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Port de commerce de Tonnay-Charente
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Tonnay-Charente
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Titre : Port de commerce de Tonnay-Charente
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Période : 2e moitié 17e siècle, 18e siècle, 19e siècle, 20e siècle
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Localisation : Charente-Maritime , Tonnay-Charente
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Vallée de la Charente
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Phase du dossier : recensé
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Date d'enquête : 2015
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Auteur du dossier : Moisdon Pascale
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
Le port se situe sur la rive droite de la Charente, au pied du coteau calcaire sur lequel s'est implantée Tonnay-Charente. A cet endroit, la profondeur du lit du fleuve a permis l'aménagement d'un port mi-fluvial, mi-maritime, les hautes marées y atteignant 5,50 mètres.
Le port était sans doute déjà associé au bourg castral, cité dès 1047 et dit "burgus" dans le Cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély vers 1092. Il semble que le port de Tonnay-Charente supplante peu à peu celui de Taillebourg au cours du Moyen Age. Il s'agit de l'un des ports sauniers du fleuve, puisque le quart de sel y est perçu : le sel en provenance des marais salants ne pouvait être débarqué qu'en payant un impôt correspondant au quart de son prix de vente.
A la fin du Moyen Age, le port de Tonnay-Charente fait partie des ports assumant une fonction d'entrepôts pour le port de La Rochelle ; leur principale activité, le commerce du vin et du sel, se trouve aux mains des négociants rochelais. Au port de Tonnay-Charente, des magasins destinés à recevoir les productions viticoles sont ainsi détenus par des marchands rochelais. A ce point de rupture de charge, les marchandises, en provenance des port fluviaux en amont, sont transvasés dans des gabares et caboteurs pour être menées au port maritime de La Rochelle.
C'est ici que sont dressés les premiers plans d'un port militaire vers 1664, dont quelques travaux sont effectués avant que le choix ne se porte finalement sur Rochefort. Quelques vaisseaux sont encore mis en chantier en 1665-1666, mais la création de l'arsenal met un terme à cette activité à Tonnay-Charente, qui est dès lors considéré comme une annexe du port de Rochefort. Les installations sont très rudimentaires et les bateaux accostent le long des berges protégées par des pieux et des clayonnages.
Du 17e jusqu'au début du 19e siècle, les limites du port sont formées, en amont, par la porte de la ville haute rive droite et le chenal au-dessous de la grève du passage d'eau rive gauche, et, en aval, par la grève du sel du côté droit et celle du chenal des barques du côté gauche. Dans les années 1750, 10 barques (bateaux pontés équipés pour la mer) sont inscrites dans ce port.
Des travaux de consolidation des berges sont entrepris en 1804, en 1826, puis de 1828 à 1836. Des travaux adjugés au sieur Taillebois, en mai 1828, pour l'amélioration du port comprennent la construction de plusieurs cales de radoub et de chargement. Dans les années 1830, le port peut recevoir des bâtiments de 600 tonneaux. La berge à l'extrémité ouest de la rive droite sert aux délestages et est également occupé par un chantier naval. La construction d'un pont suspendu, inauguré en 1842, permet de ne pas gêner les mouvements du port ; les navires marchands passent aisément sous son tablier en baissant leurs petites voiles de perroquet (voile carrée qui surmonte les huniers). En 1843, une longueur de 140 mètres de quais inclinés en maçonnerie est réalisée. Un projet complet d'amélioration du port se traduit, en 1848, par la construction de nouveaux quais inclinés sur 260 mètres de longueur. Puis à la suite, en 1858, un quai vertical sur voûtes de 5 mètres d'ouverture est bâti sur 250 mètres de long. Il est prolongé, en 1866, sur 152 mètres par un quai de même type dont les voûtes ont 3 mètres d'ouverture.
Dans les années 1870, le port est constitué de 800 mètres de quais, qui sont inclinés pour la moitié située en amont, et verticaux sur voûtes pour l'autre moitié. Les quais inclinés, munis d'une cale double au droit du pont et d'une cale simple en aval, sont surtout utilisés pour les bateaux de navigation intérieure. Les navires de mer accostent devant les quais verticaux auxquels ils sont reliés par des passerelles volantes.
Toutes les marchandises chargées et déchargées au port sont soumises à des droits perçus par l'administration des douanes. Entre les années 1830 et 1930, le corps de garde et la caserne de la douane se trouve dans un bâtiment situé à l'angle du quai et de la rue de l'Eglise. Jusqu'en 1860, les expéditions d'eau-de-vie de cognac se font en fûts mais, par le suite, la vente en bouteilles et en caisses prend de l'importance pour devenir, dès les années 1880, prépondérante.
Pour l'établissement de la voie ferrée Cognac - Rochefort à partir de 1864, la Compagnie des Charentes demande l'autorisation de bâtir un appontement en bois pour transvaser directement dans des wagonnets ses matériaux de construction qui arrivent par bateau. Cet appontement, situé non loin de la gare établie à l'extrémité ouest du port, sert par la suite pour le déchargement de toutes sortes de marchandises. Il remplace un ponton "réservé aux baigneurs, un peu en amont de la limite aval du port."
En 1877, le voeu émis par le conseil municipal auprès du Conseil général pour l'établissement d'un bassin à flot pour les bateaux à fort tonnage auprès de la gare du chemin de fer n'est pas réalisé.
A la fin des années 1880, pour répondre à des besoins commerciaux plus importants, la limite du port est reculée en aval au moment de la fondation de la Société des produits chimiques agricoles (rachetée plus tard par Saint-Gobain) ; une voie est alors aménagée à l'emplacement de l'ancien chemin de halage dans cette nouvelle partie du port. Le port s'étend alors sur environ 1400 mètres de longueur au total. Il peut recevoir 60 grands navires de commerce. Dans les années 1890, un deuxième appontement en bois est construit par les Chemins de fer de l'Etat à proximité du premier ; six grues à vapeur sont en service pour les deux appontements, qui permettent le déchargement des bateaux à toute heure de marée.
En 1900, près de 40 bateaux, d'un tonnage de 1 000 à 1 200 tonneaux et de 6 à 6,50 mètres de tirant d'eau, peuvent se ranger le long des quais, et accoster sur deux grands appontements en bois destinés spécialement aux steamers chargés de houille et de minerai. Ce port sert alors essentiellement pour l'importation de charbons anglais - une usine d'agglomérés de houille s'installe près du port en 1899 - et l'exportation des eaux-de-vie locales - plusieurs maisons pratiquent ce commerce.
La Première Guerre mondiale a pour conséquence de diminuer les échanges avec l'Angleterre : les sept services réguliers mensuels passent à trois. En 1915, un rapport précise qu'une "navigation spéciale se pratique avec 40 gabares environ qui descendent la rivière portant des chargements d'eaux-de-vie provenant de Saintes et de Cognac ou de munitions de Ruelle et la remontent avec du bois et surtout du charbon." A Tonnay-Charente, les gabares sont déchargées de leurs fûts ou de leurs caisses de cognac qui sont embarqués sur des bateaux pour l'export. Le port est alors fréquenté annuellement par une moyenne de 180 bateaux à vapeur. Un troisième appontement en bois est bâti pendant la guerre pour les chemins de fer de l'Etat. Un plan dressé en 1917 montre les trois appontements situés à proximité de la gare de chemin de fer.
Il n'existe pas de hangar public, mais des négociants possèdent des magasins qu'ils mettent à la disposition des usagers. En 1927, les importations se composent de 40 à 50 % de combustibles, de 25 à 30 % de phosphates et pyrites, le reste étant des matériaux de construction et des marchandises diverses. Les exportations se composent pour 50 à 70 % d'eaux-de-vie de cognac, puis de cendres de pyrites.
Six appontements en béton semblent construits dans les années 1920-1930 : trois correspondent au quai de la Libération où débouchent les rues de l'Eglise et Ethier-Boyer et sont toujours présents, les trois autres du côté de la gare de chemin de fer ont été reliés entre eux par la suite et forment désormais un front d'accostage continu. Bien en aval du port, et également dans les années 1930, un appontement en béton, long de 66 mètres et qui appartient à l'usine chimique Saint-Gobain, se trouve aussi relié à la gare. Six grues assurent le chargement et le déchargement des bateaux.
Dans les années 1990, l'activité du port de Tonnay-Charente, qui occupe désormais seulement la partie occidentale du port d'origine, diminue de plus de moitié ; il représente, en 1998, 3 % du trafic régional, contre 12 % pour Rochefort et 85 % pour La Rochelle. Comme celui de Rochefort, avec lequel il fonctionne en binôme, il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Rochefort et de Saintonge.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 2e moitié 17e siècle, 18e siècle, 19e siècle, 20e siècle |
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Description
Le port de Tonnay-Charente a un développement de près d'un kilomètre ; la largeur du fleuve est d'environ 80 mètres à cet endroit. Il a la particularité d'être un port de rivière soumis aux régimes des marées. Il peut recevoir des bateaux d'une longueur maximale de 120 m et de 6,50 m de tirant d'eau, auxquels s'offrent deux postes à quai et un poste avec silo privé de 20 000 tonnes de capacité en 8 cellules avec portique de chargement.
Les quais sont inclinés dans la partie est, depuis l'amont du pont jusqu'au Quai de la Libération. Depuis cet endroit jusqu'à la rue de l'Eglise, ils sont droits sur voûtes en pierre de taille en plein-cintre. Au-delà, il sont droits sur voûtes en pierre de taille et à arc segmentaire jusqu'au front d'accostage en béton de l'extrémité ouest. Tous ces quais sont pavés. La partie orientale est dotée de deux cales, celle de l'amont possède deux rampes d'accès, alors que l'autre n'en a qu'une. Le gril de carénage, qui était situé à l'extrémité est des quais, n'est aujourd'hui plus visible. Trois pontons en béton armé, toujours en place, permettaient aux bateaux d'accoster sur le quai de la Libération. En amont de ces structures, un ponton fixé sur ducs-d'Albe accueille les bateaux de plaisance. Actuellement, la partie commerciale du port se cantonne au front d'accostage en béton, à l'extrémité ouest.
Face aux quais, la bouche d'un chenal offre aux cargos un espace suffisant pour leur permettre d'éviter.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA17050892 |
Dossier réalisé par |
Moisdon Pascale
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Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Vallée de la Charente |
Phase |
recensé |
Date d'enquête |
2015 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Port de commerce de Tonnay-Charente, Dossier réalisé par Moisdon Pascale, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/627a121c-5e14-4e3c-a840-6a4092c06d80 |
Titre courant |
Port de commerce de Tonnay-Charente |
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Dénomination |
port |
Précisions sur la dénomination |
port de commerce |
Appellation |
Port de Tonnay-Charente |
Parties constituantes non étudiées |
quai cale cale de construction |
Documents d'archives
AD 17, S 173. 1824, 24 janvier : arrêté du sous-préfet relatif aux limites du port de Charente.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 173
ISBD/Commentaire :
1824, 24 janvier : arrêté du sous-préfet relatif aux limites du port de Charente.
AD17, 5 S 91. 1864, 28 septembre : rapport de l'ingénieur en chef des Ponts et chaussées sur une demande de la Compagnie des Charentes d'établir un appontement sur le bord de la Charente, à Tonnay.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 5 S 91
ISBD/Commentaire :
1864, 28 septembre : rapport de l'ingénieur en chef des Ponts et chaussées sur une demande de la Compagnie des Charentes d'établir un appontement sur le bord de la Charente, à Tonnay.
1864, 29 novembre : rapport de l'ingénieur Guillemain relatif à la demande de construction d'un appontement au port de Tonnay-Charente par l'ingénieur Perreau pour la Compagnie du chemin de fer des Charentes.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 5 S 91
ISBD/Commentaire :
1864, 29 novembre : rapport de l'ingénieur Guillemain relatif à la demande de construction d'un appontement au port de Tonnay-Charente par l'ingénieur Perreau pour la Compagnie du chemin de fer des Charentes.
Documents figurés
AD 17, S 13015. "Plan de la ville et du port de commerce de Tonnay-Charente", par l'ingénieur ordinaire Polony, le 3 février 1870.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 13015
ISBD/Commentaire :
"Plan de la ville et du port de commerce de Tonnay-Charente", par l'ingénieur ordinaire Polony, le 3 février 1870.
Bibliographie
Acerra, Martine. Rochefort et la construction navale française, 1661-1815. Paris : Librairie de l'Inde, 1993.
Mention : T. I, p. 29
ISBD/Commentaire :
Acerra, Martine. Rochefort et la construction navale française, 1661-1815. Paris : Librairie de l'Inde, 1993.
Chapelot, Jean. "Aux origines des châteaux et bourgs castraux dans la moyenne et basse Charente : entre sources écrites et archéologie". Château, ville et pouvoir au Moyen Age : Tables rondes du CRAHM (TABCRA 7), actes, 2012.
Mention : P. 81-157
ISBD/Commentaire :
Chapelot, Jean. "Aux origines des châteaux et bourgs castraux dans la moyenne et basse Charente : entre sources écrites et archéologie". Château, ville et pouvoir au Moyen Age : Tables rondes du CRAHM (TABCRA 7), actes, 2012.
Côtes et ports français de l'océan. Revue des deux mondes : recueil de la politique, de l'administration, Paris, janvier 1900.
Mention : p. 416-417
ISBD/Commentaire :
Côtes et ports français de l'océan. Revue des deux mondes : recueil de la politique, de l'administration, Paris, janvier 1900.
Exposition universelle, 1873, Vienne; Etude historique et statistique sur les voies de communication de la France. Paris : Imprimerie nationale, 1873.
Mention : p. 186
ISBD/Commentaire :
Exposition universelle, 1873, Vienne; Etude historique et statistique sur les voies de communication de la France. Paris : Imprimerie nationale, 1873.
Le génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, 37e année, Tome LXXI, n° 12, 22 septembre 1917.
Mention : p. 188
ISBD/Commentaire :
Le génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, 37e année, Tome LXXI, n° 12, 22 septembre 1917.
Girard, Benjamin. L'Aunis et la Saintonge maritimes, Niort : Imprimerie Niortaise, 1901.
Mention : p. 218-219
ISBD/Commentaire :
Girard, Benjamin. L'Aunis et la Saintonge maritimes, Niort : Imprimerie Niortaise, 1901.
INSEE Poitou-Charentes. Tableaux de l'économie du Poitou-Charentes, Edition 1998.
Mention : p. 160
ISBD/Commentaire :
INSEE Poitou-Charentes. Tableaux de l'économie du Poitou-Charentes, Edition 1998.
Lamy, Ernest. Rapport sur les répercussions de la guerre sur le commerce maritime et la pêche des ports de la Vendée et de la Charente-Inférieure. Chambre des Députés, session de 1915, n° 1358.
Mention : p. 48-50
ISBD/Commentaire :
Lamy, Ernest. Rapport sur les répercussions de la guerre sur le commerce maritime et la pêche des ports de la Vendée et de la Charente-Inférieure. Chambre des Députés, session de 1915, n° 1358.
L'Ouest-Eclair ; Nouvelles maritimes, 26 janvier 1932.
Mention : p. 10
ISBD/Commentaire :
L'Ouest-Eclair ; Nouvelles maritimes, 26 janvier 1932.
Le Besnerais, R. "Les ports de l'Océan Atlantique entre Loire et Gironde". La Revue industrielle : revue mensuelle technique et économique, octobre 1927.
Mention : p. 508-509
ISBD/Commentaire :
Le Besnerais, R. "Les ports de l'Océan Atlantique entre Loire et Gironde". La Revue industrielle : revue mensuelle technique et économique, octobre 1927.
Ministère des travaux publics. Ports maritimes de la France, T. 6 : de La Rochelle à Maubert. Paris : Imprimerie nationale, 1885.
Mention : p. 131-151
ISBD/Commentaire :
Ministère des travaux publics. Ports maritimes de la France, T. 6 : de La Rochelle à Maubert. Paris : Imprimerie nationale, 1885.
Musset, Georges. Le cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély. Archives historiques de Saintonge et d'Aunis, t. XXX (1901).
ISBD/Commentaire :
Musset, Georges. Le cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély. Archives historiques de Saintonge et d'Aunis, t. XXX (1901).
Oui, René. Essai sur les trois ports de Port-d'Envaux, Saint-Savinien et Taillebourg dans le courant du XVIIIe siècle. Roccafortis, 2e série, Tome IV, n° 6, 1980, p. 142-162.
Mention : p. 145-146
ISBD/Commentaire :
Oui, René. Essai sur les trois ports de Port-d'Envaux, Saint-Savinien et Taillebourg dans le courant du XVIIIe siècle. Roccafortis, 2e série, Tome IV, n° 6, 1980, p. 142-162.
Pierre, Joël. Les constructions navales à Rochefort, Brouage, Soubise et Tonnay-Charente, Paris : le Croît vif, 2003.
Mention : p. 25-26
ISBD/Commentaire :
Pierre, Joël. Les constructions navales à Rochefort, Brouage, Soubise et Tonnay-Charente, Paris : le Croît vif, 2003.
Rapports de la deuxième commission par M. Braud, le 22 août 1888 : souhait d'établissement d'une voie charretière au port de Tonnay-Charente. Rapports et délibérations du Conseil général de la Charente-Maritime, 1888.
Mention : p. 487
ISBD/Commentaire :
Rapports de la deuxième commission par M. Braud, le 22 août 1888 : souhait d'établissement d'une voie charretière au port de Tonnay-Charente. Rapports et délibérations du Conseil général de la Charente-Maritime, 1888.
Ravaz, L. ; Vivier, A. Le pays du cognac. Angoulême : Louis Coquemard, 1900.
Mention : p. 274
ISBD/Commentaire :
Ravaz, L. ; Vivier, A. Le pays du cognac. Angoulême : Louis Coquemard, 1900.
Se souvenir de Tonnay-Charente ; de Tonnay à Charente : histoire d'une porte maritime des pays charentais. Normand, Eric, Sauzeau, Thierry (coord). La Crèche : Geste éditions, 2013.
Mention : p. 73-140
ISBD/Commentaire :
Se souvenir de Tonnay-Charente ; de Tonnay à Charente : histoire d'une porte maritime des pays charentais. Normand, Eric, Sauzeau, Thierry (coord). La Crèche : Geste éditions, 2013.
Tranchant, Mathias. "La Rochelle et ses ports à la fin du Moyen Age". Actes du colloque Aunis, Saintonge et Angoumois dans la guerre de Cent Ans, Saintes - 15,16-17 octobre 1999. Bulletin de la Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, 2003.
Mention : p. 85-97
ISBD/Commentaire :
Tranchant, Mathias. "La Rochelle et ses ports à la fin du Moyen Age". Actes du colloque Aunis, Saintonge et Angoumois dans la guerre de Cent Ans, Saintes - 15,16-17 octobre 1999. Bulletin de la Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, 2003.
Vatttier d'Ambroyse, V. Le littoral de la France ; côtes gasconnes - de La Rochelle à Hendaye. Volume 4, Paris : Sanard et Derangeon, 1892.
Mention : p. 122-125
ISBD/Commentaire :
Vatttier d'Ambroyse, V. Le littoral de la France ; côtes gasconnes - de La Rochelle à Hendaye. Volume 4, Paris : Sanard et Derangeon, 1892.
Annexes
Extrait de : Mémoire géographique de Masse, du Bas Poitou, pays d'Aunis et Saintonge, 1715. Copie par Joseph Nicolas Bournaud. Médiathèque de La Rochelle, Ms 31.
"Charente a esté plus considerable qu'elle ne l'est aujourd'huy l'establissement de Rochefort depuis l'an 1665 a beaucoup diminué le nombre de ses habitans, quoiqu'il s'y fasse encore actuellement un grand commerce de vin et d'eau de vie que les Hollandais et autres Nations du Nord y viennent charger, la riviere de Charente estant tres navigable depuis son embouchure jusqu'au port de cette ville ou bourg, ou il reste au moins en basse mer 18 pieds d'eau, et la rivière n'ayant qu'environ 45 toises de largeur, les plus gros vaisseaux y restent toujours a flot, ce qui avait donné lieu a y conduire les vaisseaux de guerre du roy en 1662 quand ils ne purent plus entrer dans la rivière de Seudre à cause des bancs qui se formèrent à son entrée vers son embouchure.
[...]
... il y a un couvent de capucins, une halle, et nombre de bons marchands qui ont de gros magazins le long de la rivière ou demeurent les principaux habitans, son port est toujours rempli de vaisseaux et l'on traverse la rivière dans un bacq le premier pont estant à Saintes."
Extrait du mémoire de la carte du 48e quarré de la générale des côtes du bas poitou par Claude Masse, 1719. Médiathèque de La Rochelle, 17340 B
"Il y a des marchands fort riches a Charente a cause du commerce qui s'y fait des denrées qui descendent par la rivière dans des bateaux plats et autres depuis Angoulème qui consistent en vins, eaux de vie, chataignes et noix, surtout avant l'an 1709, que ces arbres furent geléz. Les plus gros vaisseaux des Nations du Nord remontent la rivière jusqu'a Charente et y viennent charger ces denrées aussy bien que nombre de batimens des cotes françoises. Son port est des meilleurs que l'on sauroit souhaitter la rivière etant large et ayant au plus etroit 45 toises, il reste en basse mer 18 a 20 pieds d'eau ; le reflux y monte toutes les 12 heures douze a 15 pieds, cequi facilite a remonter les vaisseaux."
Extrait de J.-M. Gautier, Statistique du département de la Charent-Inférieure, 1839, p. 110.
" La route royale de Bordeaux à Saint-Malo traverse la ville de Charente, dont le commerce est considérable soit avec l'intérieur, soit avec l'étranger. C'est l'entrepôt des eaux-de-vie de Saintonge et d'Angoumois, connues sous le nom d'eaux-de-vie de cognac, et des sels provenant de l'arrondissement de Marennes et des îles de Ré et d'Oleron, pour l'approvisionnement des départements de la Charente et de la Haute-Vienne, et d'une partie de la Charente-Inférieure. Ces sels qui sont contremesurés à Charente augmentent singulièrement la recette des Douanes qui s'élève annuellement à près de trois millions. Les bois de chauffage, planches, merrains, cercles, qui descendent la rivière pour être transportés à Rochefort, à La Rochelle et aux îles voisines ; les fers en barre et le charbon de terre qui se consomme dans les deux départements auxquels la Charente donne son nom, composent également les fréquents arrivages qui ont lieu sur ce point.
Il y a à Charente un bac pour le passage de la rivière ; il est question depuis plusieurs années d'y substituer un pont, qui serait construit de manière à ne pas gêner la navigation."
Extrait de Le littoral de la France ; côtes gasconnes, volume 4. par Aubert, 1892, p. 124.
"Son commerce se fait, en grande partie, par des steamers anglais d'environ 1 200 tonnes, d'une longueur de 75 à 80 mètres, d'une largeur de 7,80 à 8 mètres et d'un tirant d'eau de 5,10 à 5,20 mètres, et même 5,50 mètres.
Des navires de plus fort tonnage pourraient y être admis, mais le peu de largeur de la rivière devant les quais ne permet pas l'évitage. Un navire de 80 mètres de quille (l'Alice) et de plus de 2 000 tonnes n'a pu éviter, on a dû le descendre à Rochefort.
Quelques grands voiliers français et étrangers viennent aussi charger des eaux-de-vie pour l'Australie et le Canada."
Extrait de "Le rôle social d'un fleuve". La science sociale, T. 29, 1900, p. 234.
"Drainée de partout, par terre ou par eau, la précieuse denrée [l'eau-de-vie de cognac] arrivait à la Charente. Là, en des barils soigneusement cerclés, sur des gabarres (grands bateaux plats) trainés par des boeufs ou des chevaux, maintenant surtout par des bateaux à vapeur, elle descendait jusqu'à Tonnay-Charente, où, chargés sur les fins voiliers, elle partait pour les destinations les plus diverses. Ce mouvement de batellerie entre Cognac et Tonnay-Charente, pour être moindre qu'autrefois, est cependant encore important aujourd'hui. En 1896, il était de 6 000 tonnes."
Extrait de L'Aunis et la Saintonge maritimes, par B. Girard, 1901, p. 218-219
"Tonnay-Charente est un centre commercial très important. C'est, en quelque sorte, l'entrepôt des eaux-de-vie de Saintonge et de l'Angoumois, connues sous le nom d'eaux-de-vie de Cognac, et dont il se fait, par son port, de nombreuses expéditions, principalement pour l'Angleterre, qui lui envoie, en retour, des charbons.
Le port est situé sur la rive droite du fleuve, à 6 kilomètres de celui de la Cabane-Carrée ; il peut recevoir les navires du plus fort tonnage, qui y trouvent toutes les commodités désirables pour leurs opérations commerciales ; des quais, ayant une longueur totale de 801 m, une cale de débarquement, un warf en bois, de 50 m de longueur, un autre de 32 m, et cinq autres, plus petits, facilitent l'embarquement et le débarquement des marchandises, dont le trafic est considérable dans cette localité, au-dessus de laquelle la navigation maritime se continue jusqu'à Saintes ; mais elle ne se fait plus qu'avec des navires caboteurs d'un faible tonnage et d'un tirant d'eau au-dessous de 3 mètres."
Galerie d'images 69
Illustrations soumises à des restrictions de diffusion
D’autres images existent concernant ce dossier et sont soumises à des restrictions de diffusion :
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Elévation de l'appontement à construire par la Compagnie des Charentes, en 1864. [IVR75_20181701425NUCA]
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Plan de la ville et du port de commerce, en 1870. [IVR54_20171704242NUCA]
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Plan du port en 1917. [IVR54_20171704255NUC]
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Vue générale du port prise du pont, vers 1900. [IVR54_20171704260NUC]
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La partie amont du port et le pont, dans les annés 1930. [IVR54_19861700009X]
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Vue du port, à l'ouest de la gare de chemin de fer, en 1926. [IVR54_19961700911X]
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Plan schématique du port en 2012. [IVR54_20171704257NUCA]
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Tonnay-Charente
Milieu d'implantation: en ville
La ville de Tonnay-Charente et son port sur une estampe de Chastillon éditée en 1641 (registre du bas).
de Chastillon Claude
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Plan de la ville et du port entre 1780 et 1800.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Sur cette lithographie de 1843, aucun quai maçonné n'est représenté dans la partie aval du port.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Le port en aval du pont. Lihographie de Louis Lebreton, vers 1850.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Plan de la ville et des quais en 1854.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le port sur un plan des années 1860 (avec le tracé de la voie ferrée Rochefort - Cognac).
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Plan du port de Tonnay, d'un ponton projeté par la Compagnie des Charentes et du dépôt de cette dernière.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le bureau du port sur un plan de 1923.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Plan de l'appontement n° 3 en 1923.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le plan du port en 1953.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le port vu de l'aval, vers 1900.
Moisdon Pascale, Godefroy G.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port et le navire à vapeur "Cognac", construit en 1902 à Glasgow, assurant la liaison avec Liverpool, vers 1910.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Fonds Léon Triou
Maison située entre le quai et la rue de Verdun, au n° 55.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le steamer Charlotte Blumberg, de Hambourg, dans le port, avant 1912.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Voie ferrée de desserte du port, vers 1910.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Charente-Maritime
Peinture murale des années 1920 représentant le port de Tonnay-Charente. Salle Saintonge à Saintes photographiée en 1975 avant travaux.
Maulny Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chargement d'une gabare est embarqué sur le steamer "Cognac" de la Harrison Line, en 1935.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne prise en 1937.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) IGN
Vue aérienne prise en 1947.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) IGN
Vue aérienne de la partie centrale du port avec ses trois pontons en béton, en 1955.
Henrard Roger (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Fonds Henrard
Vue aérienne du port prise du nord, en 1955 : 3e ponton face à la rue de l'Eglise.
Henrard Roger (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Fonds Henrard
Vue aérienne du port prise de l'ouest vers l'est, en 1955.
Henrard Roger (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Fonds Henrard
Vue aérienne prise de l'est vers l'ouest, en 1955.
Henrard Roger (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne prise de l'ouest.
Dragonfly
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue prise du pont suspendu, depuis la rive gauche.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue prise du pont suspendu.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue prise du pont suspendu vers le nord-ouest.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue prise du pont suspendu, au milieu du fleuve.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue prise du pont suspendu, depuis la rive droite : toits de la ville et port en arrière-plan.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le silo à l'extrémité du port vu depuis le dernier ponton à l'ouest.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le silo de la coopérative agricole et son portique de chargement sur la Charente.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La ville et le port vus depuis le pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie ouest du port vu depuis le pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les quais à marée basse vus de l'est.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Pile du pont suspendu et quais à marée basse.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'un des appontements en béton du port et le pont en arrière-plan.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port au niveau du 1er appontement (côté est), vu vers l'aval.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le ponton en bois dévolu aux bateaux de plaisance.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie amont du port vu de l'aval.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le premier appontement (côté est) du quai de la Libération.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Appontement central du quai de la Libération vu vers l'amont.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le 3e appontement (côté est) du quai de la Libération vu vers l'amont.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La passerelle centrale du troisième appontement (côté est).
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble du port vers l'amont.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai de la Libération vu vers l'est.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie ouest du port vers l'aval avec, à l'arrière-plan, le quai d'accostage en continu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le port au niveau du quai de la Libération.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Grues mobiles de déchargement de bateaux pour du vrac.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Route de desserte du port, parallèle à la voie ferrée, à l'ouest de la ville.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La voie ferrée et l'emplacement de la gare au nord du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges de voie ferrée le long du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Atelier sur le quai de la Libération.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bâtiments sur le côté nord de la route de desserte de la partie ouest du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bâtiment situé au nord de la route de desserte de la partie ouest du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Atelier dans la partie ouest du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrémité du port vers l'ouest, vue depuis le pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Marais de Saint-Hippolyte, extrémité ouest du port de Tonnay-Charente et ponts du Martrou, vus depuis le pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les maisons le long des quais et le marais de Saint-Hippolyte vus depuis le pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le fleuve en amont du pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'extrémité est des quais : rampe d'une cale au premier plan.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les quais vus vers l'ouest, à la hauteur du pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrémité est des quais au-delà de laquelle se trouvait autrefois un gril de carénage.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Rampe de cale formant avancée sur les quais inclinés.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai incliné, au-dessous du pont, vu depuis la rive gauche : cale avec petit escalier et rampes d'accès. A droite sur la photo, le gril de carénage n'est plus visible.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue des quais prise depuis la rive gauche : partie droite sur voûtes en arc segmentaire et arcs en plein-cintre et partie inclinée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie ouest du port vue depuis la rive gauche.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maison sur les quais du côté du pont suspendu.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Clé d'arc ornée de grappes de raisin, maison n° 55 rue de Verdun.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue du port vers l'aval, à marée haute.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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