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Carrière de kaolin, usine de préparation de produit minéral de Marcognac, actuellement musée
France > Nouvelle-Aquitaine > Haute-Vienne > Saint-Yrieix-la-Perche
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Titre : Carrière de kaolin, usine de préparation de produit minéral de Marcognac, actuellement musée
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Période : 1er quart 19e siècle , 2e moitié 19e siècle
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Protection : classé MH (2002/10/17)
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Localisation : Haute-Vienne , Saint-Yrieix-la-Perche
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Parc naturel régional Périgord-Limousin
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2018
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Auteur du dossier : Grollimund Florian , Decoux Jérôme
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Historique
Le kaolin a été découvert à Saint-Yrieix-la-Perche vers 1765. Aux lieux-dits voisins, Marcognac et à La Grande Vergne, l'extraction et le traitement de cette argile blanche débutent à partir de 1786 grâce au porcelainier François Alluaud père, associé au propriétaire des terrains, Élie Leymarie de La Vergne.
A partir de 1806, François Alluaud fils fait construire des magasins, des séchoir ainsi que des hangars agricoles et dépendances. En 1824, le site appartient au porcelainier Martial-Alexandre Nénert. En 1829, François Alluaud achète l'ensemble de ces terrains. en 1841, il fait réaliser de nombreux travaux et notamment l'agrandissement du magasin qui constitue le bâtiment principal. Les travaux continuent dans les années 1850. Des logements ouvriers sont construits en 1866.
Au 19e siècle, 36 ouvriers travaillent à l’extraction, 40 femmes au transport et au tri, ainsi qu'une dizaine d'enfants.
Dans les années 1900, la société des Kaolins et Pâtes à Céramique du Limousin (KPCL) devient propriétaire. Le site est doté d'une voie ferrée métrique : des wagonnets d’abord tirés par des chevaux puis par un treuil remontent les matériaux de la grande carrière creusée au sud-est jusqu’aux espaces de traitement. Le personnel est logé dans un bâtiments à plusieurs appartements identiques de 2 pièces, aujourd'hui envahis par la végétation.
En 1986, KPCL met fin à l'exploitation du site et les bâtiments sont abandonnés. En 2002, grâce à des volontés locales, une partie du site est protégée au titre des Monuments historiques et plusieurs bâtiments sont convertis en espace d'accueil du public, avec une partie muséographique.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 1er quart 19e siècle Secondaire : 2e moitié 19e siècle |
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Dates |
1806, daté par source 1841, daté par source 1851, daté par source 1855, daté par source 1857, daté par source |
Description
La carrière de Marcognac est située à l'est de la commune de Saint-Yrireix-la-Perche, à proximité de la départementale 901 menant à Coussac-Bonneval.
Le site se compose de plusieurs bâtiments techniques et agricoles surplombant trois carrières en eau.
Le bâtiment principal est édifié avec un mélange de pierre, bois et torchis. Le rez-de-chaussée est divisé en plusieurs pièces de travail aujourd'hui espaces muséographiques, une petite pièce conserve une balance de marque Falcot et Cie à Lyon. À l'étage, le comble à surcroît est aéré en partie basse et sur le pignon sud-est pour le séchage des matériaux lavés : l'ensemble des casiers sur deux niveaux est encore présent. La charpente, à arbalétriers et chevrons, porte un marquage continu fait au ciseau sur chaque ferme (marques et contre-marques).
Au sud-est se trouvent d'anciens magasins transformés en bureau-boutique et musée, un ancien bâtiment de séchage à claire-voies (récemment restauré) ainsi qu'une cabane en planches abritant le treuil. La voie ferrée métrique est conservée sur quelques portions, comprenant des bifurcations et plaques tournantes, dont l'une porte la marque des usines Pétolat Père et Fils à Dijon (spécialiste des chemins de fer portatifs).
En contrebas au nord se trouvent les bâtiments agricoles :
- grange-étable,
- four à pain,
- remise agricole,
- lavoir,
- pigeonnier,
- atelier de menuiserie.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Plans |
plan rectangulaire régulier |
Étages |
comble à surcroît |
Élévations extérieures |
élévation ordonnancée |
Couvertures |
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Escaliers |
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Énergies |
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État de conservation |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA87010636 |
Dossier réalisé par |
Grollimund Florian
Chercheur communauté de communes Médoc-Estuaire (2013-2015). Chercheur PNR Périgord-Limousin (2016-2020). Decoux Jérôme chargé du patrimoine industriel au service de l'inventaire du patrimoine, région Limousin (2012-2015) puis Nouvelle-Aquitaine (depuis 2016) |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Parc naturel régional Périgord-Limousin |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2018 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin |
Citer ce contenu |
Carrière de kaolin, usine de préparation de produit minéral de Marcognac, actuellement musée, Dossier réalisé par Grollimund Florian, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/a020d1c6-e628-4ded-a73d-72e158617914 |
Titre courant |
Carrière de kaolin, usine de préparation de produit minéral de Marcognac, actuellement musée |
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Dénomination |
carrière usine de préparation de produit minéral |
Appellation |
Carrière de Marcognac |
Destination |
musée |
Parties constituantes non étudiées |
aire de concassage |
Statut |
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Protection |
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Intérêt |
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Documents d'archives
Papiers Alluaud-Vandemarcq sur Marcognac (1840-1890)
Lieu de conservation : Archives départementales de la Haute-Vienne, Limoges
Côte : 1 J 699
ISBD/Commentaire :
Papiers Alluaud-Vandemarcq sur Marcognac : marché de construction de l'atelier, bornage de la carrière, construction d'une fontaine..., 1840-1890.
Documentation pour la protection de la carrière et des bâtiments de Marcognac (2002)
Lieu de conservation : Direction Régionale des Affaires Culturelles du Limousin, service des Monuments Historiques, Limoges
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
Documentation pour la protection de la carrière et des bâtiments de Marcognac : plans, études et courriers (2002).
Périodiques
Documents pour servir à l'histoire de l'industrie et des manufactures en Limousin (1894)
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
Côte : NUMP-3504
ISBD/Commentaire :
FRAY-FOURNIER A. Documents pour servir à l'histoire de l'industrie et des manufactures en Limousin. Société historique et archéologique du Limousin, 1894, t. 41, 1ère livraison, p. 463-487.
Bibliographie
CHAVAGNAC Histoire des manufactures françaises de porcelaine (1906)
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
Côte : NUMM-6115049
ISBD/Commentaire :
CHAVAGNAC Xavier (Comte de). Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Picard et Fils, Paris : 1906.
Annexes
Extraits documentaires concernant la carrière de Marcognac (1835-1865)
Carrières (1817-1865)
Arrêté préfectoral relatif à la découverte d'un gisement de kaolin près Saint-Yrieix (10 mars 1817). - Trois charretées en ont été extraites, puis déposées au moulin du sieur Honoré, après consentement du sieur Autest, directeur de la manufacture de La Seinie, qui est autorisé à les acheter.
Arrêté préfectoral relatif aux carrières à kaolin de M. Alluaud (1er septembre 1820).
Autorisation M. Jules Lamy, domicilé à Limoges, d'exploiter une carrière de kaolin située sur le bord de la route départementale n°9 au lieu dit de Marcognac (19 mai 1846).
[Extrait de l'article sur les Rapports et délibération relatifs aux carrières de kaolin (1835-1865), publié dans la Société historique et archéologique du Limousin, t. LIV, Limoges : 1904, P. 183 et suiv.]
Marché pour la construction du grand atelier de Marcognac (1841)
« Entre les soussignés Amédée Vendermarcq agissans au nom et comme représentant de monsieur François Alluaud aîné demeurant à Limoges, d’une part, Et les sieurs Mesnier Jean marchand de bois, Yrieix Pradeau charpentier et Antoine Pradeau aussi charpentier tous domiciliés à Saint-Yrieix d’autre part.
A été arrêté et convenu ce qui suit.
Les sieurs Mesnier et Yrieix et Antoine Pradeau obligeant à faire construire pour le compte de monsieur Alluaud un magasin de matières à porcelaine dans le prolongement de celui qu’il a déjà sur ses exploitations de Marcognac.Ce magasin aura dix-sept mètres de longueur de l’extrémité du magasin actuel à son autre extrémité hors d’œuvre, la largeur sera la même et tous les niveaux du plancher du comble et du faîtage, du comble et de l’égout du toit devront être les mêmes que ceux de l’ancien bâtiment tel qu’il sera après réparation.
Le pourtour de ce magasin sera construit en maçonnerie établie sur le solide ayant au moins cinquante centimètres de fondation en contrebas. On emploiera du moëlon dur de bonne qualité, il sera mis par chaque assise à distance convenable des traverses en pierres passantes et notamment sous les pieds droits des fermes de la couverture. Les angles ou arêtiers du bâtiment seront élevés en moellons plats dits albanche et dont les parements seront ragréés aussi proprement que possible. Le mur aura la même épaisseur que ceux dont il fait suite et avec lesquels il devra être relié au moyen d’arrachements fait aux angles du vieux bâtiment et remplois par des assises prenant dans les deux murs.Ce mur sera construit à mortier de chaux et sable de lavage, à moins que l’entrepreneur ne préfère du tuf maigre dans le cas où il ne pourrait s’en procurer. Il sera crépi en dehors en mortier de chaux et sable jeté à la volée, parement des pierres vu en dedans il sera crépi aussi à chaux et à sable et le crépissage sera poli au bouclier et à la truelle de manière à former enduit. L’intérieur sera ensuite blanchi avec une bonne couche de lait de chaux.
[v]
Il sera pratiqué dans le mur cinq croizées fenêtres dont les appuis et la hauteur devront régner avec celles de l’ancien bâtiment, et deux portes dont les piles seront montées en pierres de taille ou cartelage. Les crochettes et lancis devront être de trois à quatre centièmes de mètres cube. L’une des portes aura deux mètres soixante-dix de largeur et l’autre un mètre trente-trois centimètres. Il sera placé comme dans l’ancien magasin une poutre dans le sens de la longueur supportée par quatre crosses ou poteaux. Cette poutre ou longrine devra faire au moins vingt-huit centimètres d’équarrissage, elle sera faite de pièces ayant la longueur nécessaire pour porter d’une crosse à l’autre et les pièces devront en être réunies par des traits de Jupiter ; chaque assemblage se trouvera au-dessus et dans l’aplomb d’une crosse, les crosses devront avoir deux mètres 30 de longueur sur vingt-deux centimètres d’équarrissage. Elles porteront par le bas sur des dés en ablanche portant sur la solive.Par le haut elles assembleront dans une sole en madrier de 2 mètres de long reliée par deux liens avec la crosse. Le solivage du plancher portera par le milieu sur cette poutre et par chaque extrémité sur les murs qui seront garnis et terminés par deux soles ou sablières de onze centimètres sur seize et demi d’équarrissage. Ils seront éloignés de cinquante centimètres de milleu en milleu et [note en marge : ils devront se croiser de dix centimètres dans leur assemblage à mi-bois qui se trouvera sur la longrine]. Le plancher supérieur sera en planches communes sans nœuds vicieux ni bois blanc, elles seront proprement convoyées et bouvetées. Elles seront clouses sur chaque soliveau avec deux ou trois pointes, suivant leur largeur, sur chaque soliveau les pointes seront de 0.083 millimètres. Les planches seront sèches. Sur le pourtour du bâtiment, il sera établi un comble en tout semblable à celui de l’ancien bâtiment. Il aura [note en marge : comme l’ancien aux angles et sous chaque ferme des pieds droits faisant dix-sept centimètres carrés] la couverture à tuile plate comme l’ancienne, sera à pignon et supportée par que six fermes faites suivant les règles de l’art et conformes au plan déposé entre les mains de monsieur Viau à Marcognac. Les tirants et jambes de forces auront de rigueur vingt centimètres de hauteur sur dix-sept de largeur, le poinçon et les faux chevrons auront dix-sept centimètres quarré, les fitières et le faitage dix-sept centimètres
[fol. 2]
et les blochets de même dix-sept sur dix-sept carré, les liens feront onze centimètres carré, le soliveau dans lequel s’assembleront les jambes de force de chaque ferme sera de pièce ou assemblé à traits de Jupiter par son milleu. Il y aura quatre fitières assemblées aussi à traits de Jupiter, les assemblages tombant sur les faux chevrons. Tous les assemblages de cette charpente devront être bien faits suivant les règles de l’art et conformément au plan déposé. Ils seront à un ou deux tenons suivant qu’il en sera besoin pour la solidité. Les chevrons devront avoir onze neuf centimètres carré par le haut et neuf onze par le bas. Ils seront espacés de cinquante centimètres de milleu à milleu, ils auront la longueur de ceux de l’ancienne charpente. Il sera placé des étriers en fer et des boulons suivant que monsieur Alluaud le jugera nécessaire. Les pantures ou bandes des portes et contrevents seront fournis par l’entrepreneur et M. Alluaud les lui payera ainsi que les étriers de la charpente à raison de un franc dix centimes du kilogramme.Les tuiles devront être de bonne qualité bien cuites droites et non gélives [note en marge : les tuiles proviendront des tuileries de Pecheny], elles seront placées à dix centimètres de pureau, elles devront être posées avec soin et la latte régulièrement espacée.Il sera pratiqué au rez-de-chaussée des cloisons suivant le plan déposé : les cloisons seront confectionnées comme celles qui sont dans l’ancien magasin. Il sera ménagé dans le plancher des trous ou trappes ayant jour sur chaque caze, les trous seront garnis de leur trappe. Les croisées fenêtres seront montées avec double chassis en bois portant feuillure extérieure pour le volet et une autre en dedans du tableau pour le chassis de la croisée [note en marge : elles auront à l’intérieur dix-sept centimètres d’évasement et leur chassis extérieur sera fait en bois de 20 centimètres ou seize et demi d’équarrissage]. Toutes les ouvertures seront garnies de contrevant et portes faites en planches communes bien travaillées et bouvetées et clouées sur barres en dedans [note en marge : la grande porte sera à pivot et à tourillon et faite sur chassis d’assemblage].
Il sera fait autour des bâtiment un pavé d’un mètre de large en petits cailloux de quarz.Tous les bois indiqués dans le présent traité seront droits et proprement équarris à vive arète, sans oublier ni nœuds vicieux. Tous les matériaux seront de première qualité et mis soigneusement en œuvre suivant les règles de l’art,
[fol. 2v]
le tout sera exécuté dans le délai de trois mois à partir du premier mai jusqu’au premier août de la présente année :Les fournitures des dits ouvrages seront payés aux sieurs [blanc] acceptant [note en marge : conformément au devis cy jointet le rabait fait par les entrepreneurs] : savoir : Les poutres, leurs poteaux, leurs soles, liens, quatre palatrages pour les grandes portes faisant vingt centimètres carrés, façon pose et fourniture [note en marge : je dis cent quarante-deux francs dix-huit centimes] cent quatre-vingt-deux francs et quatre-vingt centimes la somme de cent quarante-deux francs dix-huit centimes.Les chassis des fenêtres seront payés, façon et fourniture, à raison de dix-neuf francs l’une.
La toiture, charpente, tuiles lattes et construction ? tout fait et fourni à raison de quatre francs vingt-cinq cinquante centimes le mètre carré. Le comble à clairevoie sera payé à raison de trois francs trente centimes le mètre carré. Le plancher solivelage compris tout fait et fourni à raison quatre francs soixante-quinze centimes le mètre carré. Les sablières en place à raison de quatre-vingt-douze francs et soixante -quinze centimes ensemble tout compris.La maçonnerie toisée tant plein que vide à raison de trois francs soixante-cinq centimes le mètre carré. Il sera alloué à l’entrepreneur une somme de quarante-sept francs dix-huit centimes pour indemnités des pierres de taille. Les portes et contrevents seront payés à raison de trois francs quatre-vingt centimes le mètre carré.Les cloisons à raison de cinq francs soixante-cinq centimes le mètre carré. La peinture à raison de soixante-quinze centimes le mètre carrés à deux couches de gris.Le pavé à raison de trente centimes le mètre carré [note en marge : en outre il est alloué à l’entrepreneur pour liens du faîtage omis au devis pour lintaux en plus, plus value du chevronnage, ensemble la somme de quatre-vingt-huit francs soixante-quinze centimes. La pierre extraite sur les carrières et rendues sera dès aujourd’hui au compte des entrepreneurs moyennant qui leur sera faite sur le prix de leurs ouvrages de la somme de cent trente-sept francs]. Le prix des ouvrages cy-dessus sera payé comme suit. La moitié envrion après le bâtiment couvert, le quart après l’achèvement complet et le dernier quart à la fin de mars mil huit cent quarante deux.L’entrepreneur garantit la solidité de ses ouvrages conformément à la loi.Fait double et de bonne foi entre les parties dont chacune a retiré le sien, à Saint-Yrieix, le dix-neuf avril mil huit cent quarante un".
(Extrait de AD 87, 1 J 699)
Galerie d'images 69
Illustrations soumises à des restrictions de diffusion
D’autres images existent concernant ce dossier et sont soumises à des restrictions de diffusion :
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Vue de la carrière de Marcognac, vers 1920. [IVR75_20188706642NUCA]
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Vue du site de Marcognac, carte postale, vers 1960. [IVR75_20188706643NUCA]
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Vue du site de Marcognac et de la "descenderie" de la carrière, carte postale, vers 1960. [IVR75_20188706641NUCA]
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Haute-Vienne , Saint-Yrieix-la-Perche
Milieu d'implantation: en écart
Lieu-dit/quartier: Marcognac
Cadastre: 1824 H 6 1104-1110, 1967 YI (Feuille manquante.), 2017 YI 24
Extrait du plan cadastral de Saint-Yrieix-la-Perche, section H 6, parcelles 1104-1110, 1824.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Vue de la carrière de Marcognac, vers 1900 (collection particulière).
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Vue de la carrière de Marcognac, vers 1900 (collection particulière).
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Vue de la carrière de Marcognac, vers 1900 (collection particulière).
Hirondelle
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Entrée du site de Marcognac, photograhie datée 1934.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Monuments historiques
Le fond de la carrière desservie par wagonnets, carte postale, vers 1950 (collection particulière).
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Le site de chargement, près du concasseur, carte postale, vers 1960 (collection particulière).
René (éditions)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Vue de l'entrée du site, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, façade sud-ouest, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, vue d'ensemble depuis l'est, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, façade nord-est, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir, façade sud-ouest, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir, pignon, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Ensemble agricole, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Concasseur avec trémie de chargement et annexe, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment du treuil, vue intérieure, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment du treuil, vue intérieure, état en 1987.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Pegmatite.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, vue depuis l'entrée du site.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, vue du sud.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, rez-de-chaussée : ancien espace de tri.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, rez-de-chaussée : ancien espace de tri.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, rez-de-chaussée : ancien bureau.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, rez-de-chaussée : escalier.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, charpente.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, claies de séchage.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, charpente.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, charpente : détail du marquage.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, pièce sous comble.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, balance.
Rivière Philippe
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Bâtiment des ateliers, balance de 8 tonnes : détail de la plaque de fabricant.
Rivière Philippe
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Bâtiments agricoles, vue d'ensemble.
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Bâtiments agricoles, vue depuis le sud.
Rivière Philippe
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Bâtiments du four à pain.
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Bâtiments du four à pain et du poulailler.
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Grange-étable et habitation, façade nord-est.
Rivière Philippe
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Grange-étable et habitation, façade sud-ouest.
Rivière Philippe
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Remise agricole.
Rivière Philippe
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Remise agricole, détail du torchis.
Rivière Philippe
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Vue d'ensemble, depuis le sud-est.
Rivière Philippe
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Bâtiment du treuil.
Rivière Philippe
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Séchoir.
Rivière Philippe
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Séchoir.
Rivière Philippe
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Bâtiment du treuil, vue depuis les rails.
Rivière Philippe
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Bâtiment du treuil, vue intérieure.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Plaque tournante des rails.
Rivière Philippe
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Voie ferrée, vers les carrières.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Voie ferrée, vers les carrières.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Voie ferrée, vers les carrières : anciennes bifurcations.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Carrière en eau, au sud-est.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Carrière en eau, au sud-est.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Anceinne carrière en eau et usine de traitement des produits minéraux.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, façade sud-ouest.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, rez-de-chaussée : pièce muséographieque.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, charpente.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, charpente : assemblage à mi-bois.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, sac de kaolin.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment des ateliers, sac de kaolin.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir, détail des claire-voies.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir, assemblage à mi-bois.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Ancien atelier de menuiserie.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment du treui, vue intérieure.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir, caisses de produits explosifs.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Remise agricole, torchis et pans de bois.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Ancien emplacement du concasseur.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Pegmatite.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Ancien panneau d'entrée KPCL.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Pavillon de jardin.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Séchoir.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Dossiers en lien avec Carrière de kaolin, usine de préparation de produit minéral de Marcognac, actuellement musée
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