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Façade principale.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Planche photographique : vue panoramique du vignoble de Grand-Meyre (en bas à gauche), vers 1909.
Dubau Michel, Chabot Bernard, Guillier Henry
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Façade principale : partie nord-ouest.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Historique
Aucun bâtiment ne figure à cet emplacement sur le plan cadastral de 1827. Les matrices cadastrales indiquent la construction nouvelle d'une maison en 1850 puis une augmentation de construction et une construction nouvelle en 1877. A cette époque, l'ensemble appartient à François Lanoire. On retrouve ce même nom mentionné par Édouard Guillon dès 1866 : M. Lanoire produit à cette époque 40 à 50 tonneaux de vins de palus. Dans l'édition de Cocks de 1868, Lanoire produit 80 à 100 tonneaux de vin de palus. En 1874, le Clos Grand-Meyre apparaît dans la rubrique des vins de palus : il est indiqué que le vignoble a été détaché en 1847 de la propriété de Desmirail (Marquis d'Alesme Becker) à Margaux. En 1908, il appartient à J.-D. Lerbs, propriétaire du château Malescot-Saint-Exupéry à Margaux. Au début du 20e siècle, le Clos Grand-Meyre est illustré dans l'ouvrage de Henry Guillier et appartient effectivement au château Malescot-Saint-Exupéry. Ces bâtiments ont également servi d'étables au cours du 20e siècle : une trentaine de vaches y étaient abritées, ainsi que des cochons.
Détail de l'historique
| Périodes |
Principale : 4e quart 19e siècle |
|---|
Description
Les bâtiments consistent en un vaste cuvier à étage, flanqué de deux corps de bâtiment servant probablement de chai et dotés de combles à surcroît percés d'oculi. Ce bâtiment a été aménagé en habitation, après avoir également servi d'étables à vaches.
La maçonnerie de moellons est couverte d'un enduit et les chaînages d'angle, les encadrements de baies, les jambes harpées et les bandeaux en pierres de taille structurent les façades. La toiture débordante au niveau des pignons est dotée d'aisseliers en bois. Des hangars et remises sont disposés sur la façade postérieure des chais. Le logement d'origine, en rez-de-chaussée, était situé à l'ouest ; il est aujourd'hui en ruines. Un abreuvoir transformé en pièce d'eau était situé dans la cour.
Détail de la description
| Murs |
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|---|---|
| Toits |
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| Étages |
en rez-de-chaussée, étage de comble, comble à surcroît |
| Couvertures |
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| Typologie |
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| État de conservation |
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Informations complémentaires
| Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
|---|---|
| Référence du dossier |
IA33003375 |
| Dossier réalisé par |
Steimer Claire
Conservatrice du patrimoine au sein du service du patrimoine et de l'Inventaire. |
| Cadre d'étude |
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| Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive gauche) |
| Phase |
étudié |
| Date d'enquête |
2010 |
| Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde |
| Partenaires |
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| Citer ce contenu |
Domaine de Grand-Meyre, Dossier réalisé par Steimer Claire, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/046a3f36-6b2b-4e6a-8643-243f793546b7 |
| Titre courant |
Domaine de Grand-Meyre |
|---|---|
| Dénomination |
chai |
| Parties constituantes non étudiées |
cuvage logement remise étable à vaches porcherie abreuvoir hangar agricole |
| Statut |
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|---|---|
| Intérêt |
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Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Gironde , Soussans
Milieu d'implantation: isolé
Lieu-dit/quartier: la Reine
Cadastre: 1827 B3 2869, 2009 OB 8