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Port de Meschers-sur-Gironde
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Meschers-sur-Gironde
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Titre : Port de Meschers-sur-Gironde
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Période : 3e quart 19e siècle, 4e quart 20e siècle
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Localisation : Charente-Maritime , Meschers-sur-Gironde
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive droite)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2013
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Auteur du dossier : Suire Yannis
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
Un port depuis le Moyen Age
Sans doute actif depuis le Moyen Age, en tout cas aux 16e et 17e siècle, le port de Meschers est représenté au début du 18e siècle par l'ingénieur Claude Masse, sur un plan du bourg. Il apparaît sous la simple forme d'un chenal recourbé, en aval d'un cours d'eau sinueux provenant des marais, sans aucune écluse ou porte dessus. Le plan mentionne juste une construction à proximité, et un chemin reliant le port au bourg, comme aujourd'hui l'avenue du Port.
Sous la Révolution, le port de Meschers garde une certaine activité. En 1800, un charpentier de navire, le seul de la commune, y est mentionné : Daniel Dou. Des quantités importantes de blé venant de Saintonge transitent vers Bordeaux et les autres ports de la Gironde et de la Dordogne.
Au début du 19e siècle, comme pour la plupart des ports voisins le long de l'estuaire, celui de Meschers fait l'objet de réclamations demandant son aménagement pour faciliter le commerce et la navigation. Dès 1802, le conseil municipal demande la création d'une jetée pour protéger l'entrée du port. En 1807, M. Guérin présente un projet de vanne à établir "sur le canal de Meschers" (à moins qu'il ne s'agisse d'une vanne pour le ruisseau de Bardécille, dans les marais).
Les aménagements des années 1830-1870
Le 22 juin 1827, L. Pasquier établit un devis des travaux à réaliser : redressement du chenal, construction d'une écluse de chasse, creusement d'un bassin de retenue alimenté par les eaux des marais en amont, qui se jettent dans le chenal. Autorisés par ordonnance royale du 8 avril 1829, les travaux sont adjugés à M. Croze, de Saujon. Leur réception définitive a lieu le 12 octobre 1830. L'opération se limite toutefois à la création de l'écluse, sans bassin de retenue, et au redressement partiel du chenal.
Le résultat des ces travaux apparaît sur le plan cadastral de 1831. On y voit le chenal à travers les marais, avec sur la rive gauche un pacage privé, des marais salants à la place de l'actuel bassin d'échouage, des prés et des fossés à l'emplacement du bassin à flot. L'écluse construite en 1829-1830 assure désormais la transition entre le chenal et le cours d'eau en amont.
L'opération s'avère vite insuffisante : le chenal reste tortueux et étroit, surtout en aval, les quais sont submergés à chaque marée, l'écluse n'assure pas bien son rôle, faute de bassin de retenue. En 1836, l'ingénieur en chef des Ponts et chaussées, Lescure-Bellerive présente un projet visant à construire une véritable écluse de chasse, en aval de la première, à creuser un bassin de retenue, à établir une chaussée sur la rive gauche, à aménager la rive droite, et à élargir et rectifier le chenal. Ce projet se perd ensuite et revient, réévalué, en 1845 et 1847 dans les mains des ingénieurs Botton et Potel. Il est alors complété par des quais, des bornes d'amarrage, une cale d'embarquement et deux jetées de part et d'autre du chenal, redressé.
Malgré les réclamations de la municipalité, les travaux ne débutent qu'en 1861 : le 22 novembre, ils sont adjugés à Antoine Ferry, entrepreneur qui travaille à la même époque aux aménagements des ports de Mortagne, Saint-Seurin-d'Uzet et Port-Maubert. Les travaux consistent alors en ceci : régularisation, élargissement et approfondissement du chenal ; prolongement du terre-plein de la rive droite jusqu’à la falaise pour établir une chaussée, des chantiers de construction et des dépôts de lests et de marchandises ; construction d'une jetée avec perrés en pierre sur la rive gauche ; construction d’une nouvelle écluse de chasse en tête du chenal, établissement d’une cale et de bornes d’amarrage. En 1865, on ajoute à ces travaux la construction d’une cale verticale, les berges, très élevées, étant difficiles d’accès aux navires. Des travaux supplémentaires sont engagés en 1878 sur les quais, avec création du musoir au bout de la rive droite, et recouvrement des perrés en moellons de Blaye.
Grâce à ces travaux successifs, le port connaît un développement assez important dans la seconde moitié du 19e siècle et jusqu'au début du 20e, sans atteindre toutefois le niveau de certains ports voisins où l'activité est entrainée par un établissement industriel (les Monards, Mortagne...). Des cartes postales du début du 20e siècle montrent le va-et-vient des gabarres et des filadières, lié au commerce et à la navigation, l'activité de pêche aussi, avec des filets mis à sécher sur les rives du chenal. Dans l'Entre-deux-guerres, le port de Meschers est un des points de départ de la pêche à l'esturgeon qui, avec la préparation du caviar, fait jusque dans les années 1960 la fortune des petits ports estuariens.
Après 1945, d'un port à l'autre
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le port apparaît en mauvais état, comme les ports voisins. Il n'a guère changé depuis les aménagements du 19e siècle : une écluse de chasse qui régule l'eau provenant du cours d'eau en amont ; le chenal en aval, avec une chaussée et des cales aménagées sur la rive droite ; une jetée avec des perrés maçonnés, et des terrains appartenant à l'Etat, sur la rive gauche. En 1954, autorisation est donnée d'établir des cabanes de pêcheurs le long du chenal, sur la rive droite.
Dans les années 1960, les projets d'amélioration, d'agrandissement et même de création d'un port de plaisance fleurissent. Le premier, élaboré en 1967, propose la création d'une autre jetée, sur la rive droite, en aval du chenal, s'appuyant sur la pointe rocheuse, pour abriter un petit port de plaisance. En 1974, un vaste complexe est avancé pour la rive gauche avec création de nouvelles jetées, d'un bassin à pontons, de résidences avec commerces au rez-de-chaussée, d'une plage, d'un centre culturel et de loisirs, d'un jardin public et de plusieurs lotissements. Le tout s'étalerait entre l'ancien chenal et la ferme de Saint-Martin, et même au-delà, y compris en gagnant de l'espace sur l'estuaire. D'autres projets urbains et portuaires tout aussi pharaoniques sont proposés dans les années 1980.
Finalement, on s'en tient dans un premier temps à la création, en 1985, d'un bassin d'échouage sur la rive gauche du chenal. D'une superficie de 6000 mètres carrés, il offre alors 122 places sur pontons flottants, mais il se trouve vite saturé. En 1990, on creuse alors un second bassin, cette fois à flot, c'est-à-dire maintenu en eau en permanence grâce à l'écluse de chasse qui est reconstruite. Ce bassin propose 121 places sur pontons flottants. Quelques commerces s'installent ensuite sur la rive gauche, au-delà du premier bassin, suivis par la capitainerie en 2008 (construite sur les plans de l'agence d'architecture Impact Urbanisme, de La Rochelle).
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 3e quart 19e siècle, 4e quart 20e siècle |
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Dates |
1861, daté par source 1985, daté par source 1990, daté par source |
Description
Le port se situe au sud de la commune, à la jonction entre la corniche de falaises, l'anse de Dau et les marais. Un avant-chenal long de 250 mètres le relie à l'estuaire de la Gironde, à travers les vases. Il donne accès à un chenal, équipé de quais sur la rive droite, et d'une jetée en pierre sur la rive gauche. Sur cette même rive, en avant de la jetée, un bassin d'échouage quadrangulaire, en prise avec la marée, propose 121 places sur pontons flottants. A l'arrière, dans le prolongement du chenal, une écluse de chasse commande l'accès à un bassin à flot. De plan ovale, comprenant 116 places, il alimenté par un petit cours d'eau provenant des marais, le canal du Marais. La capitainerie est implantée sur la rive gauche, au bord du bassin à flot, tandis que des commerces, un ancien entrepôt et d'anciennes cabanes de pêcheurs s'alignent sur la rive droite du chenal.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA17045754 |
Dossier réalisé par |
Suire Yannis
Conservateur en chef du patrimoine au Département de la Vendée à partir de 2017. |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive droite) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2013 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Port de Meschers-sur-Gironde, Dossier réalisé par Suire Yannis, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/02695704-9c18-4e88-9399-9bd1b2a440d9 |
Titre courant |
Port de Meschers-sur-Gironde |
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Dénomination |
port |
Statut |
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Documents d'archives
1790-1888 : registre des délibérations du conseil municipal de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : E dépôt 24/242, 1D 1 à 6
ISBD/Commentaire :
1790-1888 : registre des délibérations du conseil municipal de Meschers.
1807-1868 : aménagement et entretien du port de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : E dépôt 24/242, 3 O 1
ISBD/Commentaire :
1807-1868 : aménagement et entretien du port de Meschers.
1659, 4 février : contrat de navigation vers les côtes de Bretagne entre Jean Many, Pierre Audard, mariniers au bourg de Meschers, et Jean Guillemet, propriétaires d’un petit bateau de sept tonneaux nommé le Jean de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3E44/4
ISBD/Commentaire :
1659, 4 février : contrat de navigation vers les côtes de Bretagne entre Jean Many, Pierre Audard, mariniers au bourg de Meschers, et Jean Guillemet, propriétaires d’un petit bateau de sept tonneaux nommé le Jean de Meschers.
1824, 3 décembre : acte par lequel François Courpron, marin au bourg de Meschers, déclare être propriétaire pour moitié du chassemarée "le Trident", construit à Royan par Elie Roux qui possède l’autre moitié ; 1824, 12 juin : acte par lequel Antoine Chardavoine, capitaine au cabotage, demeurant à Meschers, vend à Jean Daniel Herbert, capitaine de navire, la chaloupe "L’Elizabeth", appartenant au port de Meschers, franchisée en l’an 10.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3E 44/176
ISBD/Commentaire :
1824, 3 décembre : acte par lequel François Courpron, marin au bourg de Meschers, déclare être propriétaire pour moitié du chassemarée "le Trident", construit à Royan par Elie Roux qui possède l’autre moitié ; 1824, 12 juin : acte par lequel Antoine Chardavoine, capitaine au cabotage, demeurant à Meschers, vend à Jean Daniel Herbert, capitaine de navire, la chaloupe "L’Elizabeth", appartenant au port de Meschers, franchisée en l’an 10.
AD17, S 5472. 1852-1866 : travaux d'amélioration du port de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 5472
ISBD/Commentaire :
AD17, S 5472. 1852-1866 : travaux d'amélioration du port de Meschers.
1835-1880 : travaux d'amélioration du port de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 5722
ISBD/Commentaire :
1835-1880 : travaux d'amélioration du port de Meschers.
1845-1847 : projets d'amélioration du port de Meschers.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 8566
ISBD/Commentaire :
1845-1847 : projets d'amélioration du port de Meschers.
2008 : construction de la capitainerie du port de Meschers-sur-Gironde.
Lieu de conservation : Archives municipales, Meschers-sur-Gironde
Côte : 1M 94
ISBD/Commentaire :
2008 : construction de la capitainerie du port de Meschers-sur-Gironde.
1830-1974 : travaux d'aménagement du port de Meschers.
Lieu de conservation : Archives municipales, Meschers-sur-Gironde
Côte : 3 O 10
ISBD/Commentaire :
1830-1974 : travaux d'aménagement du port de Meschers.
1967-1977 : projets d'aménagement d'un port de plaisance à Meschers-sur-Gironde.
Lieu de conservation : Archives municipales, Meschers-sur-Gironde
Côte : 3 O 11
ISBD/Commentaire :
1967-1977 : projets d'aménagement d'un port de plaisance à Meschers-sur-Gironde.
1978-1991 : travaux d'aménagement du port de Meschers-sur-Gironde.
Lieu de conservation : Archives municipales, Meschers-sur-Gironde
Côte : 3 O 13 à 20, 29 à 36
ISBD/Commentaire :
1978-1991 : travaux d'aménagement du port de Meschers-sur-Gironde.
Documents figurés
Vers 1700 : Plan du bourg de Meché, par l'ingénieur du roi Claude Masse.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
Côte : Ms 503 (Fol. 131 f), feuille 66
ISBD/Commentaire :
Vers 1700 : Plan du bourg de Meché, par l'ingénieur du roi Claude Masse.
1831 : plan cadastral de Meschers-sur-Gironde.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3P 5263
ISBD/Commentaire :
1831 : plan cadastral de Meschers-sur-Gironde.
Annexes
Extrait de la demande du conseil municipal de Meschers concernant l'amélioration du port, 18 février 1802 (29 pluviôse an 10) (Archives départementales de Charente-Maritime, E dépôt 24/242, 1D 1) :
"Le port de Meschers qui est à couvert de tous les vents, sauf de celui du sud-est, est susceptible de former un superbe havre et qui serait et sera toujours d’un meilleur mouillage et ancrage que le quai de Royan où on ne peut réussir à faire seulement un port à chaloupe. Les douanes nationales se retirent de ce port pour s’établir dans celui de Meschers. Pour y réussir, il ne faudrait que cent cinquante toises qui équivalent à trois cents mètres d’une chaussée en pierre de dix huit pieds ou de deux mètres d’épaisseur, qui prendrait dessous le corps de garde jusqu’à la roche plate. Ce havre formerait alors un port commode et sûr, et ce serait accessible à tous les caboteurs qui pouroient sortir à toutes les maréesn soit pour monter la rivière de Bordeaux, soit pour la descendre, sans le moindre inconvénient, alors la navigation intérieure ne serait pas retardée comme elle l’est trop souvent".
Extrait du devis des travaux de restauration du chenal de Meschers, établi par L. Pasquier, 22 juin 1827 (Archives départementales de Charente-Maritime, E déôt 24/242, 3 O 1) :
"Le port ou chenal de Meschers sur la Gironde, placé entre deux colines qui le mettent à couvert de la manière la plus parfaite, seroit peut-être le plus avantageux de tous ceux qui se trouvent sur cette côte, si on se décidoit à y faire toute l’amélioration dont il est susceptible. Il seroit sans contredit un point de relâche pour les bâtiments de commerce qui s’y trouveroient dans la plus grande sureté, avec d’autant plus de raison qu’il n’en existe pas au bas de la rivière. MM les ingénieurs des travaux maritimes en ont senti toute l’importance en projettant l’ouverture d’un nouveau cheal auprès de celui qui existe, accompagné d’une écluse de chasse. Ce projet s’élève à 30000 francs. Quatorze chaloupes sont attachées au port de Meschers, elles sont employées au cabottage, mais principalement au transport des denrées des communes de Meschers, Semussac, Arces, Corme-Ecluse, etc, l’éloignement des marchés de l’intérieur et le mauvais état des routes ne laissant aucun autre débouché".
Extrait du rapport de l'ingénieur en chef des travaux maritimes de la Charente-Inférieure, Lescure-Bellerive au sujet du port de Meschers, 23 mars 1836 (Archives départementales de Charente-Maritime, S 5722) :
"Le port de Meschers est situé sur la rive droite de la Gironde, à deux lieues en amont de l'embouchure de ce fleuve. C'est entre cette position maritime et celle de Talmont qu'arrivait le canal qui fut projeté, il y a plusieurs siècles, et dont il a été souvent question depuis lors, pour faire communiquer la Seudre à la Gironde. Ce port est précédé d'une rade excellente qui peut recevoir deux vaisseaux de ligne.
Méchers est situé dans un pays fertile. Ses environs fournissent aux approvisionnemens des villes placées sur les rives de la Dordogne et de la Gironde, et particulièrement à Bordeaux. Le transport des comestibles et autres objets de consommation, donne lieu à un mouvement de cabotage assez étendu et qui prend chaque jour un plus grand accroissement. Le nombre d'embarcations appartenant au port de Méchers, qui n'était en 1827 que de cinq, est aujourd'hui de quinze.
L'extension des mouvemens de la navigation et l'heureuse situation de cette localité pour les opérations de construction et de radoubs, y ont appelé deux constructeurs de navires. Les constructeurs, les ss. Glat et Bonnet, ont demandé l'autorisation d'établir le long du chenal des chantiers et des magasins destinés à l'exercice de leur industrie".
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Meschers-sur-Gironde
Milieu d'implantation: en village
Cadastre: 2009 AL 421, 423, 424, 461, 1833 C 851 bis
Le port, en bas à droite, sur le plan de Meschers par Claude Masse vers 1700.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Service historique de la Défense
Projet de pontceau à vanne pour le canal de Meschers, 1807.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet de pontceau à vanne pour le canal de Meschers, 1807.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet de pontceau à vanne pour le canal de Meschers, 1807.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le port sur le plan cadastral de 1831.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'amélioration du port par l'ingénieur Botton en 1845.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'amélioration du port par l'ingénieur Botton en 1845 : détail, projet de bassin de retenue et d'écluse, superposé à l'ancien tracé.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'amélioration du port par l'ingénieur Botton en 1845 : projet de redressement du chenal.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'aménagement du port en 1847 par l'ingénieur Potel.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'aménagement du port en 1847 par l'ingénieur Potel : détail, bassin de retenue et écluse de chasse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'aménagement du port en 1847 par l'ingénieur Potel : détail, redressement du chenal et création de quais et de jetées.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'aménagement du port en 1847 par l'ingénieur Potel : plan de l'écluse de chasse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'aménagement du port en 1847 par l'ingénieur Potel : détails des portes de l'écluse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'améliorations (en rouge) du port de Meschers en 1878.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'améliorations (en rouge) du port de Meschers en 1878 : détail.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet d'améliorations (en rouge) du port de Meschers en 1878 : détail.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Plan du port de Meschers en 1963.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Projet d'aménagement en 1967 : création d'une jetée sur la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Projet d'aménagement urbain et portuaire en 1974 entre le port et Saint-Martin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Projet de création d'un second bassin et de reconstruction de l'écluse, en 1988.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Projet de nouvelle écluse en 1988 : élévation côté aval.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port et son écluse de chasse vers 1900-1910.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
L'écluse de chasse vers 1900.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Gabarres dans le port de Meschers vers 1900.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Filets de pêche mis à sécher sur la rive droite du port, vers 1900.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
L'entrée du port vers 1900.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port, rive droite, vers 1930.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le port, rive droite, vers 1930.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
La partie avale du port, rive droite, vers 1930.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Filets de pêche mis à sécher sur la rive droite du port, vers 1950-1960.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port, vue aérienne depuis le nord-ouest vers 1970.
Henrard Roger (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne du port.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bassin à flot vu depuis l'amont, à l'ouest.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bassin à flot vu depuis l'amont, au nord-ouest.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bassin à flot vu depuis l'amont, au nord.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai empierré du bassin à flot.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bateaux de plaisance dans le bassin à flot.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le canal du Marais, en amont du bassin à flot.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vanne régulant l'arrivée du canal du Marais dans le bassin à flot.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La capitainerie.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bassin à flot vu depuis l'écluse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'écluse vue depuis le bassin à flot en amont.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bassin d'échouage vu depuis le nord.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Cale de mise à l'eau dans le bassin d'échouage.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée vue depuis la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée de la rive gauche vue en amont.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail de la jetée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée vue en amont.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Borne d'amarrage sur la jetée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le musoir à l'extrémité de la jetée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée vue depuis l'aval.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'extrémité de la jetée vue depuis la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chenal et l'écluse vus en aval.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'écluse vue en aval.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chenal vu depuis l'écluse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Quai de la rive droite près de l'écluse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Anciennes cabanes de pêcheurs sur la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bateau de pêche dans le chenal.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La cale de la rive droite vue depuis la rive gauche.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Cale de la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Avancée perpendiculaire au quai de la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'avancée perpendiculaire au quai de la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'extrémité de la rive droite du port.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Cale à l'extrémité de la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le musoir à l'extrémité de la rive droite.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'entrée du chenal vue depuis l'amont.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Départ pour la pêche.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port vu depuis l'estuaire.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chenal vu en aval.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossiers en lien avec Port de Meschers-sur-Gironde
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