Gartempe, contribuant à une importante crue de la Creuse en amont de la confluence avec la Gartempe (6,78 m).

Sécheresse

A l'inverse, des étiages très bas sont également mentionnés.

- étiage de 1845 : figuré sur les plans du pont neuf de Saint-Savin ;

- 2 août 1852 : étiage extraordinaire figuré sur les plans du pont neuf de Saint-Savin ;

- juin 1874 : les basses eaux, autour de 20 cm sous le niveau d'étiage, permettent une visite des fondations des ponts par les Ponts-et-Chaussées.

Gel

Débâcle de la Gartempe après le gel de l'hiver 1984-1985.

En 1754, l'écluse du moulin d'Antigny est endommagée par les glaces et les grandes eaux, ce qui entraîne une réparation importante (400 livres tournois). En juillet 1757, une brèche de 70 pieds causée à l'écluse du moulin de Saint-Savin par les glaces l'hiver précédent est réparée (342 livres).

La Gartempe est entièrement gelée pendant plusieurs semaines en 1788-1789 : à Jouhet, le mercure du thermomètre de M. de Moussy a gelé à -17° pendant la nuit du 30 au 31 octobre 1788. Le gel de la Gartempe a été constant du 30 octobre 1788 au 8 janvier 1789, sur une épaisseur qui a atteint jusqu'à 20 à 25 pouces (soit 50 à 70 cm) et une débâcle impressionnante le 14 janvier, qui a nécessité des interventions pour sauver son château de la Contour et ses ouvrages hydrauliques (moulin, prise d'eau, barrage...).

La débâcle des glaces de l'hiver 1860-1861 a emporté l'un des pontons du bac de Busserais.

La rivière gèle sur plusieurs centimètres d'épaisseur au cours de l'hiver 1984-1985.

Franchissements de la rivière

Traversées anciennes

	 Passage de la Gartempe au Gué de Sciaux à Antigny, rive gauche.La voie romaine de Poitiers à Lyon via Bourges franchit la Gartempe entre Saint-Savin et Antigny, au lieu-dit le Gué-de-Sciaux, où se développe une agglomération secondaire (vicus) avec un important ensemble monumental (thermes, temple). L'ancienne route de Poitiers à Avallon traverse Saint-Savin au gué de la Croix-ronde, situé quelques dizaines de mètres en aval du vieux pont.

L'abbaye de Saint-Savin et la Maison-Dieu à Montmorillon étendent leurs bâtiments parallèlement à la rivière et contrôlent, durant tout le Moyen-Âge et l'Ancien Régime, de nombreux établissements (églises, prieurés, moulins) le long de la rivière et bien au-delà.

Sur l'actuel territoire du département de la Vienne, deux ponts permettent de franchir la Gartempe au Moyen-Âge : le vieux pont de Montmorillon et le vieux pont de Saint-Savin-Saint-Germain.

Les services de bacs et passages d'eau, sous l'Ancien Régime, sont en grande partie contrôlés par l'abbaye de Saint-Savin.

L'ancien pont de Saint-Pierre-de-Maillé est mal documenté.

Gués

Tracé du gué au moulin de Maillé sur la Gartempe, plan dressé en 1825 par l'ingénieur P. Leblanc.

Les passages à gué sont encore parfois signalés dans les documents du 19e siècle, plans cadastraux, règlements de moulin, etc..

Bacs au 19e siècle

Plan des travaux à réaliser aux abords du bac d'Antigny, 1860, Delafont ingénieur.

Après la Révolution, les services sont organisés par l’État, qui émet au cours du 19e siècle des appels à concurrence pour affermer les passages dans la plupart des communes riveraines de la Gartempe. Du sud vers le nord se trouvaient :

- le bac de Chez-le-Pey (commune de Lathus-Saint-Rémy) ;

- le bac du moulin du pont entre Lathus-Saint-Rémy et Saulgé ;

- le bac de Lenest à Saulgé ;

- le bac du moulin de Saulgé ;

- le bac du bourg de Saulgé ;

- le bac de Jouhet-Pindray (figuré sur la carte de Cassini)

- le bac d'Antigny ;

- le bac de Nalliers ;

- le bac situé près du moulin de Busserais (commune de La Bussière) ;

- le bac de Barbousseau (commune de Saint-Pierre-de-Maillé) ; le bac public est mis en service en 1844 après une noyade sur le passage privé organisé par l'usinier du moulin de Busserais ; il est supprimé en 1861 ;

- le bac de Vicq-sur-Gartempe ;

- le bac du Breuil à La Roche-Posay.

Ces services du bac sont supprimés au fur et à mesure de la construction et de la mise en service des ponts.

Ponts construits au 19e siècle

Pont de Vicq-sur-Gartempe, élévation, Escarraguel frères, 1837.

De nouveaux ponts sont construits au cours du 19e siècle pour franchir la Gartempe. Ils ouvrent progressivement ; les ponts suspendus ont tous été détruits et reconstruits. Ils ont été inaugurés en :

- 1838 : premier pont suspendu de Vicq-sur-Gartempe ;

- 1845 : nouveau pont de Montmorillon ;

- 1852 : pont-neuf de Saint-Savin ;

- 1857 : pont de Saint-Pierre-de-Maillé ;

- 1860 : pont de la RD 10 sur la Gartempe ou pont de Monroux / Chez-Ragon à Lathus-Saint-Rémy ;

- 1877 : pont de Jouhet-Pindray ;

- 1880 : pont de Nalliers ;

- 1880 : pont de Massugeon ou pont du Breuil à Lathus-Saint-Rémy (Vienne) et Thiat, aujourd'hui Val-d'Oire-et-Gartempe (Haute-Vienne) ;

- 1881 : nouveau pont suspendu de Vicq-sur-Gartempe ;

- 1885 : pont d'Antigny ;

- à préciser vers 1878 : pont du bourg de Saulgé.

Viaducs

La voie ferrée de Poitiers à Limoges, inaugurée le 23 décembre 1867, franchit la Gartempe sur un viaduc à Montmorillon.

La voie ferrée aujourd'hui désaffectée de Poitiers (Saint-Benoît) à Châteauroux par Le Blanc franchit la Gartempe par un viaduc mis en service en 1887 à Saint-Savin.

Ponts construits ou reconstruits aux 20e et 21e siècles

- 1909 : pont de Busserais à La Bussière ;

- 1931 : nouveau pont suspendu, en métal, de Vicq-sur-Gartempe ;

- 1988 : le dernier pont construit sur la Gartempe est le pont René Monory sur la rocade de Montmorillon ;

- 1989 : reconstruction en béton du pont de Vicq-sur-Gartempe.

Moulins et barrages

De nombreux moulins et barrages rythment le cours de la Gartempe à partir du Moyen-Âge. Sous l'Ancien-Régime, ils dépendent notamment de l'abbaye de Saint-Savin et de seigneurs locaux.

En 1910, l'administration autorise la construction d'un barrage hydroélectrique à Lathus. Commencés en 1913, les travaux sont interrompus par la Première Guerre mondiale et le barrage ne sera jamais achevé, malgré une tentative de relance du projet en 1940.

Autres industries

D'autres industries qui ont des besoins importants en eau s'installent sur les rives de la Gartempe :

- le flottage du bois à bûches perdues a eu lieu jusqu'en 1791 depuis le moulin de la Bessonnière, à Lathus, et depuis Montmorillon, à destination de Nantes et Saumur (voir annexe) ;

- des fours à chaux à Saulgé ;

- des tanneries ;

- une usine à gaz à Montmorillon ;

- un abattoir à Saint-Savin et un autre abattoir à Montmorillon, à plusieurs emplacements successifs : voir l'emplacement au début du 19e siècle, l'abattoir construit en 1894...

Périodes

Principale : Préhistoire, Antiquité, Moyen Age, Temps modernes, Epoque contemporaine

Auteurs Auteur : maître d'oeuvre inconnu,

La vallée de la Gartempe présente une faune et une flore remarquables, qui lui valent d'être reconnue comme un site écologique majeur. La lamproie marine, les écrevisses à pieds blancs, le cincle plongeur et la loutre y trouvent refuge. La ripisylve, boisement des rives, est encore présente et dense sur la quasi totalité de ses berges. Longue de 200 km, la Gartempe traverse les départements de la Creuse, de la Haute-Vienne et de la Vienne. Ses paysages préservés attirent aujourd'hui amateurs de patrimoine et sportifs de pleine nature.

Gardempe, Gardemple, Gartempe

Transition entre le Massif central et la vallée de la Loire, la Gartempe, parfois aussi orthographiée Gardempe, notamment sur certains plans cadastraux du 19e siècle voir Gardemple (plan cadastral de La Roche-Posay), nom dérivé du Guardampa flumen des plans du 17e siècle, traverse, sur quelque 200 km, un paysage dominé par le bocage.

Sites archéologiques, ponts, barrages et moulins ponctuent son cours. Dans les quatorze communes de la Vienne, elle est dominée par des édifices imposants, comme la Maison-Dieu à Montmorillon, les châteaux de Pruniers à Pindray ou de Boismorand à Antigny, la Villa des Îles à Vicq-sur-Gartempe, et bien sûr l'abbaye de Saint-Savin et ses exceptionnelles peintures murales, fleuron de la Vallée des Fresques.

Géologie

Transition entre le Massif central et la vallée de la Loire, la Gartempe traverse, sur quelque 200 km, un paysage dominé par le bocage.

Du granite du Massif central...

Le chaos granitique appelé Portes d'Enfer ou Roc d'Enfer à Lathus-Saint-Rémy.La Gartempe prend sa source à Peyrabout, dans le département de la Creuse, à une dizaine de kilomètres au sud de Guéret. Après avoir parcouru une centaine de kilomètres d'est en ouest à travers les terres granitiques de la Creuse et de la Haute-Vienne, elle infléchit son cours vers le nord à Peyrat-de-Bellac.

Elle entre dans le département de la Vienne par les "Portes d'Enfer" ou "Roc d'Enfer", sur la commune de Lathus-Saint-Rémy. Ce chaos granitique est un lieu privilégié pour la pratique des sports de plein air, canoë, kayak, rafting, escalade, course d'orientation ou randonnée.

... au calcaire du Bassin parisien

Ripisylve vue depuis Coupé, commune de Pindray.À la sortie de ce passage mouvementé, la Gartempe coule dans une vallée peu encaissée, bordée par une végétation dense, la ripisylve, composée d'arbres qui apprécient la présence de l'eau : saules, aulnes, frênes les pieds dans l'eau, érables et ormes à mi hauteur, charmes et chênes pédonculés sur le haut des berges. Interrompu au niveau des communes, ce boisement des rives reprend ses droits dès la sortie des bourgs.

Elle traverse ou borde les communes de Saulgé, Montmorillon, Pindray, Jouhet, Antigny, Saint-Savin, Saint-Germain, Nalliers, La Bussière, Saint-Pierre-de-Maillé, Angles-sur-l'Anglin sur quelques dizaines de mètres, Vicq-sur-Gartempe, avant de se jeter dans la Creuse au lieu-dit le Confluent, sur les communes de La-Roche-Posay (rive gauche) et d'Yzeures-sur-Creuse (rive droite), en Indre-et-Loire. Elle reçoit les eaux de nombreux affluents, ruisseaux et rus (voir le ruisseau des Écurioux affluent de la rive gauche à Montmorillon, le ruisseau du Rimorin affluent de la rive droite à Montmorillon, rive droite le Chambon et les rus de Jouhet).

Non flottable ni navigable, la rivière a donné lieu à des descriptions par différents ingénieurs des Ponts-et-Chaussées, écrivains, riverains, etc. :

- " la Gartempe est une rivière torrentielle sujette à des crues aussi fortes qu'imprévues et d'autant plus sensibles à Saint-Savin que la vallée y est très réservée " (rapport de l'ingénieur Grissot de Passy en 1846 à propos du moulin de la promenade à Saint-Savin) ;

- " La plus folle des rivières sages, le plus paisible des torrents " (Robert Bréchon) ;

- " Il est un coin du Poitou dans lequel coule une rivière qui, tour à tour, prend des allures de torrent puis se pavane un peu plus loin comme une Loire paresseuse : elle s'appelle la Gartempe " (Régine Deforges, Sur les bords de la Gartempe, éditions Fayard, 1985).

Localisation

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