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Site archéologique du Fâ
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Barzan
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Titre : Site archéologique du Fâ
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Période : 1er siècle, 2e siècle
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Protection : classé MH (1937/09/03, 1939/08/01)
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Localisation : Charente-Maritime , Barzan
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive droite)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2012
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Auteur du dossier : Suire Yannis
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
Les premières occupations humaines du site du Fâ se sont implantées en hauteur, sur les collines entourant le site. Des vestiges de l'époque néolithique (poteries, outils en silex et en os, haches polies, restes de foyer) ont été mis au jour en 1877 et surtout en 1970 à quelques mètres de la pyramide de la Garde. Ils attestent d'une occupation vers 3500 avant J.-C., avec présence d'éléments fortifiés (fossés circulaires...). Plus au nord de ce camp néolithique, près des Piloquets, des haches en bronze de l'âge du Bronze final (vers 1000-900 avant J.-C.) ont été trouvées en 1980 (elles sont aujourd'hui exposées au Musée de Royan).
En 1998, des fouilles ont permis la découverte d'un fossé d'époque gauloise (fin de l'âge du fer, vers 200-100 avant J.-C.) sur le site même du moulin du Fâ, au pied de son soubassement. Il semble que dès cette époque, une cité et un port tenus par le peuple gaulois des Santones aient commencé à se développer, en prospérant grâce au commerce de l'étain, particulièrement actif entre la Cornouaille et la Méditerranée, via, entre autres, la Saintonge.
Après la conquête romaine, le site connaît un développement bien plus important encore, dans le sillage de Saintes, capitale de la province romaine d'Aquitaine, à laquelle elle sert probablement de port avancé. Au cours du premier siècle de notre ère, Une ville d'environ 15000 habitants s'étend sur plus de 100 hectares. Outre le temple du moulin du Fâ et le théâtre de la Garde, elle comprend des thermes, un forum, d'autres temples, de grands entrepôts ou horrea, et une grande avenue, bordée de monuments, menant à un port (voir la description du site). Cette ville atteint son apogée au 2e siècle après J.-C.. Plusieurs monuments sont agrandis et embellis (le temple, les thermes, les horrea). Certains y voient l'antique cité de Novioregum, mentionnée sur l'itinéraire d'Antonin, au 3e siècle.
La ville du Fâ décline pourtant ensuite, peut-être en raison d'un envasement de son port (l'actuelle combe du Rit, où est construit Barzan-Plage). Abandonné, semble-t-il, à partir du 4e siècle, le site du Fâ tombe peu à peu dans l'oubli et sert de carrière de pierres à ciel ouvert, utlisée pour la construction des fermes et hameaux voisins. C'est ainsi que l'on retrouve par exemple des moellons antiques remployés dans les bâtiments de la ferme de la Garde. Un tambour de colonne sert de fonts baptismaux dans l'église d'Epargnes, et un autre de puits à Puyveil, à Arces.
Le site de l'ancien temple est réutilisé à des fins agricoles à partir des 14e et 15e siècles au moins, puis par un meunier qui y construit son moulin, sans doute au 17e siècle ou au 18e (comme le laisse penser la forme des ouvertures du moulin, avec chanfrein). Le Fâ sort de l'oubli vers 1715 lorsque l'ingénieur Claude Masse le décrit dans ses mémoires et l'indique sur ses cartes. L'une d'elles mentionne les vestiges du théâtre demi-circulaire, à la Garde, et un "ancien port" dans la dépression, désormais comblée, formée par la combe du Rit, près de Chant-Dorat. A côté du moulin du Fâ, considéré comme une "ancien fanal" (phare), la carte indique : "Icy étoit autrefois une ville". En 1839, le chevalier de Vaudreuil attire l'attention de la Société d'archéologie de Saintes sur l'existence du site. En 1860, l'abbé Lacurie, secrétaire de la Société archéologique de Saintes, est le premier à émettre l'hypothèse selon laquelle les vestiges du Fâ seraient ceux de Novioregum. Des fouilles sont réalisées en 1882 et 1890, notamment par l'abbé Laferrière et Eutrope Jouan.
Pendant ce temps, la ferme du moulin du Fâ voit ses bâtiments agrandis vers la fin du 19e siècle. Détenue par Paul Jean Lavergne (comme Chant Dorat) en 1798, puis par Michel Augier, géomètre à Talmont, en 1813 et 1820, et en 1833 par Jean-François Moreau fils, la ferme reste dans les mains de la famille Moreau jusqu'à ce qu'elle soit vendue en 1928 à Emile Chauveau.
Il faut attendre les années 1921-1926 puis 1935-1939 et 1942-1943 pour que des fouilles de plus grande ampleur soient menées, sous la direction de Léon Massiou, historien originaire de Saujon, puis de Louis Basalo, architecte et archéologue royannais. A cette occasion, le site du moulin du Fâ (qui perd ses ailes lors d'une tempête en 1936 et sa toiture vers 1950) est fouillé, le soubassement de l'ancien temple commence à être dégagé et l'on découvre un fragment d'une statue en marbre blanc, un pied gauche. Une stèle votive, portant le mention d'un certain C. Caecilius, est mise au jour près de la ferme, de l'autre côté du chemin. Les thermes aussi sont fouillés et l'on découvre un aqueduc souterrain qui devait acheminer l'eau de la source de Chauvignac. On commence également à dégager le théâtre de la Garde. Ces premières découvertes attestent de l'importance et de la qualité du site du Fâ. Les parcelles de terrain concernées sont classées au titre des Monuments Historiques par arrêtés des 3 septembre 1937 et 1er août 1939.
En 1945, le moulin du Fâ sert de poste d'observation aux FFI, et de nombreux objets découverts lors des fouilles sont égarés. De nouvelles fouilles sont menées en 1956-1959 puis en 1963, sous la direction de Louis Basalo : le soubassement du temple est entièrement dégagé, ainsi que les thermes et une partie du mur extérieur du péribole (enclos sacré) du temple. Des fragments de frises, de colonnes et de corniches sont découverts. Dès les années 1950, un petit musée permet d'exposer les trouvailles aux visiteurs et aux écoliers. Mais, faute de moyens, les fouilles sont suspendues et le site, qui se dégrade, est fermé à la visite après le décès des époux Chauveau en 1965. Pourtant, le potentiel du Fâ reste entier. En 1975 et 1976, une campagne de vues aériennes menée par Jacques Dassier révèle la véritable étendue de la ville antique, bien au-delà des seuls sites du moulin et de la Garde.
Une étape décisive pour la mise en valeur et la sauvegarde du site est franchie en 1993 lorsque la municipalité de Barzan achète la ferme et le moulin du Fâ. Une Association de sauvegarde et de mise en valeur du site archéologique de Barzan (ASSA Barzan) est constituée. Des premiers sondages sont réalisés en 1994, prélude à plusieurs campagnes de fouilles programmées, menées jusqu'à aujourd'hui sous la supervisation des universités de Bordeaux III et de La Rochelle. Depuis 2006, ces fouilles se sont concentrées sur le péribole du temple, les entrepôts, les habitations et sur le théâtre de la Garde. Depuis 1999, le site est la propriété d'un syndicat mixte regroupant la municipalité de Barzan et le Conseil général de Charente-Maritime. Sa gestion et son exploitation sont confiées à l'ASSA Barzan. Un nouveau musée ouvre en 2005 dans l'ancienne maison, et les campagnes de fouilles se poursuivent.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 1er siècle, 2e siècle |
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Description
Une partie du territoire de la commune actuelle de Barzan, vers l'ouest et le sud-ouest, recèle un site archéologique majeur : le Fâ. Ce site occupe un plateau incliné vers le sud-ouest, vers l'estuaire de la Gironde, et protégé à l'est et au nord par une ligne de collines formant un croissant, depuis Roche Batard jusqu'aux Piloquets. Le site, s'étendant sur environ 150 hectares, ne comprend pas de monuments en élévation (hormis le soubassement du moulin) mais d'importants vestiges en plan, protégés pendant des siècles sous la terre, sur un espace qui n'a pas été construit par la suite, ce qui a permis la préservation de ces vestiges.
Parmi les principaux monuments de l'ancienne ville figure le temple du moulin du Fâ. Construit au 1er siècle, agrandi au 2e, il était de plan circulaire, fait relativement rare. il comprenait un soubassement ou podium de 36 mètres de diamètre, encore visible, sur lequel le moulin a été édifié par la suite. Il était entouré d'un péribole rectangulaire (mur délimitant l'enceinte sacrée), de 106 mètres sur 92. Une colonnade circulaire de 16 mètres de haut, interrompue par un porche d'entrée orné de colonnes et d'un fronton, entourait la cella. Cet espace sacré, lui aussi circulaire (20,80 mètres de diamètre), et haut de 33 mètres, contenait trois puits cultuels. Il était dallé de marbre vert et rose.
Quant au moulin du Fâ lui-même, il ne conserve que sa tourelle en moellons. Pius épaisse à la base, elle est haute de 6,90 mètres pour un diamètre de 5 mètres. Elle se distingue par ses deux portes à encadrement chanfreiné et arc déprimé, tout comme une des petites baies au sommet de la tourelle, côté est. A l'intérieur subistent les vestiges d'un escalier en vis, en pierre, et une cheminée. Des graffiti sont visibles sur plusieurs pierres de taille, notamment autour des portes. Ils représentent des bateaux, dont un tirant son canot.
L'existence d'autres temples a été décelée vers la colline de la Garde : un temple avec cella quadrangulaire entourée d'un péribole ; un temple celtique à cella hexagonale ; un temple avec soubassement rectangulaire (comme pour la Maison Carrée de Nîmes), sans péribole.
Les vestiges de thermes ont été fouillés au sud du moulin du Fâ. La base des murs en a été reconstituée, avec aussi une maquette en 3D. L'alimentation en eau dans les thermes était assurée par un grand puits rectangulaire et par un système d'élévation en bois. L'eau était chauffée à l'aide d'un four.
A 900 mètres à l'est du moulin du Fâ, le site de la Garde présente les ruines d'un théâtre de 80 mètres de large sur 120 de long. Bâti à flanc de colline, il comprenait des gradins en pierre, segmentés par des murs rayonnants.
En plus de ces trois monuments principaux, les sondages, les repérages aériens et les fouilles ont révélé l'existence de vastes entrepôts publics ou horrea, liés à l'activité portuaire, un forum au lieu-dit "le Trésor", et un decumanus, grande voie structurante de 400 mètres de long au moins et 10 de large. Le port devait occuper la dépression qui se dessine au nord du terrain de camping de Barzan-Plage, et qui se poursuit sous et à l'ouest de Barzan-Plage. Peut-être ce port recevait-il les eaux de la source de Chauvignac, acheminées par un aqueduc en grande partie souterrain, dont les vestiges ont été repérés en 1939 au nord-ouest du bourg de Barzan, puis en 2001 au nord du calvaire de la route d'Arces.
Détail de la description
Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA17045468 |
Dossier réalisé par |
Suire Yannis
Conservateur en chef du patrimoine au Département de la Vendée à partir de 2017. |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive droite) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2012 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Site archéologique du Fâ, Dossier réalisé par Suire Yannis, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/786ebf6f-254f-4ad6-ac97-8571f19df3ce |
Titre courant |
Site archéologique du Fâ |
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Dénomination |
site archéologique |
Parties constituantes non étudiées |
moulin maison |
Statut |
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Protection |
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Documents d'archives
Vers 1700 : Carte et Mémoire sur la carte de la figure 9 de la feuille 57. Cette carte contient partie de la coste de la Garonne ou Gironde le long des costes de Saintonge en l'estat que le pays étoit en 1700, par l'ingénieur Claude Masse.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
Côte : Ms 503 (fol 131 f), feuilles 56, 57 et 58.
ISBD/Commentaire :
Vers 1700 : Carte et Mémoire sur la carte de la figure 9 de la feuille 57. Cette carte contient partie de la coste de la Garonne ou Gironde le long des costes de Saintonge en l'estat que le pays étoit en 1700, par l'ingénieur Claude Masse.
1798 : état de sections cadastrales de la commune de Barzan.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : E dépôt 43/36, 1 G 1
ISBD/Commentaire :
1798 : état de sections cadastrales de la commune de Barzan.
1820, 15 octobre : acte notarié concernant Michel Augier et son épouse, Suzanne Agathe Guillon, demeurant au moulin du Fâ à Barzan.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3E 98/55
ISBD/Commentaire :
1820, 15 octobre : acte notarié concernant Michel Augier et son épouse, Suzanne Agathe Guillon, demeurant au moulin du Fâ à Barzan.
1833-1974 : état de section, matrices cadastrales des propriétés de la commune de Barzan.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3P 327 à 335
ISBD/Commentaire :
1833-1974 : état de section, matrices cadastrales des propriétés de la commune de Barzan.
Dossiers de protection des objets de l'église de Barzan au titre des Monuments Historiques.
Lieu de conservation : Direction régionale des affaires culturelles de Poitou-Charentes, Conservation régionale des monuments historiques, Poitiers
ISBD/Commentaire :
Dossiers de protection des objets de l'église de Barzan au titre des Monuments Historiques.
Documents figurés
1833 : plan cadastral de Barzan.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 3P 5216
ISBD/Commentaire :
1833 : plan cadastral de Barzan.
Bibliographie
Aupert, Pierre. Barzan, relais gaulois et gallo-romain entre Méditerranée et Atlantique. L'Estuaire de la Gironde, les Cahiers n° 3. Blaye : Conservatoire de l'estuaire, 1997, p. 41-48.
ISBD/Commentaire :
Aupert, Pierre. Barzan, relais gaulois et gallo-romain entre Méditerranée et Atlantique. L'Estuaire de la Gironde, les Cahiers n° 3. Blaye : Conservatoire de l'estuaire, 1997, p. 41-48.
Aupert, Pierre. Le sanctuaire au temple circulaire ("Moulin du Fâ") : tradition celtique et influences gréco-romaines. Bordeaux : Ausonius Editions, Fédération Aquitania, 2010. 470 p..
ISBD/Commentaire :
Aupert, Pierre. Le sanctuaire au temple circulaire ("Moulin du Fâ") : tradition celtique et influences gréco-romaines. Bordeaux : Ausonius Editions, Fédération Aquitania, 2010. 470 p..
Basalo, Louis. Mémoire sur les vestiges gallo-romains de Tamnum au moulin du Fâ. Recueil de la Commission des Arts de la Charente-Inférieure, t. 21, 1932-1939, p. 317-319.
ISBD/Commentaire :
Basalo, Louis. Mémoire sur les vestiges gallo-romains de Tamnum au moulin du Fâ. Recueil de la Commission des Arts de la Charente-Inférieure, t. 21, 1932-1939, p. 317-319.
Basalo, Louis. Rapport sur les fouilles faites au Moulin du Fâ depuis le classement comme Monument historique (septembre 1937) jusqu'au 31 décembre 1937. Recueil de la Commission des Arts de la Charente-Inférieure, t. 21, 1932-1939, p. 381-382, 384, 395-397 : 1 fig.
ISBD/Commentaire :
Basalo, Louis. Rapport sur les fouilles faites au Moulin du Fâ depuis le classement comme Monument historique (septembre 1937) jusqu'au 31 décembre 1937. Recueil de la Commission des Arts de la Charente-Inférieure, t. 21, 1932-1939, p. 381-382, 384, 395-397 : 1 fig.
Bouet, Alain (dir). Thermae gallicae. Les thermes de Barzan (Charente-Maritime) et les thermes des provinces gauloises. Bodeaux : Ausonius, Fédération Aquitania, 2003, 761 p..
ISBD/Commentaire :
Bouet, Alain (dir). Thermae gallicae. Les thermes de Barzan (Charente-Maritime) et les thermes des provinces gauloises. Bodeaux : Ausonius, Fédération Aquitania, 2003, 761 p..
Gustave, Stéphane. Comme de Barzan (Charente-Maritime), rapport de prospection, ASSA Barzan, 2003.
ISBD/Commentaire :
Gustave, Stéphane. Comme de Barzan (Charente-Maritime), rapport de prospection, ASSA Barzan, 2003.
Moreau, Nicolas. Rapport sur des fouilles à faire dans l'arrondissement de Saintes. Bull. monumental, t. 4, 1838, p. 337-338.
ISBD/Commentaire :
Moreau, Nicolas. Rapport sur des fouilles à faire dans l'arrondissement de Saintes. Bull. monumental, t. 4, 1838, p. 337-338.
Multimédia
Site internet de l'ASSA Barzan, Fâ-Barzan.fr.
ISBD/Commentaire :
Site internet de l'ASSA Barzan, Fâ-Barzan.fr.
Annexes
Extrait du mémoire de l'ingénieur Claude Masse intitulé Mémoire sur la carte de la figure 9 de la feuille 57. Cette carte contient partie de la coste de la Garonne ou Gironde le long des costes de Saintonge en l'estat que le pays étoit en 1700 (Service historique de la Défense, bibliothèque du Génie. Ms 503 (Fol. 131 f, feuille 58) :
"Maison de la Garde – B.
Il paroit au sud de cette maison les fondations d'un cirq et on ne connoit plus rien à la partie de l'ouest qui aparemment a été démolie, comme l'on fait actuellement du reste des fondations qui consistent en 3 murs d'une massonnerie de moilon qui règnent paralellement les uns aux autres de 3 à 4 pieds d'épaisseur et distants de 10 à 12 pieds les uns des autres. Et il y a les fondations de pilliers butans au mur de la dernière anceinte, qui estoit aparemment les bases de colonnes. Ce cirq estoit basti sur le penchant d'une montagne et pour peu qu'il fut élevé, il pouvait découvrir, par dessus le sommet de la hauteur du costé de l'est, une grande étandue de pays, et du costé de l'ouest où il ne paroit plus de fondations, on découvroit l'embouchure de la Garonne et le Médoc et une très grande étendue de pays tout autour de ce cirq, supposé qu'il en eut esté un, car il y a si lontemps qu'il est détruit que personne n'en peut rien dire de positif. Le vulgaire l'apelle château de la Garde mais il n'y a guère aparence qu'il ait été un château car autrefois on les bastissoit peu de la régularité que paroissent ses fondations, que l'on connoist bien avoir été une ovale parfaitte, outre qu'il ne paroit point y avoir eu de fossé ny aucune tout qui avançât hors de l'anceinte, comme étoient batis la pluspart des anciens châteaux, et il y en avoit encore moin qui eussent 3 anceintes de murailles reignantes paralelle[ment] comme partant du même centre.
Ce qui peut encore affirmer que ses fondemens estoient un cirq, est qu'à l'ouest l'on voit les fondations d'une tour C à 400 toises, d'une grosse maço[n]nerie qui avoit 13 ou 14 toises de diamettre, sur laquelle il y a un moulin que l'on apelle du Fa ou du Far, que le vulgaire assure avoir été un fanal et qu'il y avait au sud de se moulin dans un valon un port D, et que le terrain qui est entre ce moulin et la maison de la Garde B est tout remply de brique antiques, de morceaux de thuiles, de cruches et d'urnes, quelques morceaux de marbres et autres morceaux de pierre étrangère. Et quand on laboure la terre qui est toute cultivée dans ce quartier et va d'une pente assés roide, de l'est à l'ouest, les laboureurs trouvent par là autour quantité de vestiges de fondations de murs, et on y a trouvé quantité de monnoyes anciennes et de médailles des Romains et autres. Les peuples ne disent que par tradition que ça a été autrefois une ville fameuse et un bon port de mer. Il y en a même qui assurent avoir ouy dire à leurs ayeuls qu'ils avoient veu des aneaux à un gros mur qui est au sud du moulin du Far et de la maison de la Garde, où ils prétendent qu'étoit le port à l'endroit D, qui est présentement un pré distant de la rivière de la Garonne d'environ 200 toises. Quelques uns croyent que cette ville étoit le portus santonum des Saintongeois, ce qui ne se dit que par conjecture car aucun ne peut dire ny en quel temps cette ville a été bastie, ny par qui elle a été détruitte, ny même comme elle s'apeloi. Et cet endroit est distant d'environ 15 à 1600 toises du costé de l'ouest de la ville de Talmont".
Extrait du Memoire abregé sur la ville de Talmont ou Tallemont sur Gironde, relatif aux trois plans ci joints [feuilles 61, 62 et 67], par Claude Masse, vers 1708 (Service historique de la Défense, Ms 184, pièce 8).
NB : ce mémoire correspond aux cartes et plans conservés sous les cotes Ms 503, fol 131 f, feuilles 60, 61 et 71, et 1 VH 2243.
Environ à 1100 toises de Talmont, à l'endroit marqué B à la carte [feuille 74 (en fait 71)], la tradition assure qu'il y avoir jadis une ville fameuse que quelque uns croyoient que c'etoit le santonum portus, mais ce nom est fort incertain. Les uns disent qu'elle [que cette ville] s'apelloit teste de Saintonge et autres Saintonne, mais il est incontestable à la certitude du nom qu'il y ait eu en cet endroit une ville ou gros bourg. La premiere preuve visible est la baze d'une tour de 13 à 14 toises de diametre, sur laquelle on a bati un moulin que l'on apelle du Far, que l'on croit avoir esté l'ancien fanal. La seconde est qu'environ vers le somet de la montagne de la hauteur de la Garde, au sud est du logis de ce nom, il paroissoit encorre en 1708 les vestiges d'un chateau que l'on croit estre veritablement les fondations d'un cirque, parceque l'on voit visiblement que c'etoit une figure ovalle, et que par la suitte des temps, l'on a arraché les fondations de plusd es trois quarts de cet edifice, et ce que l'on en a decouvert depuis quelques années en cherchant des materiaux, prouve incontestablement qu'en cet endroit il y avoit un amphiteatre, par les vestiges de 3 à 4 gros murs qui regnent parallelement, et qu'à celui du dehors l'on trouve les fondations de bases des pilastres ou colonnes qui regnoient autour de cet ediffice qui avoit environ 50 toises à sont plus grand diametre. Il estoit scitué très aventageusement pour l'agrement de la veue, en decouvrant l'embouchure de la Garonne, une partie de son cours, le Medoc. A l'est et au nord, pour peu que cet ediffice fit elevé au dessus du somet de la montagne, l'on voyoit un beau paysage, et au dessous la ville. La 3e preuve qui assure qu'il y avoit là un lieu fameux, est la quantité de vestiges et debris de matheriaux antiques de toutes especes que l'on trouve sur le penchant à l'ouest de cette hauteur, qui est une des plus haute de ces quartiers, et toutes cultivées en bonne terre labourables. L'on tient que le port estoit au nord est de la conche d'Aury et de Pilloua, et proche d'une maison à l'extremité de la prairie. L'on voit encore quelques vestiges de gros murs, et il paroit fort naturel que toute la prairie qui est au nord de Talmont fut autrefois baignée de la mer, comme le vulgaire l'assure. La 4e preuve au sujet de cet endroit est nombre de vieilles monnoies, medailles et autres antiquitéz que l'on y a trouvé et qui s'y rencontrent encore quelque fois en remuant la terre. Mais l'on n'a aucune preuves de son originne ni de sa destruction ni de certitude de son nom. Elle estoit batie en partie sur le penchant de la montagne qui est assez roide, et partie dans la pleine.
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L'agglomération antique du Fâ à Barzan dans l'état actuel des connaissances (2022). [IVR75_20231701230NUDA]
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Barzan
Milieu d'implantation: bâti isolé
Lieu-dit/quartier: le Moulin du Fâ
Cadastre: 2009 ZB 59, 1833 A 1087 et 1088, 2009 OA 468, 1833 A 172
Le moulin du Fâ sur le plan cadastral de 1833.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Extension du site archéologique du Fâ sur la commune de Barzan, carte vers 1980.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan de la ville antique de Barzan, d'après Pierre Aupert et Jacques Dassié (1997-1998).
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Reconstitution des trois phases d'occupation du site du temple du moulin du Fâ.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan reconstitué du temple du moulin du Fâ.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan reconstitué des thermes, en 2001.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution des thermes.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution des thermes : coupes et élévations.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Essai de reconstitution des thermes : coupes et élévations.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan des vestiges des thermes du Fâ, état des fouilles au 31décembre 1939.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan d'ensemble des fouilles du moulin du Fâ en 1941.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait d'un état des fouilles du Fâ, travaux exécutés en 1943.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dessin, poterie en terre cuite rouge sigilée, 1956.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes du Fâ, état des fouilles de la campagne 1958.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dessin, détails de colonnes, 1958.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dessin, détail d'un tailloir, 1958.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dessin, détail de pierre sculptée, 1958.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dessin, vase ondulé, 1959.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait d'un plan du moulin du Fâ en 1965 : le temple et la ferme.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait d'un plan du moulin du Fâ en 1965 : coupe.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Photes de fouilles de 1937.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Photos de fouilles de 1939.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Photos du moulin du Fâ lors des fouilles de 1939.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Photos de fouilles de 1939.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin, son propriétaire, M. Chauveau, et sa fille vers 1950.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Collection particulière
Temple, détail d'appareil, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des thermes, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le soubassement du temple dégagé, vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin et le soubassement du temple vers 1960.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fouilles autour du moulin, s. d.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fragments de colonnes contre le mur de la ferme, s. d.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Stèle de C. Caecilius.
Suire Yannis, Eygun François
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Traces de constructions, photo aérienne en 1986.
Suire Yannis, Centre A. Piganiol
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Traces de constructions, photo aérienne en 1986.
Suire Yannis, Centre A. Piganiol
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les horrae, photo aérienne en 1986.
Suire Yannis, Centre A. Piganiol
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le théâtre de la Garde et le camp néolithique, photo aérienne en 1986.
Suire Yannis, Centre A. Piganiol
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin du Fâ en 2003.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne du moulin du Fâ.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne du moulin du Fâ.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne du moulin du Fâ.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin du Fâ vu depuis le sud.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les vestiges du temple et le moulin vus depuis le sud-ouest.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail du soubassement du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le péribole du premier temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vestiges des murs du temple.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Porte du moulin, avec encadrement chanfreiné.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Baie à encadrement chanfreiné au sommet du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue intérieure du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Cheminée à l'intérieur du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Escalier en vis à l'intérieur du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Graffiti représentant un bateau et son canot, sur la porte ouest du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Graffiti représentant un bateau, sur la porte ouest du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'ancienne ferme, aujourd'hui musée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Une des salles du musée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Une des salles du musée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Une des salles du musée.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les thermes et le moulin en arrière-plan, vus depuis le sud-est.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les thermes, murs en partie reconstitués.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maquette proposant une restitution des thermes.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Four.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fouilles effectuées à l'est du moulin du Fâ.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les vestiges du théâtre de la Garde.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le site probable de l'ancien port, vers Barzan-Plage et Chant-Dorat.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Elément de colonne entreposé à la ferme de Chant-Dorat.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne du moulin du Fâ.
Beauvarlet Gilles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossiers en lien avec Site archéologique du Fâ
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