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Titre : Présentation de la commune de Bourg
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Localisation : Gironde , Bourg
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Type de dossier : Dossier d'aire d'étude
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Date d'enquête : 2015
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Auteur du dossier : Steimer Claire
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Historique
La commune de Bourg était anciennement appelée Bourg-sur-Mer puis Bourg-sur-Gironde. Elle se trouve aujourd'hui sur la rive de la Dordogne, à la suite de l'engraissement progressif du bec d'Ambès.
L'histoire de Bourg doit beaucoup aux nombreuses découvertes archéologiques réalisées par François Daleau (1845-1927), ainsi qu'aux recherches menées par Emile Maufras, notamment dans les riches archives de la jurade. L'ensemble a été repris et examiné par l'historien Didier Coquillas.
Les origines
Le site archéologique des Gogues a soulevé de nombreuses questions ainsi que la description par Sidoine Apollinaire du Burgus de Pontius Leontius. Depuis l’époque moderne, ce sont les seules structures antiques monumentales encore visibles à Bourg. En l’absence de traces gallo-romaines à Bourg avant les travaux de François Daleau, les auteurs s’étaient accordés pour situer le Burgus mentionné au 5e siècle par Sidoine Apollinaire aux Gogues. Or, des découvertes réalisées au cours du 20e siècle attestent de vestiges gallo-romains à Bourg même. La fontaine, notamment, présente des structures gallo-romaines, remaniées à plusieurs époques.
Les structures mises au jour aux Gogues appartiennent pour l’essentiel à la partie thermale d’une riche villa du Bas-Empire. Le site des Gogues couvre environ deux hectares. L'occupation a pu débuter dès le début du Ier siècle et semble continue jusqu'au Bas-Empire. La villa tardive est datée des 4e-5e siècles. La villa antérieure est globalement attribuée au Haut-Empire mais plusieurs étapes sont envisageables.
Le site dominant la Dordogne a été propice au développement de la ville. Un château y existe probablement dès le 9e siècle. En position de contrôle et profitant des débouchés offerts par la rivière, la ville a bénéficié de privilèges accordés sous l'administration anglo-gasconne au cours du Moyen Âge : en 1261, Bourg obtient le statut de commune et en 1287 Edouard Ier autorise les habitants à entourer leur cité d'un rempart. L'activité du port est à cette époque liée au commerce du sel, avec une foire dite de la Troque-au-sel (charte octroyée en 1358 par Edouard III), et le commerce du vin. L'extraction de la pierre est également attestée dans le secteur depuis l'Antiquité. La pierre dite de Bourg et celle de Roque-de-Thau ont été utilisées pour la construction de nombreux édifices à Bordeaux et dans la région jusqu'au 19e siècle.
La structuration religieuse du territoire est marquée par l'établissement au 12e siècle de l'abbaye Saint-Vincent.
-L'église Saint-Giron-de-l'Arc dépendant à l'origine de l'abbaye Saint-Vincent constitue l'église paroissiale de Bourg. Une autre église, Saint-Martin du Port ou de Poisarn, était située à proximité du port et dépendait de l'abbaye Saint-Romain de Blaye : elle est probablement détruite dès le 15e ou 16e siècle.
-La paroisse primitive de Camillac est une émanation d'un prieuré augustin dépendant de l'abbaye Saint-Vincent.
-La paroisse de la Libarde s'appuie sur une occupation ancienne, probablement gallo-romaine avec la construction d'une église au 11e siècle. Des sépultures du Haut Moyen Âge y ont été découvertes.
-L'église Saint-Michel du Pin ou de la Croix est attestée du 13e au 18e siècle. Les fondations de l'église n'ont pas été retrouvées mais une partie du cimetière a été mise au jour lors de fouilles réalisées par François Daleau.
-Une partie des ruines de la villa gallo-romaine des Gogues a probablement servi d'assise à l'église Sainte-Marie-de-Lucanion, lieu de culte dont les origines sont inconnues mais qui pourraient remonter au Haut Moyen Âge.
-Un autre lieu de culte médiéval est attesté sur le coteau dominant la Dordogne, aux Justices : la chapelle Sainte-Barbe semble être également liée à l'abbaye Saint-Vincent.
Sous l'Ancien Régime
Sa situation stratégique expose Bourg à tous les conflits qui se succèdent de la guerre de Cent ans jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Les guerres de la Gabelle, de Religion, y sont tout particulièrement destructrices. Elles donnent également lieu au renforcement des éléments défensifs médiévaux avec la construction de la citadelle à partir de 1590. Celle-ci est déclassée au milieu du 17e siècle au profit de celle de Blaye, intégrée au "verrou" de l'estuaire.
Au 17e puis au 18e siècle, plusieurs congrégations religieuses sont établies à Bourg et concourent à sa prospérité : les Ursulines, les Récollets. Plusieurs familles nobles sont à la tête de domaines où la vigne est cultivée. C'est le cas des Boucaud, famille de conseillers au parlement de Bordeaux, au Bousquet. Quant aux seigneuries de Poyanne, la Libarde ou Lidonne, elles sont attestées dès le 14e siècle mais peu de vestiges des maisons nobles ont été conservés : leur souvenir perdure cependant dans les appellations de domaines viticoles. Au 18e siècle, l'archevêque de Bordeaux, Monseigneur de Cicé, achète à Bourg une maison à côté de la porte du Port et s'installe en villégiature au château de la citadelle appartenant à Mme de Broglie.
Le port favorise certaines activités, comme celles des verreries. En 1725, Balthazar Fonberg, gentilhomme verrier allemand, obtient l'autorisation d'installer à Bourg une manufacture de verre, qui devient manufacture royale en 1728.
Un recensement de la population mentionne 3223 habitants à Bourg en février 1790. Le 23 août 1790, Bourg est choisie comme chef-lieu de district aux dépens de Blaye. Vers 1800, la commune de Camillac, comme celle de la Libarde, sont rattachées à Bourg. Pourtant, la population en 1830 est en baisse par rapport à 1790 avec 2466 habitants.
Aux 19e et 20e siècles
Le 19e siècle est marqué par le développement de la viticulture, attesté dans les éditions successives de l'ouvrage Bordeaux et ses vins à partir de 1850. En 1825, la vigne occupe dans le canton de Bourg la moitié des terres cultivées, soit 4177 hectares, contre 2205 en terres labourables et 1209 en prairies ; en 1873, à la veille de la crise phylloxérique, la superficie du vignoble du Bourgeais est de 5894 hectares. Le phylloxéra est détecté dans le canton en 1874. Différents traitements sont expérimentés : l’utilisation de sulfure de carbone, de sulfocarbonate de potassium, la submersion des vignes ou encore les porte-greffes américains. Les zones basses en bord de Dordogne se prêtent particulièrement aux inondations de parcelles visant à noyer l’insecte. Le château de Mille-Secousses est montré en exemple : dès 1875, le propriétaire, Paul Chenu-Lafitte, fait construire des digues et des écluses pour la submersion de soixante-quinze hectares de vignes au moyen de deux pompes Dumont, mises en mouvement par deux locomobiles. Paul Guiard, propriétaire du domaine de Lidonne, préconise quant à lui le sulfure de carbone. A ces procédés est finalement préféré le greffage des cépages traditionnels sur des porte-greffes américains naturellement insensibles au parasite. L’activité de pépiniériste se développe de fait dans toute la contrée.
En 1900, le vignoble reconstitué s’étend sur une surface totale de 5239 hectares : les cépages français indemnes occupent encore 638 hectares, les cépages français phylloxérés mais défendus 516. La plus grande superficie du vignoble, 3847 hectares, est alors plantée de cépages américains greffés. Les cépages américains producteurs directs n’occupent que 63 hectares.
A la fin du 19e siècle, Nathaniel Johnston expérimente la production de vin pétillant, selon la méthode champenoise, dans les carrières de la falaise de la citadelle. Les familles Brouette puis Bassereau s'essayent également avec succès à cette technique.
L'appellation d'origine contrôlée "Côtes de Bourg" est créée en 1936. Elle couvre aujourd'hui 3400 hectares et s'étend sur une quinzaine de communes.
La voie ferrée reliant Blaye à Saint-André-de-Cubzac est inaugurée en 1889. La ville s'étend désormais au nord des anciennes murailles, avec également la construction du groupe scolaire et de la gendarmerie.
En 1918, l’ensemble de la citadelle, château, bâtiments, vestiges des bastions anciens, carrières souterraines, prairies et terres en friches – 7 ha au total – est acheté par la Compagnie Bordelaise de Constructions Maritimes Modernes. Celle-ci installe entre le fleuve et la falaise un chantier de construction de bateaux en ciment armé, qui mit au point quatre bateaux en 1920 et 1921.
A proximité de la métropole bordelaise, la commune compte 2278 habitants (recensement de 2019).
Plusieurs édifices sont protégés au titre des monuments historiques :
-les ruines gallo-romaines des Gogues (inscrit MH, le 9 janvier 1934).
-la porte du port (inscrit MH, le 21 novembre 1925).
-l'église de la Libarde (classé MH, le 24 septembre 1965).
-l'hôtel de ville - la jurade (inscrit MH, le 30 juillet 1973).
-maison, place de la Libération (inscrit MH, le 24 octobre 1973).
-la porte de Blaye (inscrit MH, le 3 novembre 1925).
338 dossiers documentaires ont été réalisés sur le territoire communal excepté la ville intra-muros. L'inventaire du centre-bourg n'a pas pu être réalisé dans le cadre de l'opération d'inventaire des rives de l'estuaire de la Gironde. Un dossier Ville présente les grandes caractéristiques du centre-bourg. Plusieurs dossiers concernent en revanche les hameaux de la commune : Camillac (ancienne paroisse), la Lustre, Plouquey, la Libarde (ancienne commune), les Cabanes, le Pain de Sucre.
Parmi ces dossiers, 64 ont été sélectionnés pour leur intérêt historique ou architectural. 267 ont été repérés et ont permis d'élaborer des dossiers de synthèse sur des familles d'édifices : maisons-fermes, chais et cuviers, moulins, carrières, croix monumentales, fontaines et lavoirs.
Description
La commune est située sur les bords de la Dordogne, limitrophe de Saint-Seurin-de-Bourg, Mombrier, Lansac, Tauriac et Prignac-et-Marcamps. Elle s'étend sur une superficie de 10,54 km2. La commune est marquée par l'importance des exploitations agricoles (72,2 % du territoire en 2018), notamment la vigne. Le paysage est caractérisé par un promontoire rocheux servant d’assiette à la ville qui domine le cours de la Dordogne peu avant sa confluence avec la Garonne, par les coteaux et par les zones basses, dites de palus, en bordure du fleuve.
L'habitat est construit avec la pierre extraite localement et dans les carrières des environs.
Le principal axe de circulation est la route départementale 669 reliant Blaye et Saint-André-de-Cubzac. A l'ouest, la route dite de la corniche borde la Dordogne traversant le hameau du Pain de Sucre.
Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'aire d'étude, communal |
---|---|
Référence du dossier |
IA33008001 |
Dossier réalisé par |
Steimer Claire
Conservatrice du patrimoine au sein du service du patrimoine et de l'Inventaire. |
Cadre d'étude |
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Date d'enquête |
2015 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde |
Partenaires |
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Citer ce contenu |
Présentation de la commune de Bourg, Dossier réalisé par Steimer Claire, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/ea4f0e78-ddfd-4af7-99ed-7bd91bee6298 |
Titre courant |
Présentation de la commune de Bourg |
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Périodiques
PINAUD Anne-Marie. Le Bourgeais. Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, Année 1968, 39-1
Mention : p. 73-88
ISBD/Commentaire :
PINAUD Anne-Marie. « Le Bourgeais », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, Année 1968, 39-1.
ROUDIE Philippe. «L'évolution économique du Blayais et du Bourgeais au XIXe s». Les Cahiers du Vitrezais, 1984, n° 47.
ISBD/Commentaire :
ROUDIE Philippe. « L'évolution économique du Blayais et du Bourgeais au XIXe s ». Les Cahiers du Vitrezais, 1984, n° 47.
ROUDIE Philippe. «Agriculture, viticulture et société en Blayais-Bourgeais à la fin du XXe siècle». Les Cahiers du Vitrezais, 1993, n° 85-86.
ISBD/Commentaire :
ROUDIE Philippe. « Agriculture, viticulture et société en Blayais-Bourgeais à la fin du XXe siècle ». Les Cahiers du Vitrezais, 1993, n° 85-86.
Bibliographie
L'album du Bourgeais par François Daleau. Les Amis du Vieux Bourg, 1997
ISBD/Commentaire :
L'album du Bourgeais par François Daleau. Les Amis du Vieux Bourg, 1997.
BOYRIES Pierre. Bourg et le Bourgeais. Bordeaux: Burgus édition, 1988.
ISBD/Commentaire :
BOYRIES Pierre. Bourg et le Bourgeais. Bordeaux : Burgus édition, 1988.
COQUILLAS Didier. Les rivages de l'estuaire de la Gironde du Néolithique au Moyen-Age. Thèse d'histoire: Bordeaux 3, 2001.
ISBD/Commentaire :
COQUILLAS Didier. Les rivages de l'estuaire de la Gironde du Néolithique au Moyen-Age. Thèse d'histoire : Bordeaux 3, 2001.
MAUFRAS Emile. Histoire du Bourg-sur-Gironde, depuis la fondation jusqu´en 1789. Bordeaux: Imp. Nouvelle Demachy, Pech & Cie, 1988.
ISBD/Commentaire :
MAUFRAS Emile. Histoire du Bourg-sur-Gironde, depuis la fondation jusqu´en 1789. Bordeaux : Imp. Nouvelle Demachy, Pech & Cie, 1988.
Annexes
Documentation complémentaire
AD Gironde, E supplément 2348
Délibération relative aux réparations à faire aux chemins de banlieue et même au « terrier et grand chemin apellé le Grand Peypic, comme le important, et lequel est grandement rude, raboteux et inaxcessible » aux piétons et cavaliers (2 janvier 1621)
E suppl. 2362
Mention d’un projet d’établissement d’un grand chemin allant de Blaye à St Andre de Cubzac et distant d’une lieue de Bourg (25 décembre 1743).
Nomination d’un délégué chargé de demander à l’Intendant « que le grand chemin ordinaire et de tous les temps pratiqué, quy de la ville de Blaye, en passant par la présente ville, conduit à St André-de-Cubzac, soit réparé et mis en bon état » (27 décembre 1743)
E suppl. 2363
Rapport concernant une entrevue avec l’Intendant relative à l’établissement d’un chemin neuf de Bourg à St Savin et au rétablissement de ceux de St André à Bourg et de Bourg à Blaye. Le chemin de St Savin à Bourg « ne fournit pas seullement à la ville de Bourg le commerce qu’elle peut faire, il luy procure encore sa subsistance, le Bourgès estant un pays de vignes, quy ne peut servir qu’à cet uzage et s’il ne pouvoit pas prendre à St Savin le bled dont il a besoing, il coureroit risque de tomber dans l’état le plus affligeant « (21 mars 1750)
Lecture d’une lettre du subdélégué enjoignant de continuer les travaux du chemin de Bourg à Pugnac et à St-Savin (4 août 1752)
Ordre du […] enjoignant aux carriers de « tirer chacun […] de quinze jours trente doublerons de deux […] longueur sur un pied de hauteur et autant […] pour la construction des ponts sur le nouveau chemin de Bourg à St Savin (8 août 1753)
E suppl. 2366
Requête à l’intendant relative à l’amélioration des chemins : « La ville de Bourg… est une de celles du royaume la mieux sittuée ; elle borde la rivière de Doirdoigne par un beau port, mais elle est entourée de chemins sy affreux que les voisins, ainsy que l’étranger, ne peuvent y aborder », ce qui nuit à son commerce (30 août 1767)
E suppl. 2368
Mémoire adressé à l’Intendant relatif à la réfection des chemins [?]. Mention de la situation de la ville, de la fertilité de ses campagnes, etc, qui en faisaient autrefois « une ville commerçante et lui donnoient une population nombreuse. Cette ville, est depuis près de 40 ans déchue de cet état florissant ; ses chemins détruits en partie par l’uzage, négligés par l’administration, ont été abandonnés par les voyageurs et les négocians, qui n’y trouvoyent plus de sûretés ; ils ont été abymés sous les eaux, en sorte qu’ils ne présentent plus que des cloaques er des précip[ic]es affreux (septembre 1783)
Evolution de la population d'après l'ouvrage Bordeaux et ses vins
1850 : 2600 (environ)
1868 : 2780
1874 : 2735
1893 : 2780
1898 : 2890
1922 : 2555
Ancien chemin de Bourg à Caruel
Un chemin partant de la R. D. 669 vers le sud et décrivant une coudée autour du lieu-dit de Moulin-Rompu avant de rejoindre perpendiculairement un autre chemin allant vers le sud (ce dernier étant le chemin rural 28, appelé sur le plan cadastral de 1825 "chemin rue Passe Bureau") présente la particularité de border une terrasse stabilisée par un alignement de chênes, appelé localement "dourgue". D'après un témoignage, il s'agissait d'un ancien chemin menant à Caruel. Ce hameau était effectivement accessible par ce chemin, si l'on prenait ensuite la rue Passe-Bureau (la voie qui borde aujourd'hui le lieu-dit au Roc et qui permet de couper depuis les portes de Bourg n'existait alors peut-être pas encore) : on débouchait alors, au bout de la rue Passe-Bureau, sur un chemin visible sur le plan cadastral ancien, qui permettait de rejoindre Caruel, mais aussi Camillac (la fin de ce chemin est toujours visible aujourd'hui à Camillac, où le pont du chemin départemental de la R. D. 669E1 enjambe ce chemin). Au bout du chemin bordant Moulin-Rompu, les vestiges d'un portillon et un échelonnement en terrasses donne à penser qu'il se trouvait à cet emplacement une ancienne propriété, délimitée par une clôture.
Extrait de la Carte des rivières de la Gironde et Dordogne, 1692.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
extrait de la carte de Masse, levée en 1723 (IGN).
Institut géographique national (IGN) , Masse Claude
(c) IGN
Extrait de la carte du cours de la Garonne, 1759.
Suire Yannis, Desmarais
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait de la carte de Belleyme (1762-1778).
Bibliothèque municipale Bordeaux, Belleyme Pierre de
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Tableau d'assemblage du plan cadastral de 1825.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Tableau d'assemblage de la commune de la Libarde, 1821 (rattachée à Bourg).
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Extrait de l'Atlas du Département de la Gironde, publié en 1888
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Carte postale, vers 1900 : chantier de construction navale.
Dubau Michel, Cadillon
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Carte postale, début 20e siècle (collection particulière) : chantier de construction.
Dubau Michel
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne depuis le sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne depuis le sud-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue aérienne de la confluence du Moron et de la Dordogne.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la ville depuis le hameau des Justices (depuis l'est).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue de la porte de Blaye et de l'église depuis le nord-ouest.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Chemin bordant Moulin-Rompu au sud et Dourgue (alignement de chênes).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole au sud du hameau de Moulin-Rompu.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vestiges de portillon et de clôture (?) et terrasse au bout du chemin bordant Moulin-Rompu.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Chemin rue Passe Bureau depuis Moulin-Rompu.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage des bords de Dordogne au sud du hameau de Moulin-Rompu.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue sur la Dordogne au sud du hameau de Camillac.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue sur la Dordogne et l'église de Bourg (depuis le hameau des Gogues).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue sur la Dordogne (depuis le hameau de Caruel).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vignoble en bord de Dordogne (au hameau du Roc).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vignoble en bord de Dordogne (entre les hameaux des Cabanes et de Clotte-Blanche).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole (vers Lansac depuis Poyanne).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole au sud du lieu-dit Poyanne.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue vers l'estuaire depuis les coteaux au lieu-dit Maine d'Arman.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole au hameau de La Fue.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole au sud du hameau de Caussade.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage viticole.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Hameau Au Nègre, vu depuis le nord-est.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage depuis le moulin de la Croix.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Paysage depuis le moulin de la Croix.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vignes et arbres fruitiers au sud du hameau de La Libarde.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vignes et arbres fruitiers au sud du hameau de La Libarde.
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Palus de Croûte.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pylône ligne à haute tension dans les palus (à Barbanson).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Palus de Croûte.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Ancien chemin de Perouil à la Lustre.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Ancien chemin de Perouil à La Lustre.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Route des palus de Croûte.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vestiges de mur de clôture sur la route des palus de Croûte (parcelle AL 120).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Talus maçonné bordant la route D669 à l'ouest du hameau de La Lustre.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Cale sur les rives de la Dordogne au Pain de Sucre.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Épave du pétrolier italien Glisia, coulé par les Allemands en août 1944.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Épave du pétrolier italien Glisia, coulé par les Allemands en août 1944.
Cron Eric
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue sur la Dordogne et l'île d'Ambès.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue sur la Dordogne et l'île d'Ambès (pointe est).
Morel Thomas
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Île de Croûte.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Ruisseau de Mangaud au hameau de La Lustre.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pont sur le ruisseau de la Libarde, à Portier sud.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pont sur le ruisseau de Mangaud (route D23, à l'est du lieu-dit Cartaude).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pont sur le ruisseau de Mangaud (route D134, au nord du lieu-dit Camponnac).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pont sur le ruisseau de Mangaud (route D134, au nord du lieu-dit Camponnac).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Puits au hameau de Haut-Ligat (parcelle AK 209).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Puits au hameau de La Croix (parcelle AL 234).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pilier maçonné d'un portail, en bordure de la route des palus (Pré de Salargue, parcelle AL 280).
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pilier de portail sur la route départementale entre le lieu-dit Au Nègre et le Cru de Paty.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Salle polyvalente.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Terre-plein sur la rive ouest du chenal.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Pelle à crémaillère dans un fossé, à proximité du ruisseau de la Libarde.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Pelle à crémaillère dans un fossé, à proximité du ruisseau de la Libarde : détail de la structure maçonnée.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue du paysage depuis le lieu-dit Maine d'Arman vers le château La Grave à l'est.
Steimer Claire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
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